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Quand un pronominal a un COD autre que le 2e pronom (réfléchi à, il suit la règle du participe passé avec l’auxiliaire avoir.
Ici donc il y a accord avec ‘que’ reprenant le nom ‘tâches’ et donc féminin pluriel.
Les tâches qu’il s’est assignées.Cette réponse a été acceptée par Agur. 16 heures auparavant Vous avez gagné 15 points.
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Il semble que la comparaison soit avec d’autres états d’elle-même. On utiliserait alors ‘le plus’.
Cependant, hors contexte, il est impossible d’en être sûr.- 49 vues
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‘Long’ peut en effet être adverbe, notamment avec ‘s’habiller, se vêtir’ : elle s’habille long – il est long vêtu.
Mais on ne dit pas : elle porte long. Il faut toujours un COD au verbe ‘porter’ et c’est alors ce nom COD auquel se rapporte ‘long’ non pas au verbe.
On écrira donc, elle porte les cheveux longs/ une chevelure longue.- 62 vues
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Les modifications qu’il nous avait demandé d’intégrer
C’est très simple : le COD n’est pas ‘que’ (reprenant ‘modifications’) mais ‘d’intégrer. ‘nous’ est, quant à lui, COI (il avait demandé à nous)La phrase n’est pas complète, j’en donne une suite pour pouvoir faire l’analyse : Les modifications qu’il nous avait demandé d’intégrer étaient nécessaires
Voici les deux phrases de base de cette phrase complexe (phrase à deux propositions) :
il nous avait demandé d’intégrer ces modifications
d’intégrer (ces modifications) est COD du verbe demander
modifications est COD du verbe intégrerCes modifications étaient nécessaires
Modifications est sujet du verbe êtreQue est pronom COD du verbe intégrer et pas du verbe demander
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Voici en effet la définition que donne le TLF à l’entrée ‘analogie’ :
Rapport de ressemblance, d’identité partielle entre des réalités différentes préalablement soumises à comparaison; trait(s) commun(s) aux réalités ainsi comparées, ressemblance bien établie, correspondance. (Correspond à analogue). (c’est moi qui grasse)
La différence avec une métaphore se trouve dans l’éventail de point communs ainsi soulignés.
Par exemple : le pont enjambe la rivière : la métaphore est réduite à une forme, elle ne s’étend pas plus loin.
De plus, la formulation est figée : dire qu’une personne s’enflamme pour un sujet, qu’une machine avale une feuille de papier etc, n’est pas une création du locuteur. En revanche, quand Zola montre la mine dévorant les mineurs, nous avons une métaphore qui exprime une réalité spécifique et complexe.
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La forme interrogative la plus soutenue comporte bien la reprise pronominale : Comment Jean fait-il la vaisselle ?
Il existe d’autres formes interrogatives
– très courante à l’orale, l’intonation marquant bien l’interrogation : sans reprise pronominale : Comment Jean fait la vaisselle ?
– familière ; Jean fiat la vaisselle comment ?
– incorrecte mais de plus en plus courante à l’oral,avec est-ce que : Comment est-ce que Jean fait la vaisselle ?Remarque :
est-ce que peut s’employer pour une interrogation totale : Est-ce que Jean fait la vaisselle ? (oui/non)
La forme soutenue utilise la reprise pronominale : Jean fait-il la vaisselle ?L’interrogation totale demande une réponse oui ou non, ou encore peut-être, ou je ne sais pas.
L’interrogation partielle demande une information sur le fait principal : comment? pourquoi ? où? etc- 87 vues
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De toute façon, comme l’adjectif est le participe passé du verbe ‘enceindre’, rien n’empêche d’utiliser le participe passé au masculin.
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Le trait d’union s’emploie à la place d’une préposition ou d’une conjonction de coordination pour marquer une relation logique implicite entre deux mots :
opposition : le match France-Angleterre
distance et durée : le trajet Paris-Bordeaux
division : je roule à 100 kilomètres-heure
coordination : j’ai ouvert un café-épicerie- 67 vues
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Rien d’étonnant à ce que vous tombiez sur des orthographes différentes.
On peut écrire : des porte-monnaie, des porte-monnaies ou des portemonnaies.
Ce mot est composé d’un verbe ‘porte’ et d’un nom ‘monnaie’ et signifie ‘objet qui porte la monnaie’. Logiquement ‘monnaie’ devrait rester au singulier (on ne dirait pas : objet qui porte les monnaies). Mais le nom s’est lexicalisé (il est très courant et on peut avoir ‘oublié qu’il s’agit d’un nom composé), d’où les deux autres orthographes.- 68 vues
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Ses lèvres, que parcouraient de petits sillons, frétillaient et ses paupières battaient ses
yeux avec charme.
Un verbe s’accorde avec son sujet ; or le sujet de ‘parcourir’ est ‘sillons’ pluriel. ‘Que’ est COD de ce verbe. ‘Ses lèvres’ est sujet du verbe ‘frétiller’.Si on change ‘lèvres’ par ‘front’ :
Son front, que parcouraient de petits sillons, frétillait et ses paupières battaient ses
yeux avec charme.Cette réponse a été acceptée par Romain44. 5 jours auparavant Vous avez gagné 15 points.
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