Le profil de Chambaron
Grand maître
15014
points

Questions
26

Réponses
1931

  • Grand maître Demandé le 10 février 2017 dans Accords

    Cette réponse renvoie à la règle 111 en page 172 (sujets introduits par chaque, tout ).

    • 3371 vues
    • 6 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 10 février 2017 dans Général

    Vous trouverez une réponse brève mais détaillée et complète sur le site de l’Académie française.
    N’oubliez pas l’espace fine (insécable) ente le nombre et le signe %.
    Il n’y a en général pas lieu d’écrire le mot « pour cent » en toutes lettres : il faut employer le signe %.

    • 4343 vues
    • 5 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 9 février 2017 dans Question de langue

    Dans les pays qui ont imposé la féminisation des titres et fonctions, c’est bien « cheffe » qui a été retenu. C’est notamment le cas au Québec et en Suisse où j’ai longtemps travaillé. Pour la France, le sujet est en transition, avec les polémiques que l’on connaît.
    Un éclairage sur le site de La plume à poil  qui renvoie lui-même vers des sites de référence sur la question qui vous aideront à vous faire une idée.

    • 175904 vues
    • 5 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 5 février 2017 dans Question de langue

    Décidément, quelle popularité pour cette expression qui fait couler tant d’encre sur les blogues et autres sites de langue ! Ma position est la suivante :
    — On a fait une erreur, on la reconnaît et on recommence avant l’erreur : « au temps pour moi ».
    — On veut comparer des quantités : « autant pour moi ». « Il a eu 100 € de prime et autant pour moi ».
    Je ne saisis toujours pas pourquoi cela pose autant de problèmes, les explications que l’on lit sous certaines plumes, pourtant parfois brillantes, étant des plus oiseuses…
    Nombre d’expressions se sont déformées au cours du temps, en venant parfois à signifier le contraire de leur sens d’origine. Ce n’est pas fini, mais « autant » maintenir ce qui peut l’être.

    Cette réponse a été acceptée par Écrire Juste. le 21 février 2017 Vous avez gagné 15 points.

    • 7483 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 4 février 2017 dans Question de langue

    Vous trouverez des explications sur le site du CNRTL , section  II.A.2., notamment la date de première attestation (1984) et son auteur.

    • 2392 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 4 février 2017 dans Accords

    Que sont ces « phrases » sans verbe ni suite ? Des titres de chapitre ? Le savoir aiderait à préciser le sens et à accorder en conséquence.

    Par ailleurs, attention aux paronymes Renoncement-Renonciation : le premier devrait être réservé à un contexte mystique : c’est « l’action de renoncer aux choses du monde ». Renonciation est le mot idoine.

    • 6889 vues
    • 10 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 3 février 2017 dans Question de langue

    Le mot « international » reste fondamentalement un adjectif et son usage comme nom est abusif. Mais force est de reconnaître que cette tournure a pour elle un usage massif, en particulier dans le monde des affaires et de l’économie.
    Si l’on souhaite soigner sa langue, il est préférable d’utiliser « sur un plan international ».

    • 11816 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 2 février 2017 dans Conjugaison

    Vous avez un œil de… lynx !
    La construction — une traduction de Baudelaire — est effectivement surprenante.  Mais elle n’a pas là le sens de « même » qui appelle bien le subjonctif, mais celui, assez rare,  de « si ce n’avait été » qui est bien un indicatif.

    Vous pouvez vous référer à l’original en anglais pour mieux saisir le distinguo : « […] we should have passed the time pleasantly enough, but for the fearful intelligence which reached us every morning from the populous city. »

    • 13812 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 31 janvier 2017 dans Général

    Ces deux-points ne précèdent pas une énumération, une explication ou un exemple, ce qui appellerait effectivement une minuscule au mot suivant.
    Elle introduit une citation se second niveau, qui devrait se retrouver entre guillemets anglais (la citation principale étant entre guillemets français). La typo orthodoxe (si j’ose le mot pour un texte chrétien) serait donc :  « Comment peux-tu dire à ton frère : ´´Laisse-moi ôter une paille de ton œil […]´´ ».
    La Bible se permettant une typographie particulière, elle supprime la surabondance de guillemets, mais laisse la majuscule en début de citation.

    • 7786 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 28 janvier 2017 dans Conjugaison

    Même si elle n’a de valeur que pour des passionnés de la langue — et de la langue ancienne de surcroit —, la question des verbes défectifs mérite un temps de réflexion.
    1. C’est une liste modeste (peut-être une centaine de verbes), appartenant au 3e groupe et en voie continue d’extinction par substitution de verbes des 1er ou 2e groupes plus simples de conjugaison.
    2. Le faible usage n’est pas la seule raison : il y a aussi les verbes impersonnels et ceux qui sémantiquement n’acceptent pas certaines formes.

    Je reconnais n’avoir pas trouvé de manuel de conjugaison présentant les formes anciennes, mais qui ont pourtant existé : chaloir, par exemple,  avait bien un subjonctif sous la forme « qu’il chaille ».  Mon sentiment est qu’il faut, étant donné la variété de ces verbes et leur historique propre, procéder à des recherches individualisées.  Toutes les sources certifiées sont alors bonnes . Par exemple, voir ce que donne Littré 1872-1877  pour le verve chaloir.

    Il y a peut-être matière à un opuscule de synthèse des plus intéressants…  Bonnes recherches !

    • 3748 vues
    • 5 réponses
    • 2 votes