Cette tournure est un peu familière – on emploiera mieux prétendre, qualifier de… – mais, si l’on décide de l’employer, il faut assumer l’accord : « Ces pays qu’on a dits hospitaliers. »

Si un complément au pourcentage est introduit, l’accord se fait effectivement indifféremment avec l’un des deux. Il n’y a pas de différence perceptible entre les deux solutions… selon moi.

Le verbe « se ressentir de… » n’est pas un pronominal réfléchi dans lequel le sujet exerce l’action sur lui-même (comme laver ou se laver). Dans son sens de « éprouver l’influence de…, subir les suites de… », il peut être considéré comme un essentiellement pronominal et s’accorde donc systématiquement avec le sujet.
— Exemple avec une personne : Elles se  sont ressenties de leurs origines.
— Exemple avec une chose : Les ravitaillements s’en  sont ressentis.

N.B. Votre phrase « les conséquences s’en sont ressenti(es) » n’est pas correcte au niveau du sens : quelque chose ou quelqu’un se ressent d’un évènement ou d’un état de fait et cela occasionne des conséquences. Mais ces conséquences ne peuvent pas « se  ressentir » elles-mêmes de quoi que ce soit…

L’accord du verbe avec un pourcentage n’est pas toujours intuitif. Le mieux est de se référer à la règle rappelée de manière simple par l’Académie.
Dans votre exemple, le pourcentage n’ayant pas de complément, on accorde au pluriel si la valeur est égale ou supérieure à 2 : « 50 % sont déduits du salaire. » Mais on aurait : « 1,5 % est déduit du salaire. »

Pourquoi une règle ? Dans cet exemple, c’est vous qui choisissez ! Vous pouvez décider de conserver l’infinitif en complément de « venez » ou de mettre un second impératif. C’est votre choix…

Voici comment je ponctuerais :
« Enfin, ce livre met aussi en lumière, à travers les nouvelles recherches actuelles, comment peut être extrait de cette eau une énergie illimitée, gratuite et non polluante dont la production permettrait à l’humanité d’arrêter la catastrophe écologique actuelle. »
1. Le sujet ne doit pas être séparé du verbe ;
3. Coupure inutile avant le COD.
Par ailleurs, comme vous le signalez, « extraite » doit s’accorder avec « énergie ».

Le « ça » employé par les enfants dans l’exemple est un pronom démonstratif à caractère neutre. Il appelle le singulier. Pour la seconde partie de la phrase : « c’est/c’était » peut s’accorder ou non lorsque suivi du pluriel. Le pluriel est préconisé dans un texte littéraire, ce qui n’est pas le cas ici.

Vous pouvez donc écrire : « Avant que ça (ne) devienne des chenilles, c’était (c’étaient) des papillons. « 

On différencie les deux verbes par la direction en fonction du point de vue :
— Amener (ramener) exprime le rapprochement vers le narrateur,  le lieu de l’action ou le but : Ramène-toi, amène tes enfants à la réunion, amenez votre chien au cabinet à 10 h, l’aqueduc amène l’eau à la ville.
— Emmener (remmener) exprime l’éloignement dans les mêmes conditions : remmène tes parents à la gare, emmène les loin d’ici, le réseau d’égout emmène les eaux usées hors de la ville .

On trouve la même distinction entre (r)apporter et (r)emporter.

Les tournures avec deux noms apposés prolifèrent et ne cessent de poser des problèmes : à mon sens, plutôt que de chercher en permanence des réponses estampillées par une autorité, il vaut mieux reconstituer la tournure non abrégée.
Dans votre cas : des experts […] métier(s) peut donner:
— Des experts par métier , des experts de chaque métier, des experts du métier en question dans le contexte : usage du singulier.
— Des experts des différents métiers : usage du pluriel.
Les deux peuvent donc se justifier, le contexte peut aider à choisir.

« Barbie » est et reste un nom de marque protégé (groupe américain Mattel). Il conserve donc sa majuscule sil s’agit d’un produit de cette gamme. Si c’est un jouet approchant, il vaut mieux employer une tournure comme « du genre Barbie ».
Il ne prend pas la marque du pluriel : des Barbie.