Ce sont les voitures qu’il a ramenées et pas le nombre. L’accord se fait avec « voitures ».

La proposition relative « qu’il a ramenées » est une expansion du nom « voiture » comme le serait un adjectif ou un GN.
Le nombre de voitures qu’il a ramenées à son fils est considérable.
Le nombre de voitures blanches et considérable.
Le nombre de voitures à toit ouvrant est considérable.

Je préfère largement le mot erreur à faute, même pour les petits auteurs.

Une erreur de syntaxe, une impropriété restent des erreurs quelle que soit la personne qui la commette.

Il est possible que tel ou tel auteur, consciemment, fasse une entorse aux règles, pour créer du sens. La poésie le fait d’ailleurs souvent et en effet, on ne peut citer les « trouvailles » poétiques en exemple pour le bien parler.
Il se peut aussi qu’un néologisme, qu’une notion nouvelle ou retrouvée donnée à un mot, qu’un écart syntaxique signifiant, s’inscrivent dans la langue. C’est aussi comme cela qu’une langue évolue.
Cependant, la grammaire  normative a son rôle : éviter une évolution trop rapide de la langue et permettre qu’on se comprenne le plus longtemps possible entre générations.

la question qu’elles se sont posée.
Ici on a un pronominal certes, et donc conjugué avec l’auxiliaire « être ». Cependant il a un COD. Et ce COD est « que » (pronom)., mis pour « question » singulier féminin.
Quand un pronominal a un COD la règle qui s’applique est la même que pour les PP construits avec « avoir ».

Le COD est placé avant : accord.

Attention « se » n’est pas COD mais COI et n’entre pas en ligne de compte pour la règle du participe passé.

Mon message sous votre autre message.

Il s’agit d’un texte informatif.
Son enjeu n’est pas de décrire, c’est  à dire de dépeindre. Il n’est pas non plus de raconter c’est à dire de rendre compte d’une succession d’actions ou d’événement, mais bien d’informer.

D’autres types de textes : argumentatif,  didactique,  explicatif, poétique…

Vous le dites vous même : il s’agit de la ponctuation ordinaire utilisée quand on a une série d’éléments de même fonction dans la phrase. Ici il s’agit de compléments du noms à valeur explicative
Série de sujets :  Papa, maman, ma sœur, mon frère, sont des personnes fort originales.
Série de verbes : Nous avons passé la journée à rire, jouer, nous chamailler, travailler.
Série de compléments circonstanciels :  Nous sortîmes parce que nous avions besoin de prendre l’air, à cause du grand soleil, pour nous changer les idées.

Oui.
C’est comme si je devais me sentir privilégiée qu’il m’ait choisie pour accomplir son destin.

Pourquoi :
L’accent est mis sur l’attitude intérieure exprimée dans la principale (devoir se sentir …). C’est pourquoi le fait n°2 (choisir) est au subjonctif. Ce n’est pas une information mise sur le même plan que le fait  n°1

autre victoire sur le financement des ONG
la liberté de pratiquer la désobéissance civile des ONG était menacée

Pour subordonner la seconde à la première il y a en effet deux solutions :

– autre victoire sur le financement des ONG dont la liberté de pratiquer la désobéissance civile était menacée.
– autre victoire sur le financement des ONG,  desquelles la liberté de pratiquer la désobéissance civile était menacée.
(sans doute moins fluide)

C’est ONG qui est l’antécédent dans les deux cas.
« Liberté » est son complément (lui même a un complément : « de pratiquer… »

Bien sûr Feenie : vous pouvez utilisez le singulier qui peut prendre (notamment ici) une valeur généralisante.
Nous avons là un singulier qui donne à un nom une extension générique, qui le ramène à un genre, à un type.

Oui les deux verbes sont presque absolument synonymes. Cependant lorsqu’on a deux mots pour une même notion générale,  on note toujours une, voire des nuances.
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La BDL:
Les verbes influencer et influer se ressemblent tant du point de vue de la prononciation que du sens. Ils sont d’ailleurs interchangeables dans certains contextes. On note toutefois des nuances, des tendances ainsi qu’une différence de construction entre les deux verbes.
[…]
Le verbe influencer signifie « exercer une influence sur ». Il s’applique souvent aux personnes ou encore à leur comportement, leur volonté, leurs opinions.Le verbe influer signifie « exercer une action sur ». Bien qu’il puisse parfois être synonyme d’influencer, ce verbe tend à s’appliquer surtout aux choses ou aux concepts abstraits. Et ces deux verbes se construisent différemment : alors qu’autrefois influer était un verbe transitif direct, aujourd’hui il est toujours suivi d’un complément introduit par la préposition sur.
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Même en considérant que cette nuance-là n’existe pas, on ne choisit pas indifféremment l’un ou l’autre. « Influer » est plus soutenu et puis, il est plus court et a une construction indirectes, ce qui n’est pas négligeable en poésie par exemple, ou en prose littéraire, notamment (sons, rythmes…). Il se peut aussi que ses connotations soient légèrement différentes : on perçoit davantage le terme de « flux » dans influer me semble-t-il.