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Bonjour Ombre, votre correcteur a tout à fait raison (et c’est heureux 😉 ). Le m/s (prononcer « mètre seconde ») est une unité de vitesse, comme le km/h (prononcer « kilomètre heure »), la seconde est une unité de temps (au sens de la durée). On se déplace à une certaine vitesse et on effectue un parcours en un certain temps. La phrase il a couru en X m/S est donc incorrecte, il faut bien dire et écrire il a couru à X m/s (ou alors il a couru le 100 m en Y secondes).
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Bonjour Line, oui, c’est correct. Lorsque le pronom on est mis pour nous, les éléments qui s’y rapportent (adjectifs, pronoms, participes passés…) s’accordent en genre et en nombre avec les personnes représentées par nous (donc au pluriel, et au féminin s’il y a lieu) : on a pris nos affaires (les nôtres) et on est parti(e)s. Donc ici, pour vos copines et vous : On est plus qu‘étonnées… 😮
Cette réponse a été acceptée par Linee. le 3 juillet 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour BBFolk, il s’agit encore d’un problème de concordance des temps… 🙂 . Si la proposition principale est au présent, la subordonnée doit être au subjonctif présent ou au futur : ils peuvent espérer que je change d’avis (maintenant) ou que je changerai d’avis (plus tard). Si la proposition principale est au passé, la subordonnée doit être au conditionnel : ils pouvaient (ils ont pu) espérer que je changerais d’avis. Dans votre phrase, la proposition principale est au conditionnel présent, il faut donc utiliser dans la subordonnée soit le subjonctif présent, soit le futur : ils pourraient espérer que je change d’avis ou ils pourraient espérer que je changerai d’avis. Notez que conditionnel est éventuellement possible, mais il faudrait qu’il soit justifié par une hypothèse : ils pourraient espérer que je changerais d’avis si… (les circonstances le voulaient par exemple) mais la phrase telle qu’elle est écrite ne le justifie pas vraiment (le plus naturel ici est que je change d’avis au subjonctif présent).
Cette réponse a été acceptée par BBFolk. le 27 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour BBFolk, penser à la forme affirmative ne peut pas être suivi du subjonctif mais de l’indicatif. Ne vous laissez pas influencer par jusqu’à ce que qui lui est suivi du subjonctif, ici c’est le verbe penser qui est concerné : jusqu’à ce qu’ils pensent que (que nous pensions que, qu’ils fassent… : subjonctif). Mais il pense que je l’ai (que je l’avais) oublié : indicatif. Par ailleurs, pour la concordance des temps, oublier doit être conjugué au plus-que-parfait et non pas au passé composé. La phrase correcte est : je devais taire mon véritable objectif jusqu’à ce qu’ils pensent que je l’avais oublié.
Cette réponse a été acceptée par BBFolk. le 27 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Philippe, ici « nord » est employé comme adjectif (indication d’orientation), il faut donc le laisser en minuscules : ils sont descendus par le versant nord.
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Bonjour BBFolk et Joelle, pour ma part cette phrase ne me gêne pas du tout. Il est vrai que « mon absence » et « sans moi » évoquent la même idée, mais je n’y vois pas à proprement parler de pléonasme, il y a bien sûr une certaine redondance mais je la prends plutôt comme un effet de style volontaire visant à renforcer l’idée de « manque » (procédé couramment employé en littérature ou en poésie).
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Bonjour Catherinette, il faut accorder le participe passé avec son complément d’objet direct, ici le pronom que (placé avant le verbe) dont l’antécédent est les 30000 livres (Philippe a accordé quoi ? les 30000 livres). Comme il est très probable qu’il s’agisse ici non pas d’ouvrages de bibliothèque (un livre) mais de la monnaie (une livre), il faut écrire accordées au féminin pluriel, ainsi que destinées : « Charles refusa également de lui donner les 30 000 livres destinées à ses legs testamentaires que lui avait accordées Philippe. »
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Bonjour Ingrid, oui, dans ce cas il faut bien accorder donnée avec rédiger dont il est considéré comme le COD. Et ceci est effectivement justifié par le fait qu’on pourrait l’intercaler entre le verbe est le participe (on lui a donné la synthèse à rédiger), ce qui ne serait pas le cas par exemple dans « voici la synthèse qu’on lui a demandé de rédiger » (« on lui a demandé la synthèse de rédiger » n’a pas de sens — ici synthèse n’est pas COD de rédiger). Vous trouverez ici une discussion sur ce sujet qui reprend ces arguments.
Cette réponse a été acceptée par ingrid. le 25 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Line, ce n’est pas une question de verbe, l’accord du participe passé parti(e)(s) se fait dans le premier cas avec vous donc au pluriel dans le cas général (féminin si on ne s’adresse qu’à des femmes et masculin sinon), et au singulier si on ne s’adresse qu’à une seule personne (vous de politesse), masculin ou féminin selon le cas. Il y a donc quatre accords possibles ici (vous voilà parti/partie/partis/parties). Avec te, il n’y en a que deux, masculin ou féminin selon la personne à qui on s’adresse, mais seulement au singulier (te voilà parti/partie).
Cette réponse a été acceptée par Linee. le 27 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour BBFolk, dans les deux cas, les femmes sont « en marge » de la profession (c’est-à-dire fortement minoritaires, elles font quasiment figure d’exception), mais marginalisées signifie plus précisément que cette exclusion résulte d’une action (rejet ?) volontaire de quelqu’un ou d’un groupe de personnes (marginales est un simple adjectif, la constatation d’un état de fait, marginalisées est un participe passé — voix passive — signifiant une action subie).
Cette réponse a été acceptée par BBFolk. le 22 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
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