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Soit vous écrivez
Les quelques spectateurs regardent... et vous en avez déjà parlé (puisqu’il y a l’article défini).
Ou :
quelques spectateurs regardent…
Dans ces deux cas « quelques » est adjectifIl y a aussi un « quelque » adverbe signifiant « à peu près »
quelque/à peu près cent spectateurs regardent- 6021 vues
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Bonjour Monsieur X, madame Y est arrivée, pouvez-vous la recevoir ?
» Bonjour Monsieur X, pouvez-vous recevoir mme Y ? Puis-je lui dire de se présenter à votre bureau ?
etc.- 1052 vues
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En effet, il semblerait qu’elle ait dû l’amener aux urgences le mardi
sans que j’eusse : forme strictement correcte : une phrase au passé demande un subjonctif au passé
sans que j’aie : largement toléré car les subjonctifs imparfait et plus que parfait deviennent obsolètes- 1696 vues
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« Normalement » il faut en effet respecter le temps passé dans le subjonctif et donc utiliser le subjonctif imparfait pour la première phrase et plus que parfait dans la seconde :
Il adorait clairement son métier. Bien que ce fût son père qui l’avait mis* sur les chantiers dès qu’il fut assez grand pour donner un coup de main, il ne se voyait pas faire autre activité.
*utiliser le plus que parfait de l’indicatif ici pour marquer l’antérioritéBien qu’il eût passé tout l’été à réaliser les travaux les plus faramineux dans cette vieille carcasse, il n’arrivait toujours pas à y croire, cette maison était à lui !
Mais on tolère largement le subjonctif passé, le subjonctif plus que parfait et imparfait tombant en désuétude surtout pour les autres personnes que le « il ».
–> bien que cela soit son père… et Bien qu’il ait passé- 885 vues
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Ils nous ont tirés par les manches de nos habits, pour nous faire lever.
Ils nous ont tirés par les manches de nos habits, pour nous faire nous lever.Les deux phrases n’ont pas le même sens.
On le voit peut-être mieux dans cet exemple :Il s nous ont emmenés dans la loge pour nous faire habiller (par l’habilleuse)
Il nous ont emmenés dans la loge pour nous faire nous habiller (par nous-mêmes)- 921 vues
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Une explication peut-être un peu longue mais nécessaire me semble-t-il :
Un nom peut être complété par un adjectif, un nom (ou un GN) et une proposition (relative).
J’ai jeté le verre ciselé/ en cristal / que tu as cassé
En ce dernier cas, pour éviter sa répétition on utilise un pronom (relatif signifie « qui relie »).
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que tu as cassé = tu as cassé ce verre ==> « que » remplace donc « verre » et est COD du verbe « casser ».
J’ai jeté le verre qui était sur la table
qui était sur la table = ce verre était sur la table : « qui » est sujet du verbe « casser »Le pronom relatif peut donc avoir différentes fonctions et sa forme change : que = COD, qui = sujet, à que/à qui = COI, où = complément circonstanciel de lieu, dont = complément introduit par « de », etc.
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Votre phrase :
Ils ont de graves problèmes de santé liés à cette boisson qui leur est donnée
qui leur est donnée est proposition subordonnée relative qui complète le nom « boisson ». (« qui » remplace « boisson » pour éviter la répétition : cette boisson leur est donnée)
règle du participe passé : l’auxiliaire est « être » : on accorde avec le sujet qui est ici « qui » féminin singulier.
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Il faut ici le mode indicatif, temps du réel. Le subjonctif est le mode du conceptuel.
– On peut choisir le passé composé si on veut présenter l’action « couper les cheveux » comme un élément d’une énumération d’actions :
J’ai l’impression de m’être innocemment baissé, comme pour refaire mes lacets et cette rafale perdue m’a coupé les cheveux à l’iroquoise.– On peut choisir l’imparfait si on veut considérer le déroulement de l’action « couper les cheveux » :
J’ai l’impression de m’être innocemment baissé, comme pour refaire mes lacets, tandis que cette rafale perdue me coupait les cheveux à l’iroquoise. Mais si vous utilisez « tandis que » vous choisissez la deuxième formulation, forcément, étant donné le sens de la conjonction, Cathy a raison.On a souvent le choix entre plusieurs temps (d’un même mode) selon ce qu’on veut dire, le point de vue qu’on choisit. C’est ce qui fait la richesse d’une langue.
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Bien sûr que c’est redondant.
Mais on a souvent besoin d’insistance dans la communication ; et la redondance n’est pas une faute.
C’est toi celui qui part en premier ne dit pas la même chose que tu pars en premier. Le « c’est toi » s’oppose (au moins implicitement) à « c’est moi » ou « c’est lui », « c’est nous », etc.
« celui qui » est une insistance supplémentaire qui peut être voulue.
Il n’y a pas d’incorrection.- 1080 vues
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Il faut exprimer le COD : après les avoir remplis.
En effet, « remplir » est un verbe transitif qui a « besoin » d’un complément. On remplit toujours quelque chose.- 4146 vues
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Les pronoms relatifs ont deux fonctions : ils relient deux propositions (relatifs) et remplacent un nom (pro-nom = pour le nom).
Le pronom relatif « dont » remplace un nom qui est complément introduit par « de ».
Voici quelques fonctions
– Complément du nom
La personne dont j’ai écouté la conférence est un homme remarquable
La personne est un homme remarquable – j’ai écouté la conférence de cette personne
– Complément d’objet indirect
L’homme dont je t’ai parlé est revenu aujourd’hui.
L’homme est revenu aujourd’hui – je t’ai parlé de cet homme
– Complément circonstanciel de lieu
L’endroit dont je viens est très lointain
L’endroit est très lointain – je viens de cet endroit
– Complément de matière
Le bois dont est fait cet objet pose problème
Le bois pose problème – cet objet est fait de bois
etc.
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