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Le sens est ici vraiment différent.
De toute façon, ils constateront mon absence eux-mêmes demain. Que penseraient-ils de moi si je ne leur disais rien ?
On émet une hypothèse qui ne sera pas réalité. On a une fausse question. en réalité l’intention est de dire : si je ne leur disais rien ils penseraient du mal de moi et donc je leur dirai.De toute façon, ils constateront mon absence eux-mêmes demain. Que penseront-ils de moi si je ne leur dis rien ?
Ici, le fait sera peut être réalisé. l’émetteur le considère comme une réalité possible et hésite en se demandant réellement ce que les personnes concernées penseront au cas où il choisirait de se taire.Cette réponse a été acceptée par Automne. le 30 mars 2021 Vous avez gagné 15 points.
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C’est très bien comme cela.
On peut avoir aussi l’article zéro : J’y lis incrédulité, indignation, indifférence, tristesse, et sur certains visages – peu nombreux, heureusement – joie.
Mais parce que « joie » est détaché du reste, cette formulation est moins satisfaisante d’abord sur le plan du rythme, et aussi un peu en ce qui concerne la clarté.
Cette réponse a été acceptée par Automne. le 30 mars 2021 Vous avez gagné 15 points.
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Le contexte (écrit) manque et ce n’est pas un émoticône quel qu’il soit qui le remplace. Mais c’est le futur qui convient, car l’adverbe « ne… pas » le confirme et il n’y a aucun indice de doute dans le texte.
Je n’arriverai pas à dépasser le tuto.
S’il y avait en plus un autre adverbe, ce serait différent : je n’arriverais peut-être pas à dépasser le tuto.(Que signifie « dépasser » ici ?
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On dit : l’amour filial.
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Voyez ce lien.
C’EST / CE SONT des histoires | Grevisse.fr- 3645 vues
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C’est pourtant vrai. Je suis originaire du Dauphiné, une région où on ferme (traditionnellement) beaucoup les sons voyelles.
On prononce le conditionnel comme le futur, avec la voyelle correspondant aux graphies é, è, ai, ais, et, fermée.
Et donc on dit : [ʒeme] (lire jémé), indifféremment pour « j’aimais » ou « j’aimai ».
En Provence, ce serait plutôt l’inverse : la tendance serait à ouvrir les sons voyelles : [ləpɔvr] pour « le pauvre ».Cette réponse a été acceptée par Vartol. le 29 mars 2021 Vous avez gagné 15 points.
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Cette rectification, non pas pour couper les cheveux en quatre mais pour plus de clarté :
Pourquoi aurions-nous besoin de plus ?
Si nous essayions de répondre à cette fausse question : nous aurions besoin de plus dans le cas où on nous demanderait plus.
On a bien une hypothèse qui n’est pas d’aller ou pas à l’école (ceci serait la conséquence d’un besoin d’apprendre avéré) mais une raison, une cause possible, qui ferait qu’apprendre davantage serait une nécessité.- 1727 vues
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Et : Pendant plusieurs secondes, je le regarde s’éloigner en me demandant s’il ne s’agissait pas d’une blague.
Cet emploi des tes temps est correct également. En ce cas, où le verbe introducteur est au présent, l’imparfait s’applique au verbe suivant qui désigne un fait antérieur, ayant eu lieu dans le passé.
Je me souviens de ce qu’il m’a dit hier pendant qu’il me parle comme si de rien n’était. Puis il me quitte. Pendant plusieurs secondes je le regard s’éloigner en me demandant s’il ne s’agissait pas d’une blague.
Ce qu’il faut souligner, c’est que l’imparfait a ici, s’il est employé, une valeur temporelle et non modale, car la subordonnée n’est pas une conditionnelle mais une interrogative indirecte.
Cette réponse a été acceptée par Automne. le 29 mars 2021 Vous avez gagné 15 points.
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On peut mettre autant qu’on veut de « er » ou d’infinitifs à la suite :
Regardez : Je pense vouloir devoir aller faire travailler les élèves. Pas moins de cinq cette fois !
Il n’y a as à hésiter : quand un verbe en suit un autre il est à l’infinitif. Attention, j’ai bien dit verbe, pas auxiliaire être ou avoir !- 1721 vues
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La construction que vous faites de cette tournure est certainement régionale. Je ne l’ai jamais entendue.
avoir soif – avoir faim
Avoir de l’amour de reste , de l’argent de reste.
L’expression est toujours placée après le cod.
De plus, on ne l’emploie jamais avec des locutions verbales comme avoir soif, avoir faim, avoir mal, avoir peur, avoir envie.Vous traitez « de reste » comme un autre adverbe. Et pourquoi pas ? Mais c’est inattendu pour beaucoup d’entre nous.
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