J’ai répondu sur votre second message.

occuper des places à l’avant du bus >> occuper les places avant
un règlement qui repose sur une discrimination raciale n’a pas lieu d’être >> ne devrait pas exister
ce phénomène finirait par attiser la colère de toute la communauté noire du pays et cela engendrerait des tensions et des conflits qui pourraient se solder par une guerre civile : sur le plan du sens il y a en effet une relation logique entre colère et tensions et conflits et entre tensions et conflits et guerre civile : on a une chaîne logique : colère=>tensions+conflits=>guerre civile.
Ce sont les verbes « engendrer » et « se solder par » qui expriment ce lien et non la syntaxe (pas de GN ni de propositions subordonnées) compléments de cause ni de conséquence

L’instinct n’est sans doute pas suffisant même s’il a vu juste :
Une famille noble m’a adoptée pour remplacer leur fille décédée.
Pourquoi ?
L’auxiliaire est « avoir. Le participe passé s’accorde avec le COD « me » (|m’| qui est féminin singulier, parce qu’il est placé avant.

Si vous parlez de l’âge d’un enfant : de quatre à quinze ans.
Si vous parlez de taille : du quatre au quinze ans (du 4 au 15 ans) : c’est ce qu’on dit à l’oral. A l’écrit, il est bon, selon le contexte d’être plus explicite : les tailles de quatre à quinze ans.

Votre question : Est-ce dû à la suite de la phrase, où il est expliqué que « maintenant, il va fournir les efforts nécessaires » ?
Oui :

Le peu de bonne volonté qu’il a montrée me laisse penser qu’il est aujourd’hui prêt à faire des efforts importants pour commencer une nouvelle vie
L’élément que j’ai mis en gras permet de lire cette phrase ainsi : même s’il a montré peu de volonté, il en a montré suffisamment pour que je puisse penser qu’il est aujourd’hui prêt à faire des efforts…

Le TLF signale « ennuyant » comme vieilli ou régional.
Et LIttré précise : Un homme ennuyant peut n’être aucunement ennuyeux.

« Ennuyeux », utilisé pour qualifier une personne  désigne une facette du caractère de cette personne. Une personne peut être honnête, fiable, intelligent, mesquin … ou ennuyeuse.

Si vous voulez garder « sachant », alors il faut écrire  :

Sachant trop bien combien j’ai du mal à obéir à des ordres que je n’ai pas donnés, je ne m’y présenterai pas.

Si je ne m’y présenterai pas, c’est sachant trop bien combien j’ai du mal à obéir à des ordres que je n’ai pas donnés est incorrect.
Il faut au présentatif « c’est » une conjonction de subordination : C’est… que / c’est…parce que/ c’est… quand / c’est…. si / c’est.. où… pour pouvoir introduire une proposition . Avec le participe présent,  « sachant », il n’y en a pas.

En plaçant la séquence (« sachant…. donnés ») en début de phrase, on obtient un effet de mise en relief qui peut compenser l’absence du présentatif.

S’agissant d’un titre, je préfèrerais :
Et pourtant, vous pleurez…
Les points de suspension, qui n’empêchent pas l’exclamation de s’exprimer (dans « et pourtant »), promettent une suite, font suspens.
La position de l’adverbe met en évidence l’opposition avec ce qui forcément précède, et ce faisant, le fait qu’il y a échange entre deux personnes (ou plusieurs).
Le rythme fait tomber la voix à la deuxième séquence « vous pleurez » et ainsi l’inflexion suggère une émotion

On peut aussi bien choisir le singulier que le pluriel en ce cas. Cela dépend du contexte. Pense-t-on à un échantillon possible, ou plusieurs ?
Il n’est pas obligatoire de conserver d’échantillon /d’échantillonsdu produit complet

Je ne parlerais pas d’accord entre deux noms. Le deuxième nom reste un nom et reste donc autonome.
Seul le sens de l’apposition permet de dire s’il se met au pluriel comme le premier nom ou s’il se met au singulier.

Le nom en apposition liée (sans préposition ni virgule)  ne se comporte pas comme un adjectif.
Le nom apposé et le nom auquel il se rapporte ne sont d’ailleurs, dans ce cas,  pas nécessairement du même genre :