La forme en « ant » est en effet soit le verbe au participe présent, soit adjectif verbal.
Ici, c’est très simple : « aidant » a un COD : seul un verbe peut avoir un COD : aidant est donc participe présent. Un verbe ne s’accorde avec rien. >> Pour les gars, le trac est bon, les aidant à trouver la force intérieure

Remarque : le participe présent est employé ici de façon au moins maladroite. Il vaudrait mieux une subordonnée comportant un verbe conjugué : Pour les gars, le trac est bon parce qu’il les aide à trouver la force intérieure

Le commandant guettait les réactions de son indic dont l’allure et le vocabulaire ne lui permettaient pas de voir en lui un tortionnaire méthodique et rigoureux.

Je vous suggère d’abandonner les pronom « dont » et « lui » qui sont forcément ambigus dans la phrase : on ne sait plus quel nom ils reprennent.
Au lieu de subordonner, j’emploierais des propositions indépendantes – je changerais le verbe pour changer de sujet et pouvoir employer le pronom « il » reprenant clairement « le commandant ».
Le commandant guettait les réactions de son indic. mais il ne pouvait déceler, dans son allure et son vocabulaire le  tortionnaire méthodique et rigoureux (qu’il était/qu’il le soupçonnait d’être/ qu’on lui avait décrit/…)

Anacoluthe non. Simple maladresse.
Il n’y a pas de rupture syntaxique, seulement des ambiguïtés et des tournures alambiquées.

En effet. Le nom précédent est formé sur le verbe précéder signifiant :  se produire, avoir lieu avant quelque chose.  (TLF)
Il s’emploie donc pour un fait ou une événement, pas pour un objet.
Une image inédite – une image entièrement nouvelle – une image novatrice

Les mots qui désignent des couleurs ne sont pas tous des adjectifs. Comme le dit Bruno ci-dessus, certains sont des noms. Ils sont alors apposés au nom précédent. Or, le nom ne s’accorde pas avec un autre nom. Il est soit singulier, soit pluriel, mais indépendamment.
Il arrive cependant, qu’un nom de couleur, à force d’être apposé, et parce qu’il est en concurrence avec des adjectifs, soit devenu, avec le temps, un adjectif. C’est vrai pour certains noms se terminant par la lettre « e » comme « rose » ou « mauve ».
Ce n’est pas arrivé à « orange », qui a, dans sa famille, un adjectif : « orangé ». ce n’est d’ailleurs pas vrai pour beaucoup de noms comme « framboise », par exemple, cité ci-dessus.

Le si est possible également quand on peut le remplacer par  :  « s’il est vrai que », pu « même si »  – alors, il indique la concession et non pas l’hypothèse.
Exemple :
Si/même si/ s’il est vrai que/ toutes les personnes seront présentes, comme c’est certain, il manquera pourtant quelqu’un qui a vécu les faits.

« être en mesure de » apparient certes, à un langage un peu soutenu mais surtout, il a l’avantage d’être plus vague, et non pas plus précis. « Je n’ai pas pu » évoque l’impuissance tandis que « ne pas être en mesure de » évoque seulement l’impossibilité. Ce type de nuance donne une tonalité différente à l’énoncé.

L’aide sociale à l’enfance m’a gentiment poussée à prendre ma retraite.

– l’auxiliaire est avoir
– le COD est « me » (m’) qui est féminin
– le COD est placé avant le verbe (et non intercalé entre …)
> l’accord du participe passé se fait avec lui

« Prendre ma retraite » est le complément du verbe « pousser » (conjugué au passé composé : a poussé) : il est complément circonstanciel de but et n’intervient pas dans la règle d’accord du participe passé.

Remarque : le fait que « pousser » signifie « engager, inciter vivement quelqu’un à » et n’indique pas une pression physique (son sens n’est pas « exercer une pression physique) ne l’empêche pas, évidemment, d’avoir un COD

En ce cas, je choisirais moi aussi le singulier mais pour une autre raison que celle que vous avancez.
Il me semble bien que l’énumération  le problème, l’incident, l’évènement, la difficulté, ou l’affaire ne sert qu’à cerner une même réalité : un empêchement. Par conséquent le singulier se justifie.

Autre exemple : Quels que soient le lieu, le moment, le décor, la température, nous tournerons demain.
Cette fois-ci, l’énumération désigne des éléments différents les uns des autres. Nous avons plusieurs sujets pour un verbe qui doit se mettre au pluriel et l’adjectif « quels » est au pluriel parce qu’il est attribut de tous ces sujets,

Cela dépend du genre d’écrit et de ce que vous souhaitez. Vous pouvez même rédiger entièrement les définitions. Vous ne l’avez fait qu’incomplètement dans votre premier choix.
Par exemple :
Une barrière est un assemblage de plusieurs pièces de bois servant à fermer un passage. Dans un sens figuré le mot désigne un empêchement, un obstacle.Mais si le texte dans lequel s’inscrit cette définition est explicatif ou didactique, il vaudra mieux employer la formulation et présentation 2, plus repérable en cas de besoin, et qui peut-être s’inscrit plus facilement dans la mémoire.