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Bonjour,
Etant donné que les opinions des grammairiens divergent sur cette question, en voici quelques-unes répertoriées sur ce site, on va dire que les deux accords sont acceptables.
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Les deux sont possibles, mais l’énoncé de départ n’est pas identique :
Voici un jeune ado dont les parents l’ont mis à la porte.
Les parents de ce jeune ado l’ont mis à la porte.Voici un jeune ado que ses parents ont mis à la porte.
Ses parent ont mis à la porte ce jeune ado.- 973 vues
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Bonjour,
Les deux accords sont défendables selon la façon dont on paraphrase images choc(s).
En apport de complémentation* ce sera le singulier :
Des images qui provoquent un choc.En apport de qualification* ce sera le pluriel :
Des images qui sont des chocs.Si on prend 6 dictionnaires accessibles en ligne : TLFi, Académie, Robert, Larousse, Usito et Cordial**, les deux premiers ne disent rien de l’accord et comme les exemples donnés sont au singulier (ou ambigus prix), on ne peut rien conclure. Robert donne explicitement le choix entre les deux accords ; Larousse ne dit rien explicitement, mais donne deux exemples au pluriel avec accord. Enfin, les deux derniers indiquent explicitement l’accord.
Il semble donc que les gardiens de la norme penchent plutôt du côté de l’accord que du non accord. En cela ils se font le reflet de l’usage qui parait également pencher du côté de l’accord, voir ce ngram.
* Sur le notions d’apport de complémentation et de qualification, voir la BDL.
Je vois d’ailleurs que la BDL évoque le cas de choc : « Notons que le rapport de sens entre le nom employé comme adjectif et le nom qu’il accompagne est dans certains cas difficile à paraphraser. De fait, deux graphies sont parfois possibles : des formules chocs (des formules qui sont comme des chocs), des formules choc (des formules de choc). »
**On les trouve réunis ici.
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Quant à la valeur d’atténuation, deux choses :
d’une part, je ne vois pas bien comment la justifier dans le cas présent ;
d’autre part, le futur a également cette valeur modale ; extrait du Bon Usage :
Par conséquent, opposer le futur au conditionnel sur cette valeur me semble très moyennement pertinent.
Ici, je vois simplement une annonce de ce qui va être dit, et c’est alors un futur à valeur temporelle qui est utilisé.
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Bonjour,
Si ce sont les deux qui ont été faits, il faut effectivement accorder, mais il faut également remplacer le possessif par un article :
Le temps efface les blessures et le mal qui t’ont été faits.
Sinon avec le possessif, l’accord se fait en effet uniquement avec le mal (blessure est déjà déterminé par le possessif).
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Dans ce contexte, on dira plutôt prendre : Après le repas, je prends le café, et à cinq heures, je prends le thé.
Dans d’autre contexte, boire le café est tout à fait correct, exemple : L’art de servir et de boire le café.
(Je vois dans le Larousse en ligne que boire le café est également un belgicisme signifiant prendre le goûter.)
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Bonjour,
Oui, ce sens est donné notamment par le Robert en ligne, et par Usito.
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Le point de vue de Tara est vraiment trop radical, effectuer quelques pas se dit et se trouve très très facilement dans les ouvrages (il suffit de taper la requête dans GoogleLivres, on constate que beaucoup de réponses sortent).
Marcher (pendant) quelques pas n’est pas faux non plus, quelques pas a valeur d’adverbe et pourrait équivaloir à quelque chose comme marcher sur une courte distance, marcher un peu.
Cela dit, l’emploi de faire est neutre, et pas gênant (à mon sens), et c’est l’usage des deux autres qui donnera une tonalité plus soutenue, plus littéraire à l’énoncé.
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Je mange une boule de glace.
Dans J’en mange une, en est mis pour boule (de glace).
Dans J’en mange une boule, en est mis pour glace.
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Il est peu probable qu’il s’agisse des milles marins, c’est donc plutôt l’unité de mesure britannique qui est ici utilisée, on dira alors une course de 100 miles.
(Pour le cas également fort peu probable où il s’agirait de mille – adjectif, on n’accorderait pas (puisque cet adjectif est invariable), mais il manquerait l’unité de mesure. D’autre part, il y aurait un manque de cohérence dans la graphie (mélange de chiffres et de lettres) : une course de 100 mille mètres / une course de cent mille mètres / une course de 100 000 mètres.)
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