Bien entendu, la réponse de Joëlle est la bonne, mais on pourra noter pour le plaisir le cas particulier suivant, dû à nos imaginatifs voisins belges : Bruxelles-Capitale. Il s’agit là de la province administrative ce qui explique la typo spécifique !

Si j’en crois Wikipédia, le terme « Saints-Pères » est une altération datant de Louis XIII du nom « Saint-Pierre » initialement  rattaché à une chapelle du quartier de  Saint-Germain-des-Prés à Paris. Cette graphie s’est  retrouvée dans le nom de la rue de ladite chapelle, puis dans diverses appellations : hôtels, auberges, éditions, centre universitaire, club, et je dois en oublier.
Eu égard à ce contexte, on peut considérer que l’on a là un nom figé qui n’a qu’une seule graphie « Saints-Pères », que l’on retrouve d’ailleurs dans la majorité des organismes ci-dessus. Les autres sont erronées, par négligence ou méconnaissance.

C’est un cas assez perfide : selon la construction, on peut avoir les deux !
Comparez :
1.  Elle s’est servi du thé : le thé est COD et le pronom est COI (servi à elle-même)
2.  Elle s’est servie du balai : le balai est COI et le verbe est bien un pronominal avec accord, non parce qu’il est réfléchi, mais parce que dans ce sens (utiliser) il devient essentiellement pronominal.

L’exemple que vous donnez est à rattacher au cas 1 avec un COD sous-entendu : c’est assez tordu, mais il faut bien mériter son score à la certification. ;–)

À consulter la pratique sur le mot licence (plus ancien),  les deux sont utilisés avec un avantage pour « en ». Voir l’analyse du Ngam associé.
Une recherche complémentaire sur les autres diplômes,  maîtrise ou doctorat confirme cette répartition.
En revanche, pour l’agrégation, le « de » l’emporte nettement.  Mystères de l’usage…

Il s’agit effectivement d’une locution plutôt rare.
En cherchant longtemps, on en trouve quelques exemples, dans les bibliographies essentiellement. Elle signifie qu’un élément (figure, dessin, gravure, tableau, etc.) est inséré dans le texte courant et non sur une page séparée qualifiée alors de « hors texte ».
Merci pour cette question atypique…

Plusieurs solutions graphiques pourraient être envisagées. Une parmi d’autres : mettre un substantif avant les participes comme « Histoires racontées […] »

Pour les raisons données par veso, la seconde solution semble la meilleure.
Un rappel tout de même, quel que soit le document :
— soit votre abréviation non standard est rare (voire unique) et il vaut mieux l’éviter en écrivant en toutes lettres ;
— soit elle est fréquente et justifiée et il faut l’avoir explicitée la première fois, ou mieux encore la faire figurer dans une table séparée si vous en utilisez plusieurs.

L’adjectif « anal » ne connait de nos jours plus qu’un seul pluriel : « anaux ». Il a pu se rencontrer dans le passé sous la forme « anals » dans les ouvrages médicaux , mais cela semble bien révolu (recherches sur Google Books).

En français, le pluriel des unités ne commence qu’à 2 :  on écrit 1,5 million d’abonnés mais 2,2 millions d’électeurs.
Dans votre exemple, c’est donc bien « avec son 1,2 m » ou sous forme complète « avec son mètre vingt ». Il faut essayer de ne pas mélanger les graphies : on n’écrit pas « 1,2 mètre » ou « un mètre 20 » ou « 1m20 ».

La règle B1 des rectifications de 1990 préconise en effet une homogénéisation des pluriels des noms composés à partir d’un verbe ou d’une préposition. Pour les autres, très nombreux, c’est en général le sens qui va déterminer l’accord :
— Des boutons-poussoirs, car chaque bouton est aussi un poussoir ;
— Des boutons-pression car chacun utilise la pression pour fixer.
Le Petit Larousse illustré  confirme ces graphies.