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La tournure « pour .. que +verbe » n’a pas le sens de but comme dans la phrase suivante : Je lui ai donné des informations pour qu’il comprenne, mais signifie : aussi… que + verbe. il s’agit d’une restriction.
L’intérêt pour la piétonisation, pour légitime qu’il peut être, ne saurait escamoter l’enjeu de la promotion de la marche en tant que mode de déplacement à part entière
L’intérêt pour la piétonisation, *aussi légitime qu’il peut être, légitime, ne saurait escamoter l’enjeu de la promotion de la marche en tant que mode de déplacement à part entière.
*même s’il est très légitimePour déconcertante qu’elle fut, cette expérience a révélé … . = Aussi déconcertante qu’elle fut, cette expérience a révélé …
L’expression du but demande le subjonctif. L’expression de la restriction laisse le choix entre indicatif et subjonctif : quand on choisit le subjonctif c’est alors pour signifier une hypothèse, l’indicatif énonce un fait reconnu comme réel.
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Je ne suis pas ne spécialiste de la ponctuation, mais il me semble assez évident que vous avez raison.
Ci-dessous, c’est moi qui mets en gras :On met entre deux virgules toute expression ou toute proposition qu’on peut supprimer ou changer de place sans dénaturer le sens de la phrase ;tels sont les mots employés par apposition ou par apostrophe, les compléments circonstanciels, les propositions interjetées et les propositions incises explicatives.
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Les parenthèses servent renfermer un mot ou une site de mots qui ne font pas partie de la phrase, et qu’on pourrait supprimer sans nuire au sens généralEspace français
Mettre à la fois entre virgules et entre parenthèses est donc en effet pléonastique.
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Je pense comme vous Ouatitm. Ave l’infinitif ici, on tombe dans l’abstrait.
En tous cas j’emploierais l’indicatif : je bous/je suis effrayé/ révolté à l’idée que je me bats contre mes propres préjugés.
Le subjonctif est à écarter car si le locuteur voulait justement déplacer le focus sur son attitude mentale, il aurait précisément employé l’infinitif.- 1871 vues
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Les deux formulations sont correctes.
1 Par quoi définit-on le héros si ce n’est par celui dont la noblesse d’âme et la haute vertu le distinguent du commun des mortels ?
On a subordination de la deuxième de ces phrases de base :
a) par quoi définit-on le héros si ce n’est par celui (-ci)
b) la noblesse d’âme et la haute vertu de celui(-ci) le distinguent du commun des mortels
Le deuxième « celui » (b, complément du nom introduit par « de ») est correctement remplacé par dont dans la phrase complexe 12 Par quoi définit-on le héros si ce n’est par celui que la noblesse d’âme et la haute vertu distinguent du commun des mortels
a) Par quoi définit-on le héros si ce n’est par celui(-ci)
b) la noblesse d’âme et la haute vertu distinguent celui(-ci) du commun des mortelsLe deuxième « celui » (b, complément d’objet direct) est correctement remplacé par que dans la phrase complexe 2
Les deux phrases ne sont pas construites de la même façon. La 2, la vôtre, est plus fluide. La première est maladroite parce qu’elle accumule les pronoms : celui, dont, le
Remarque : je suis gênée par la préposition « par » et j’écrirais plutôt (plus juste) :
Comment définit-on le héros si ce n’est ainsi : celui que la noblesse d’âme et la haute vertu distinguent du commun des mortels ?- 1223 vues
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Elle est souvent peu décrite dans les rapports d’entreprise
Le singulier a ici une valeur générique. Il n’est pas question d’entreprises précises. Si c’était le cas d’ailleurs on aurait : les rapports des (de + les) entreprises sont sur votre bureau.
On peut quand même choisir le pluriel si auparavant on a par exemple, fait état de différents types d’entreprises. Mais le cas serait particulier, peu courant.
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Une attitude d’être civilisé qui tient compte du confort des autres .
Il est plus clair en effet de remplacer par « personne » bien que « être » ne peut être un verbe (la formulation serait incorrecte)
Une attitude de personne civilisée qui tient compte du confort des autres »« de personne civilisée » est complément du nom « attitude ». Il ne peut pas être circonstanciel. Les compléments circonstanciels sont toujours compléments de verbes.
Le titre que vous avez donné à votre question est « expansion du nom ». L’expansion du nom peut être :
– un adjectif : une attitude responsable
– un GN (comme dans votre phrase inachevée) : une attitude d’être civilisé
– une proposition relative (le nom « attitude » de votre portion de phrase en a une : qui tient compte du confort des autres
Ces 3 expansions du nom peuvent aussi être dites compléments du nom, puisqu’elles sont là pour le compléter.- 1073 vues
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RE: Bonjour, doit on écrire : « 5 ans d’expérience demandé, demandés, demandée ou demandées ? »merci
Pour plus de clarté je formulerais ainsi : il est demandé 5 ans d’expérience (forme impersonnelle)
Sinon : 5 ans d’expérience sont demandés > avec élision de « sont » : 5 ans d’expérience demandés- 23578 vues
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En termes linguistiques, un terme est la désignation d’un concept. Un élément simple.
Le terme est formé d’une désignation et d’un concept. Un terme ne se limite pas forcément à un mot. Une expression verbale, par exemple est un terme. « Monter la garde » « avoir l’air » , « avoir lieu » sont des termes puisque chacun de ces éléments correspond à un concept.
Ceci pour faire vite.—
Pour répondre à votre question : À droite , la porte d’entrée et une fenêtre dont les volets sont clos. »,
Je dirais que « porte d’entrée » est un terme mais pas le deuxième GN.- 1145 vues
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La règle du participe passé.
– avec l’auxiliaire « être » l’accord se fait avec le sujet (pour les pronominaux ce n’est pas le cas s’ils ont un COD différent que le réfléchi)
– avec l’auxiliaire « avoir » l’accord se fait avec le COD s’il est placé avant.
Dans votre phrase : avoir + participe passé et pas de COD => pas d’accord possible.- 1517 vues
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Si le nom du saint contribue à la dénomination d’une rue, d’un édifice, d’un ordre religieux, d’une fête, etc., majuscule et trait d’union s’imposent : « rue Saint-Jean ».
La même règle s’applique avec l’adjectif « sainte ». Projet Voltaire
La Sainte-Rita. J’emploierais plutôt l’article féminin, les bateaux n’ayant pas de genre spécifique et le nom étant féminin. Mais on peut le mettre au masculin.
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