49556
points
Questions
15
Réponses
6615
-
Il faut enlever ce « de » : Sa Majesté l’Écriture, avec une majuscule à » écriture ».
Titres de journaux : à Sa Majesté Hassan II – Sa majesté Charles III, vice-roi de l’écologie
Tous venaient réclamer justice auprès du roi des animaux Sa Majesté le lion (Roman de Renard)- 1276 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Il suffit d’enlever le « vous » : le chef — demande si vous avez envoyé le mail, et voudrait que vous lui fournissiez la liste des invités
M. R demande l’élève machin/ veut voir l’élève machin/m’envoie chercher l’élève machin : les trois phrases sont correctes.
- 1146 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Pourquoi indique la cause. Pour quoi indique le but ou l’attribution.
Il faut donc ici pour quoiDonner un sens réel à ce pour quoi vous le faites = donner un sens réel à l’objet pour lequel vous le faites (attribution)
Une structure parallèle : Dire ce à quoi vous pensez = dites la chose à laquelle vous pensezAvec pourquoi on aurait une tout autre formulation :
Donner un sens réel et dire pourquoi vous le faites, pour quelle raison.Cette réponse a été acceptée par Dimi. le 24 octobre 2022 Vous avez gagné 15 points.
- 1269 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Il me semble qu’on peut dire simplement :
– quand le verbe pronominal a un COD autre que le pronom personnel réfléchi et quand le personnel réfléchi est COD, il suit la règle du PP concernant l’auxiliaire « avoir ».
Elle s’est acheté une robe – la robe qu’elle s’est achetée – etc.
Elle s’est lavée sous la douche : elle a lavé « se » (=elle-même)– quand le verbe pronominal n’a pas de COD ou s’il a un pronom personnel réfléchi non analysable, il suit la règle ordinaire des PP construits avec « être : accord avec le sujet
Elles se sont battues.
Elle s’est aperçue de la disparition de sa bague.- 2480 vues
- 7 réponses
- 0 votes
-
Tout ne se résout pas avec des règles de grammaire.
C’est souvent le sens qu’il faut considérer.
1 Un café/noir/au lait/ qui serait brûlant/ que vous me serviriez sur un plateau/ accompagné d’une tartine/ ne serait pas de refus.
2 Un café et une tartine ne seraient pas de refus.
En phrase 1 « accompagné d’une tartine » est un complément du nom « café », comme peuvent l’être un adjectif ou un GN, ou une proposition relative.- 957 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
C’est aussi choisir de s’accepter mutuellement et de se respecter pour ce que nous sommes en tant qu’individus.
Individus est complément du pronom. Le sens veut qu’il se mette au pluriel comme lui.On le voit bien avec le pluriel d’un nom qui n’est pas homophone du singulier :
Ils ont réagi en tant que chevaux (on ne dirait pas : ils ont réagi en tant que cheval)Cette réponse a été acceptée par Balz. le 23 janvier 2023 Vous avez gagné 15 points.
- 1881 vues
- 6 réponses
- 0 votes
-
Je le trouve l’article du Robert pertinent :
combien les toiles ont-elles coûté ? 10 000 euros = mesure
combien de toiles avez-vous achetées ? dix toiles/ beaucoup de toiles = nombre de toilesMais la question concernant « faire des victimes » « faire des heureux » « faire les délices » demeure. Ce sont des locutions verbales et par conséquent dit-on : les victimes qu’il a faites – les délices qu’il a faites – les heureuses qu’il a faites ?
Je pense que non car « il » n’a pas fait, fabriqué les heureuses, les délices, les victimes il a rendu des personnes victimes quelque chose est devenu délices (pour quelqu’un), il a rendu des personnes heureuses.
Il me vient donc l’idée que « victimes » , « heureuses » et délices »sont ATTRIBUTS et non COD.- 2061 vues
- 10 réponses
- 1 votes
-
Les participes passés des pronominaux qui ont un COD, bien qu’accompagnés de l’auxiliaire « être » suivent la même règle que ceux accompagnés de l’auxiliaire « avoir ».
- 2262 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Non non, Catbaloo ce n’est jamais la durée de l’action qui détermine le choix d‘un passé simple ou d’un imparfait :
Je dormis 10 heures d’affilée.
Il se levait quand le directeur entra.C’est l’angle qu’on choisit :
– ou on entre dans le déroulement du procès (préférable à « action » car plus général) et on a l’imparfait, quelle que soit la durée.
– ou on considère le procès dans sa totalité (pour souvent passer à un autre procès > succession) et on a le passé simple.
Un même texte peut être à l’un ou l’autre temps. L’effet sera différent.
Exemple :
La lune se levait. Le vent passait dans les branches avec un chuintement continu. Les draps très blancs étendus sur le fil claquaient. Une lumière brillait à l’étage de la maison.La lune se leva. Le vent passa dans les branches avec un chuintement continu. Les draps très blancs étendus sur le fil claquèrent. Une lumière brilla à l’étage de la maison.
Et on peut choisir l’un ou l’autre avec n’importe quel verbe.
Il s’apprêtait à parler lorsque la porte s’ouvrit.
Il se leva, toussota. Il s’apprêta à parler. Marie le regarda. Il hésita…..- 1425 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Hors contexte on ne peut savoir quelle est la valeur de la forme « trouverait » : ce peut être un présent du mode conditionnel ou un futur du passé.
– S’il s’agit du mode conditionnel comme dans la phrase :
Il trouverait alors rapidement une solution jusqu’à ce qu’elle s’avère inefficace
On utilise le subjonctif présent car la phrase est au système présent (acceptait : imparfait sans valeur temporelle mai seulement modale : hypothèse)
– Mais dans le cas ci-dessous « trouverait » est un futur du passé :
Il décida de s’atteler à la tâche, dès le lendemain . Il trouverait alors rapidement une solution jusqu’à ce qu’elle s’avérât inefficace
La phrase est au système passé. En conséquence la concordance des temps demande un subjonctif imparfait : « s’avérât. »On note cependant que, le subjonctif imparfait (comme le subjonctif plus que parfait) tombe plus ou moins en désuétude et qu’on emploie de plus en plus fréquemment le subjonctif présent (ici « s’avère »).
- 1361 vues
- 4 réponses
- 0 votes
