Les deux n’ont pas exactement le même sens.

Le ciel est comme toujours gris, sans aucune promesse du bleu clair (habituel)

L’article contracté (du = de le) définit le nom qu’il détermine. C’est à dire qu’il ne s’agit alors pas de bleu clair en général , mais d’un bleu clair en particulier. Soit, on sait déjà
1 soit en quoi il est particulier :
Elle aime le bleu du ciel très particulier à cette altitude et espère chaque matin le voir éclore quelque part dans le ciel obstinément gris, jour après jour. . mais le ciel est comme toujours gris, sans aucune promesse du bleu clair.
2. soit on précise :
Le ciel est comme toujours gris, sans aucune promesse du bleu clair  qu’elle espérait/habituel/si si rare ces jours-ci.

J’invite mes élèves à sortir sur le terrain de Soccer : celle-ci est correcte, à condition qu’il n’y ait pas d’espace entre le lieu d’où sortent les élèves et le terrain.
L’homme sortit sur le balcon et salua la foule.
Au cas où il y a une distance à parcourir il faut ajouter un verbe de déplacement :
J’invite mes élèves à sortir et à se diriger vers le terrain – et à se déplacer jusqu’au terrain

« Se passer » est un verbe pronominal.
Les journées se passent à pêcher.  ici le sens est passif. Sens—> :  On passe les journées à pêcher (cette phrase est active)
Autres verbes pronominaux à sens passif : Des montagnes s’aperçoivent au loin – Ce chapeau se porte avec une robe longue sens—> on aperçoit des montagnes au loin – on porte ce chapeau avec une robe longue

Il se passe de drôles de choses ici. La tournure est impersonnelle
Il se dit de drôles de choses – il se peut que nous partions nous installer chez vous.

Il se passera de déjeuner/ je me passerai de déjeuner/ nous nous passerons de déjeuner sens—> il fera avec le manque de déjeuner . Dans ce dernier cas on voit bien qu’il s’agit du pronom personnel puisqu’il prend la marque de la personne.

Oui. Accord correct notamment.

Simplement parce que le sujet n’est pas le même.

Pour qui te prends-tu ? le sujet (inversé) est « tu », 2e personne du singulier.
Qu’est-ce qui te prend ? : le sujet est « Qui », 3e personne du singulier.

C’est pour cela qu’il faut bien maîtriser l’emploi des pronoms. Dès qu’il peut y avoir ambiguïté, il faut reformuler.

Dans une pièce, se trouvait une femme attrayante par la chemise qu’elle portait ;à mesure qu’elle tapait au clavier et s’arrêtait pour lire son texte sa manche retroussée remuait.

Ici, il a suffi de déplacer un élément.

y = à l’intérieur
en = de/avec cela

Je m’y cache : je me cache à l’intérieur.
La couette, j’y fourre ma tête : je fourre ma tête à l’intérieur

Je m’en enveloppe la tête : je m’enveloppe la tête de/avec cela
Je m’en coiffe : je me coiffe de/avec cela
Je m’en entoure : je m’entoure de/avec cela

L’appartenance s’exprime avec la préposition « de »/
L’entrée de l’immeuble – le chien de mon voisin – la responsable de l’entreprise

Nous sommes venus ensemble à pied au collège.

Le verbe a trois compléments circonstanciels :
ensemble : adverbe de manière
à pied : locution adverbiale de manière
au collège : complément de lieu

Comme les trois sont mobiles, vous avez le choix selon ce que vous voulez mettre en évidence :
Nous sommes venus au collège ensemble, à pied.
Nous sommes venus à pied, ensemble, au collège, à pied
Nous sommes venus au collège à pied, ensemble.

A quoi pensez- vous ? phrase interrogative directe
Dites-moi à quoi vous pensez immédiatement lorsque je parle de résilience .  Phrase interrogative indirecte (l’interrogation est introduite par « dites-moi ».

Est-on devenus des parias ? phrase interrogative directe
Quelqu’un sait à quel moment on est devenus des parias. Phrase interrogative indirecte (interrogation introduite par « quelqu’un sait ».
Mais on peut interroger sur le fait que quelqu’un sache ou non. Apparaît alors une interrogative directe :
Quelqu’un sait-il ?  dans laquelle on a une interrogative indirecte : (on sait/ sait-on …?) à quel moment on est devenus des parias.