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Si les éléments ne peuvent être divisés (par ex. des personnes), on emploie « ou« , car c’est l’un OU l’autre.
Si la quantité considérée peut être intermédiaire entre les deux nombres entiers, on emploie « à » : il peut en coûter cinq dollars cinquante ou cinq dollars et septante-trois cents.- 4925 vues
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Dans ce cas, il ne s’agit pas de la distance de 100 m, mais de l’épreuve du « cent mètres » (comme on dirait des « marathons »). Il ‘s’agit donc d’un nom et le participe s’accorde en conséquence.
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Votre extrait semble se rattacher au commentaire d’un tableau. La description vise la structure graphique, auquel cas il n’y a bien qu’un seul « pied » au cortège représenté, sur lequel convergent des lignes parallèles en perspective.
Cette réponse a été acceptée par inerac. le 14 juillet 2015 Vous avez gagné 15 points.
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Changement de sens selon l’accord :
– l’une des caractéristiques majeure du courant maniériste : il n’y a que celle-ci qui est majeure. On pourrait aussi mettre le mot entre virgules.
– l’une des caractéristiques majeures du courant maniériste : il y en a plusieurs majeures, et l’on parle de celle-ci…
C’est curieux, mais il y a peu de solutions pour accoler l’adjectif à « une ». C’est la graphie qui fournit la réponse que l’oral ne fait pas entendre.- 10517 vues
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Les fractions écrites en toutes lettres ne comportent pas de trait d’union.
Par ailleurs, « quart » est un substantif et s’accorde normalement.
Donc, « une assise de trois quarts «N.B. Dérogation si l’expression est substantivée. Un trois-quarts désigne ainsi un rugbyman, un manteau court ou un instrument de musique…
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On accorde a priori avec le substantif le plus proche. Donc, plutôt « une tunique de style romain « .
À moins que « une tunique romaine de style » ne convienne à l’idée que vous souhaitez exprimer…- 3634 vues
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On trouve presque uniquement « travail de recherche » dans les ouvrages de référence. Sans doute s’agit-il de la Recherche (comme dans R&D). Sur le même modèle, un « journaliste d’investigation ».
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La règle n’est pas évidente et je ne la trouve pas explicitée en entier.
Mais, pour résumer :
– Pronom personnel + pronom relatif => le verbe s’accorde en nombre et personne avec le pronom personnel : C’est moi qui vais, …, c’est eux (ce sont eux) qui vont.
– Pronom personnel + nom+ pronom relatif => le verbe s’accorde en nombre seulement avec le nom antécédent : Je suis la personne qui va, …, ils sont les personnes qui vont. Dans votre question, « quelqu’un » est un nom, masculin, et non un pronom accordable (la nuance est fine).
– Pronom personnel + pronom+ pronom relatif => le verbe s’accorde en nombre seulement avec le pronom antécédent : Je suis celui qui va, …, ils sont ceux qui vont.- 18543 vues
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Contrairement à une analyse éventuellement trop rapide, il ne s’agit pas là d’un problème euphonique…
Il y a bien deux formes grammaticales différentes :
–C’est le temps qui me manque ! signifie qu’il me manque du temps en général (qui se rapporte à temps et est sujet) ;
– Dix minutes, c‘est le temps qu’il me manque ! signifie qu’il me manque dix minutes (qu’ se rapporte à temps mais est complément).Dans votre exemple, j’opterais clairement pour :
Pour le temps qu’il me reste à vivre, je vais devenir ton ami.
car l’expression s’emploie normalement avec la tournure impersonnelle (il me reste combien à vivre?)- 43819 vues
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Dans l’exemple cité, le passé simple semble s’imposer : essayez la troisième personne du singulier pour vous en convaincre : « pensa-t-il » convient nettement mieux que « pense-t-il », non ?
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