« Faire des ronds de jambes », voici l’expression. (On ne dit pas que quelqu’un est un rond de jambe).
Le sens est : être exagérément poli, faire des courbettes, être obséquieux.

C’est tout ce que je peux faire pour vous. Je ne suis pas très savante en insultes et d’ailleurs je n’aime pas beaucoup ça. 😊

Il me semble que je dirais ceci :
Selon sa nature, le changement  peut modifier différents aspects de la vie des personnes concernées.

La phrase contient une rupture syntaxique.
Tout en vous souhaitant la bienvenue +on attend ici l’agent de souhaiter et non un impératif
Tout en vous souhaitant la bienvenue ainsi qu’une bonne et harmonieuse installation, je vous prie de croire, monsieur à mon entière considération.

Bien sûr.
Un élève m’a envoyé sa copie/ses copies
Deux élèves m’ont envoyé leur copie/leurs copies

Et on peut aussi considérer le pluriel pour l’ensemble des copies des deux élèves : deux élèves m’ont envoyé leurs copies (une chacun).

Je garderais le singulier qui de toutes façons exprime une généralité.

Les deux sont possibles.
Le subjonctif exprime plus de doute.  A vous de choisir.

Au pluriel « les gradins », la préposition « dans » est juste. Le pluriel évoque l’ensemble des gradins comme « les escaliers » indique un ensemble de degrés. On est sur une marche d’escalier et dans un escalier. De même on est assis sur un gradin ou dans les gradins.
Pour votre phrase vous avez le choix : chaque patron est sur un gradin, Plusieurs sont sur des gradins différents.
Ou plusieurs patrons sont dans les gradins.

Je choisirais « dans ».

Voici un petit livret qui, je le souhaite, n’aura oublié aucun des marque‑pages que vous avez laissés dans mes carnets

« marque-pages »  est l’antécédent du pronom relatif cod  « que » (souligné). Ce cod est placé avant le verbe  (auxiliaire avoir + participe passé) et il y a donc accord.

« été » ne s’accorde jamais.
En se replongeant dans le passé, leurs cerveaux respectifs restituèrent le souvenir de la personne qu’ils avaient été.
Pourquoi ?
Le participe passé est toujours accompagné de l’auxiliaire avoir  —> j’ai été/il aurait été/ nous avions été/ ayant été/ avoir été, etc…
Avec l’auxiliaire « avoir » le PP, quand il s’accorde, s’accorde avec le COD
Or, il s’agit de formes composées du verbe être qui n’a jamais de COD

– Nous n’avons jamais partagé nos secrets, nous avons dû tout découvrir par nous-mêmes. Ne vous méprenez pas : je ne vous en fais pas le reproche, je constate, voilà tout. —> c’est « le » qui convient
– Nous n’avons jamais partagé nos secrets, nous avons dû tout découvrir par nous-mêmes. Ne vous méprenez pas : je ne vous fais pas de reproche, je constate, voilà tout. —> avec « de » pas le pronom « en » qui renvoie à un fait précis donné précédemment.
– Nous n’avons jamais partagé nos secrets, nous avons dû tout découvrir par nous-mêmes. Ne vous méprenez pas : je n’en  fais pas un reproche, je constate, voilà tout. Pour qu’il y ait « un » il faut éliminer « vous » parce qu’il y a généralisation