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Il s’agit de l’adjectif qui vient ici qualifier le pronom « ceux ».
TLF : Adjectif postposé au substantif (ou au pronom)*[…]; exprime un rapport d’ipséité]
Marque que l’être évoqué est spécifiquement en cause, à l’exclusion de tout autre]
*C’est moi qui ajoute.
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Le pronom relatif prend le genre et le nombre de son antécédent. Ici, l’antécédent de « qui » est « prisonniers ».
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Ils étaient considérés comme les parents de Clara et Diego. Ainsi, à titre de/ comme ils étaient considérés comme leurs pères, ils pouvaient les mener à l’autel.
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De toutes façons, l’adverbe « tant » joue ici sur le verbe et n’a aucune incidence sur le nombre du COD quel qu’il soit.
De cet homme, vous avez tant utilisé que…
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Puisque vous placez le mot en attribut, il s’agit de l’adjectif. Le verbe au participe présent ne peut être attribut.
Si cet élément est influent, il y a des chances de voir apparaître les mêmes caractéristiques dans la génération suivante.
Cette réponse a été acceptée par MaryT. le 28 octobre 2022 Vous avez gagné 15 points.
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Un livre dont l’auteur parle de son enfance…
La phrase étant inachevée, pour mieux analyser, donnons-lui une suite.
Un livre dont l’auteur parle de son enfance est posé sur la table.
Cette phrase complexe (composée de deux propositions) est issue de deux phases simples :
Un livre est posé sur la table.
l’auteur du livre parle de son enfance.
Il s’agit, en reliant les deux propositions, de ne pas répéter « livre ». On choisit pour cela le pronom qui relit (relatif) dont, parce que le mot qu’il remplace est complément introduit par « de » (ici complément du nom « auteur »).
Et on obtient la phrase complexe citée ci-dessus.
Le sens serait autre avec les deux phrases de base suivantes :
Un livre est posé sur la table.
L’auteur du livre parle d’enfance
On aurait alors la phrase complexe suivante : L’auteur dont le livre parle de l’enfance est posé sur la table.Vous écrivez qu’on ne peut utiliser une marque d’appartenance dans une relative qui fait déjà référence à une personne. C’est vrai dans les cas où la référence concerne les parties du corps, ou une partie intrinsèque d’un objet ou d’une personne qu’exprime le nom antécédent.
L’homme qui lève les bras…. (quoique là, « ses » est possible aussi avec nuance expressive)
Le livre dont l’auteur tourne les pages…
Mais ici ce n’est pas le cas. « Enfance » n’appartient pas syntaxiquement à livre. Certes il est question de l’enfance de l’auteur dans le livre. Mais l’enfance n’appartient pas au livre mais à l’auteur du livre.L’auteur dont on peut découvrir l’enfance dans ce livre est M. X.
En ce cas, ce que vous dites s’applique : « son » ferait pléonasme avec dont mais dans la phrase que vous citez, « dont » et son » ne font pas pléonasme .- 1274 vues
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Rien. Épargner quelque chose à quelqu’un
J
e vous épargne les moqueries.Cette réponse a été acceptée par Lilyine. le 27 octobre 2022 Vous avez gagné 15 points.
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On dit bien en effet au Havre et pas à Le Havre.
On dit à La Ciotat car au féminin pas de contraction possible entre article et préposition.Je pense qu’il faut simplement accepter ces formulations.
On retrouve la même chose avec les titres de romans par exemple
Je parle du Rouge et le Noir. Je fais référence au Hussard sur le toit- 1127 vues
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Si on transpose cette phrase au présent, le futur peut apparaître en effet :
Je ne pourrais pas imaginer que mon ami passera par ce chemin
et on voit que le subjonctif, lui aussi, est possible :
Je ne pourrais pas imaginer que mon ami passe par ce cheminLa différence est en effet, comme le dit Joëlle, dans la réalité du fait n°2. Avec le futur, il est acquis comme une réalité à venir ; avec le subjonctif, la focalisation se déplace sur le fait n°1 (imaginer) au point que le fait n°2 (passer) est vu comme incertain.
C’est donc à vous qu’il convient de choisir ce que vous voulez dire, exactement :
Je n’aurais jamais pu imaginer que mon ami passerait par ce chemin.
Je n’aurais jamais pu imaginer que mon ami passât par ce chemin. >> on peut, c’est toléré et de plus en plus fréquent, laisser l’imparfait du subjonctif qui tombe en désuétude, pour le subjonctif présent « passe »>> que mon ami passe par ce chemin- 1385 vues
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On peut toujours utiliser le singulier pour le présentatif « c’est », quel que soit le temps utilisé.
Mais il vaut mieux écrire :
Les exemples dont il a parlé, ce sont de petits problèmes…
Les exemples dont il a parlé, c’étaient de petits problèmes…- 1204 vues
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