Elle chuta sur le sol en lâchant l’arme qui avait blessé Marc.
La phrase comporte trois propositions (chacune s’organise autour d’un verbe)

1 Elle chuta sur le sol
2 en lâchant l’arme
3 qui avait blessé Marc
C’est cette troisième proposition qui nous intéresse. Il faut considérer les mots présents dans cette proposition. Or, dans cette proposition le mot « arme » n’existe pas.
« qui » est le sujet. C’est un pronom (relatif) qui reprend le nom « arme » de la proposition 1 évitant ainsi sa répétition. Il est sujet et acteur du verbe blesser.
« Marc » est celui sur qui s’exerce l’action exprimée par le verbe, il est l’objet et le complément du verbe blesser.

Règle du participe passé accompagné de l’auxiliaire avoir : l’accord se fait avec le COD s’il est placé avant, ce qui n’est pas le cas ici : pas d’accord.
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Dans la proposition 2 « en lâchant l’arme »  l’arme est COD du verbe lâcher – le participe présent renvoie au sujet du verbe précédent (elle)
Dans la proposition 1  : « elle » est sujet du verbe chuter – « sol » est complément circonstanciel de lieu du  verbe

Cet emploi de « tel »,je l’aurais spontanément accepté. Je suis allée vérifier, et en effet  :

Proche de l’adjectif qualificatif, tel, qui se rencontre dans toutes les fonctions de l’adjectif qualificatif, désigne de façon indéfinie une qualité ou les qualités particulières qui sont attachées à la pers. ou à la chose désignée; la qualité en cause ressort du contexte ou est attachée à la simple désignation de ce dont on parle] Synonymes même, pareil, semblable.

En fonction d’attribut du sujet :
Mes dispositions étaient telles (Chateaubriand).
Moïse lui-même devait être tel quand il revint du Sinaï avec le prestige de la loi (Adam).
Tel nous est apparu le cardinal Pacelli, secrétaire d’État (Mauriac).
TLF

Pour être heureux ou malheureux, il suffit de se croire tel.
Wiktionnaire
et nous disons couramment : tel fut le résultat – telle est la réalité…
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– L’emploi de « comme » avant « tel » est en revanche indispensable quand il n’est pas attribut
L’acide arsénieux est un des poisons les plus violents; il agit comme tel sur toutes les classes des animaux et sur les plantes.
– L’emploi de la préposition « de » avant « tel » est indispensable quand il suit un pronom : Je ne vis jamais rien de tel.

Il s’efforça de rester calme, en tout cas d’apparaître tel : emploi correct de l’adjectif « tel »

Un article contracté est un déterminant qui se forme à partir d’une des deux  prépositions “à” ou “de” et d’un article défini (le, les, l’) : à + le = au / à+les = aux / de + le = du / de + les = des (à + la  et de+la ne forment jamais d’article contracté).

Dans votre phrase :
On ne voyait point d’étoiles : de est l’article indéfini pluriel utilisé avec la forme négative
 et le souffle du train lancé : du est l’article contracté avec la préposition « de »  (de+le)
nous jetait quelque chose de chaud : de est la préposition seule
de mou, d’accablant, d’irrespirable : même chose pour les trois « de ».

« les trois mois suivant le décès » (ce n’est pas une phrase mais une portion de phrase)
Très simple : ici « suivant a un COD « le décès » : un adjectif n’a jamais de COD, qu’il soit ou non verbal.
Il s’agit donc du verbe « suivre » au participe présent et un verbe ne porte pas la marque « S » du pluriel.

Il ne sortit pas de chez lui  pendant les trois mois suivants.  Cette fois-ci nous avons un adjectif. Par substitution on peut le confirmer :
Il ne sortit pas de chez lui pendant trois mois consécutifs.

Il publiera un livre « bourré de révélations », selon ses propres termes, sur la dernière campagne présidentielle française.

Cette phrase sonne bien. Le rythme coule. Et « selon ses propres termes » convient bien.

Oui mais on peut utiliser aussi le singulier qui peut donner au nom  une extension générique.  Cela arrive souvent pour les nom compléments de nom.
Une tournée d’inspection – une robe de soirée – un vin de table…

Aurais-je dit quelque chose qui t’ait fait pleurer ?
Aurais-je dit quelque chose qui t’aurait fait pleurer ?

Vous pouvez employer l’un ou l’autre mode.
Il y a nuance mais elle est subtile. Voici comment j’essaie de l’expliquer :
Le subjonctif cherche les possibilités
Le conditionnel envisage plus précisément le fait imaginé

Reste à expliquer pourquoi il faut utiliser « que » et pas « dont ».
On a besoin d’un pronom relatif pour reprendre le nom « gamins » dans la deuxième proposition.
Proposition 1 (principale) : sur le pas de la porte, je pouvais apercevoir quelques gamins crasseux et curieux
Propositions 2 (subordonnée à la précédente) et 3 (infinitive): que les parents n’avaient pas les moyens / d’inscrire à l’école

Si on fait une phrase de la proposition 2 (+3) : Les parents n’avaient pas les moyens/ d‘inscrire les gamins à l’école.
On voit que le nom à remplacer (gamins) est COD du verbe. Il faudra le remplacer par un pronom relatif COD, c’est à dire par « que ».
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Une autre phrase où est requis le pronom relatif « dont » cette fois :
Sur le pas de la porte, je pouvais apercevoir quelques gamins crasseux et curieux, dont les parents étaient pauvres.
Proposition 1 (principale) : Sur le pas de la porte, je pouvais apercevoir quelques gamins crasseux et curieux
Proposition 2 (subordonnée à la précédente) :  dont les parents étaient pauvres

Si on fait une phrase de la proposition 2 : Les parents de ces gamins étaient pauvres.
On voit que le nom à remplacer (gamins) est complément du nom (introduit par « de » . Les compléments du nom ou du verbe introduits par « de »  sont remplacés par le pronom relatif « dont ».

Votre phrase est injonctive : l’intention de son auteur est de faire faire quelque chose à quelqu’un.

La présence du possessif « vos » oblige à utiliser l’impératif : Imaginez et créez vos espaces verts.
L’infinitif lui aussi peut exprimer l’injonction, à l’écrit mais alors il faut utiliser le possessif « ses » : Imaginer et créer ses espaces verts.
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Le nom qui suit « ni » peut être aussi bien au pluriel qu’au singulier :
Il n’avait ni chaussettes ni pantalon – il ne connaissait ni les étudiants ni les professeurs.
Et en ce qui concerne des termes moins concrets, c’est la même chose : on peut avoir singulier ou pluriel, selon ce qu’on nie.
Si on veut insister sur le singulier, on ajoute « aucun » : Elle n’avait offert aucune protestation ni aucun conseil.