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Grand maître
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  • Grand maître Demandé 20 heures auparavant dans Accords

    Quand un pronominal a un COD autre que le 2e pronom (réfléchi à, il suit la règle du participe passé avec l’auxiliaire avoir.
    Ici donc il y a accord avec ‘que’ reprenant le nom ‘tâches’ et donc féminin pluriel.
    Les tâches qu’il s’est assignées.

    Cette réponse a été acceptée par Agur. 16 heures auparavant Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé 2 jours auparavant dans Question de langue

    Il semble que la comparaison soit avec d’autres états d’elle-même. On utiliserait alors ‘le plus’.
    Cependant, hors contexte, il est impossible d’en être sûr.

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  • Grand maître Demandé 2 jours auparavant dans Accords

    ‘Long’ peut en effet être adverbe, notamment avec ‘s’habiller, se vêtir’ : elle s’habille long  – il est long vêtu.
    Mais on ne dit pas : elle porte long. Il faut toujours un COD au verbe ‘porter’ et c’est alors ce nom COD auquel se rapporte ‘long’ non pas au verbe.
    On écrira donc, elle porte les cheveux longs/ une chevelure longue. 

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  • Grand maître Demandé 2 jours auparavant dans Accords

    Les modifications qu’il nous avait demandé d’intégrer
    C’est très simple : le COD n’est pas ‘que’ (reprenant ‘modifications’)  mais ‘d’intégrer. ‘nous’ est, quant à lui, COI (il avait demandé à nous)

    La phrase n’est pas complète, j’en donne une suite pour pouvoir faire l’analyse : Les modifications qu’il nous avait demandé d’intégrer étaient nécessaires
    Voici les deux phrases de base de cette phrase complexe (phrase à deux propositions) :
    il nous avait demandé d’intégrer  ces modifications
    d’intégrer (ces modifications)
    est COD du verbe demander
    modifications
    est COD du verbe intégrer

    Ces modifications  étaient nécessaires
    Modifications est sujet du verbe être

    Que est pronom COD du verbe intégrer et pas du verbe demander

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  • Grand maître Demandé 2 jours auparavant dans Question de langue

    Voici en effet la définition que donne le TLF à l’entrée ‘analogie’ :
    Rapport de ressemblance, d’identité partielle entre des réalités différentes préalablement soumises à comparaison; trait(s) commun(s) aux réalités ainsi comparées, ressemblance bien établie, correspondance. (Correspond à analogue). (c’est moi qui grasse)
    La différence avec une métaphore se trouve dans l’éventail de point communs ainsi soulignés.
    Par exemple : le pont enjambe la rivière : la métaphore est réduite à une forme, elle ne s’étend pas plus loin.
    De plus, la formulation est  figée : dire qu’une personne s’enflamme pour un sujet, qu’une machine avale une feuille de papier etc, n’est pas une création du locuteur. En revanche, quand Zola montre la mine dévorant les mineurs, nous avons une métaphore qui exprime une réalité spécifique et complexe.

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Général

    La forme interrogative la plus soutenue comporte bien la reprise pronominale :  Comment Jean fait-il la vaisselle ?
    Il existe d’autres formes interrogatives
    – très courante à l’orale, l’intonation marquant bien l’interrogation : sans reprise pronominale : Comment Jean fait la vaisselle ?
    – familière ; Jean fiat la vaisselle comment ? 
    – incorrecte mais de plus en plus courante à l’oral,avec est-ce que : Comment est-ce que Jean fait la vaisselle ?

    Remarque :
    est-ce que peut s’employer pour une interrogation totale : Est-ce que Jean fait la vaisselle ? (oui/non)
    La forme soutenue utilise  la reprise pronominale : Jean fait-il la vaisselle ?

    L’interrogation totale demande une réponse oui ou non, ou encore peut-être, ou je ne sais pas.
    L’interrogation partielle demande une information sur le fait principal  : comment? pourquoi ? où? etc

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  • Grand maître Demandé 3 jours auparavant dans Accords

    De toute façon, comme l’adjectif est le participe passé du verbe ‘enceindre’, rien n’empêche d’utiliser le participe passé au masculin.

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  • Grand maître Demandé 4 jours auparavant dans Général

    Le trait d’union s’emploie à la place d’une préposition ou d’une conjonction de coordination  pour marquer une relation logique implicite entre deux mots :
    opposition : le match France-Angleterre
    distance et durée  : le trajet Paris-Bordeaux
    division : je roule à 100 kilomètres-heure
    coordination : j’ai ouvert un café-épicerie 

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  • Grand maître Demandé 5 jours auparavant dans Accords

    Rien d’étonnant à ce que vous tombiez sur des orthographes différentes.
    On peut écrire : des porte-monnaie, des porte-monnaies ou des portemonnaies.
    Ce mot est composé d’un verbe ‘porte’ et d’un nom ‘monnaie’ et signifie ‘objet qui porte la monnaie’.  Logiquement ‘monnaie’ devrait rester au singulier (on ne dirait pas : objet qui porte les monnaies). Mais le nom s’est lexicalisé (il est très courant et on peut avoir ‘oublié qu’il s’agit d’un nom composé), d’où les deux autres orthographes.

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  • Grand maître Demandé 5 jours auparavant dans Accords

    Ses lèvres, que parcouraient de petits sillons, frétillaient et ses paupières battaient ses
    yeux avec charme.
    Un verbe s’accorde avec son sujet ; or le sujet de ‘parcourir’ est ‘sillons’ pluriel. ‘Que’ est COD de ce verbe. ‘Ses lèvres’ est sujet du verbe ‘frétiller’.

    Si on change ‘lèvres’ par ‘front’  :
    Son front, que parcouraient de petits sillons, frétillait et ses paupières battaient ses
    yeux avec charme.

    Cette réponse a été acceptée par Romain44. 5 jours auparavant Vous avez gagné 15 points.

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