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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 22 juin 2019 dans Accords

    Bonjour BBFolk, votre raisonnement est correct, je dirais que les deux accords sont grammaticalement possibles, cependant j’aurais personnellement une préférence pour l’accord avec « éprouver » (donc « que j’aurais souhaité » au masculin), « souhaiter la joie » me paraissant un peu tiré par les cheveux…

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  • Grand maître Demandé le 21 juin 2019 dans Question de langue

    Bonjour Virginie, ces deux formulations sont correctes, « en toi-même » est juste un peu plus emphatique que « en toi ».

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  • Grand maître Demandé le 21 juin 2019 dans Question de langue

    Bonsoir Line, je commence par votre seconde question : « Ça me fait plaisir que… » est obligatoirement suivi du subjonctif : « … que tu aies pensé à moi ». Pour la première, « du fait que » me semble plutôt également appeler le subjonctif, mais l’indicatif me paraît également acceptable, donc « du fait que tu ne sois pas venu » ou « du fait que tu n’es pas venu ».

    Cette réponse a été acceptée par Linee. le 24 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 21 juin 2019 dans Conjugaison

    Bonjour Millan, il y a bien un COD à réuni dans cette phrase, c’est le pronom nous (première personne du pluriel), donc il faut nécessairement accorder réuni(e)s au pluriel : pourquoi nous as-tu réunis (ou réunies s’il ne s’agit que de femmes). Il peut effectivement y avoir un doute sur le genre (que le contexte précédent devrait permettre de lever, comme vous l’avez dit) mais pas sur le nombre (le nous de modestie ou de majesté au singulier étant exclu ici puisqu’on ne peut pas réunir une personne). Cela dit,  l’ambiguïté sur le genre et le nombre serait toutefois possible avec un autre verbe, par exemple pourquoi nous avez-vous convoqué/convoquée/convoqués/convoquées ? et là non plus, il n’est pas possible de décider de l’accord — genre et nombre — sans le contexte.

    Cette réponse a été acceptée par millan. le 21 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 21 juin 2019 dans Général

    Bonjour, si il y a bien des irrégularités ou bizarreries dans la formation de certains noms (pourquoi conseiller et non pas conseilleur, par exemple), la différence entre employé et conseiller n’a elle rien de bizarre, elle est au contraire parfaitement logique et explicable : le conseiller est celui qui conseille (voix active) , le salarié est celui qui est salarié — qui reçoit son salaire — par son entreprise, son patron, son administration (voix passive). C’est le même cas pour employé, appelé, etc. (dans tous ces cas, la terminaison en ‘é’ est justifié par la voix passive). Ou pour résumer par une règle simple : terminaison en ‘er’ ou ‘eur’ -> la personne fait l’action ; terminaison en ‘é’ -> la personne subit l’action.

    Cette réponse a été acceptée par Carpentier. le 6 décembre 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 21 juin 2019 dans Accords

    Bonjour Millan, dans cette phrase au présent, le verbe sauver s’accorde avec le sujet qui est ici le pronom on, troisième personne du singulier (on peut le remplacer par il), il faut donc écrire on part dès qu’on les sauve (les est bien complément d’objet direct de sauve mais au présent, il n’influe pas sur la conjugaison — c’est au passé composé qu’on aurait accordé le participe passé avec lui : on les a sauvés ou sauvées).

    Cette réponse a été acceptée par millan. le 21 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 21 juin 2019 dans Conjugaison

    Bonjour Patmos, la règle est relativement simple :

    si la nécessité se présente (présent à valeur de futur), je ferai (nous ferons) appel à vous -> futur

    si la nécessité se présentait (imparfait à valeur de conditionnel), je ferais (nous ferions) appel à vous -> conditionnel

    Note : le fait de mettre la première personne du pluriel (nous) permet d’entendre plus nettement la différence.

    Donc dans votre phrase : je ferai appel à vous si la nécessité se présente  (futur et non conditionnel).

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  • Grand maître Demandé le 20 juin 2019 dans Accords

    Bonjour grmber, adressé(e) étant conjugué avec l’auxiliaire avoir, il s’accordera éventuellement avec son complément d’objet direct s’il est placé avant lui. Il convient donc de rechercher le COD de adressé(e) : vous avoir adressé quoi ? un courrier, placé après le verbe, il ne faut donc pas faire l’accord : vous avoir adressé un courrier par erreur. Par ailleurs votre tournure : je viens de me rendre compte, vous avoir adressé… est incorrecte. Il faudrait reformuler, par exemple : « Je viens de réaliser que je vous ai adressé un courrier par erreur ».

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  • Grand maître Demandé le 20 juin 2019 dans Général

    Bonjour Ingrid, non, ces pronoms personnels de la troisième personne du singulier ne peuvent être que complément d’objet direct. Les pronoms COI correspondants sont lui (masculin/féminin singulier) et leur (pluriel) : je lui ai parlé (à lui, à elle), je leur ai donné raison (à eux, à elles). Notez que c’est une particularité de la troisième personne, les pronoms des premières et deuxièmes personnes (me, te, nous, vous) sont identiques pour le COI et le COD : je te parle (COI), je te vois (COD), etc.

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  • Grand maître Demandé le 19 juin 2019 dans Général

    Bonjour Anaïs, ces trois expressions sont correctes (attention toutefois à bien mettre le trait d’union à garde-le), avec de petites nuances de sens : garde-le avec toi est la plus générale (fais en sorte de l’avoir toujours à portée de la main, que tu sois chez toi, au travail ou en déplacement, au restaurant, etc.) ; garde-le sur toi est un peu plus précis (dans ton sac, dans une poche…) ; enfin, chez toi signifie que vous comptez passer au domicile de la personne pour récupérer l’objet et donc qu’elle n’a pas besoin le le conserver en permanence avec elle ou sur elle.

    Cette réponse a été acceptée par Anaislyd. le 20 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.

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