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Furkt : excusez-moi, finalement, je ne vous avais pas répondu directement.
Prudent, il s’éloigna d’elle le temps que sa potion NE fasse effet : on enlève >> Prudent, il s’éloigna d’elle le temps que sa potion fasse effet
Il ne fallut que quelques secondes pour que son corps (ne) soit tétanisé : le « ne » explétif est facultatif mais possible.
On utilise également le ne explétif avec certains subordonnant composés comme avant que, à moins que. « Il ne fallut que » fait partie de ces subordonnants.Sans que s’emploie sans « ne » : Relâchez brusquement la laisse d’un chien qui tire dessus et vous le verrez partir sans que plus rien l’arrête
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Je n’oublierai jamais cet affreux accident et les séquelles qu’il en a gardées
Oui le participe passé s’accorde avec « que » qui est le COD. Que remplace « séquelles » féminin pluriel.« En » n’est pas COD mais COI, il remplace « accident » : les séquelles qu’il a gardées de cela (de l’accident)
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C’est entourée de ses parents et de ses proches qu’elle va être baptisée aujourd’hui.
Je suppose que vous connaissez la règle du PP :
Avec « être » (être est bien ici l’auxiliaire du verbe) le PP s’accorde avec le sujet du verbe. Le sujet du verbe baptiser est « elle »
Pour le premier participe passé « entourée », il se rapporte à « elle ». Le sens : elle est entourée de ses parents, c’est ainsi qu’elle va être baptisée aujourd’hui.- 7713 vues
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Gaine – où avez-vous cherché ? en cas de doute sur un mot, il faut consulter les dictionnaires.
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Bonjour.
Je crois la Thaïlande être en train de vivre sous la même menace est incorrect
Je crois + subordonnée conjonctive : je crois que la T est menacée
Je la crois menacée est correctJe crois la T menacée est correct : c’est précisément le participe passé qui convient ici parce qu’il exprime un état.
La tournure avec l’infinitif passif (avec lequel vous voudriez exprimer un état) est donc inutile dans notre langue et jugée incorrecte.
La subordonnée conjonctive permet de développer (compléments par exemple)- 955 vues
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On trouve « en » dans un certain nombre de locution verbales figées, parfois familières, parfois non.
Familier : En baver – en pincer pour – en griller une (cigarette) – en casser une (graine)- ne pas en rater une (sottise)
Non familier : en découdre – en voir de toutes les couleurs – s’en tirer – s’en sortir – s’en allerLe pronom « en » signifie « de cela » qui peut recouvrir une idée très vague. C’est le cas de « s’en aller ».
Il ne s’agit pas d’une classe de verbes qu’on pourrait nommer- 1397 vues
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Vous posez la même question que Emad (message au-dessus de celui-ci). Voyez la réponse.
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J’aime faire du sport
Faire de + un sport
J’aime faire du vélo/du théâtre/de la randonnée
Sport est ici complément d’objet indirect introduit auprès du verbe par une préposition -de (du = de le)
Si on remplace « sport » par un pronom, ce ne peut être « le » qui serait COD mais « en » qui est COI.- 1708 vues
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La scène n’a rien des heureuses retrouvailles qu’elle s’était imaginées.
le verbe pronominal « s’imaginer » a un COD : que (qu’) qui reprend « retrouvailles » féminin pluriel.
Ce COD est placé avant : l’accord du PP se fait avec lui. (de la même façon qu’un participe passé accompagné de l’auxiliaire avoir)- 1199 vues
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Seul le tiers des élèves est concerné
Seuls le tiers des élèves sont concernés
Adjectif et verbe peuvent être accordés :
– avec le nom de fraction ou de pourcentage, si l’on souhaite insister sur la proportion précise ;
– avec le complément, en genre et en nombre, si l’on souhaite insister sur l’ensemble exprimé.- 1448 vues
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