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C’est bien : Il se sentit traîné à l’extérieur sans ménagement.
Ce n’est pas le sujet qui exécute l’action, mais il la subit. « Trainé » est donc un attribut du sujet par l’intermédiaire du verbe d’état « se sentir » (forme passive).
Achevez de vous en convaincre avec un verbe d’un autre groupe : Elle se sentit extraite à l’extérieur du trou.- 2562 vues
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La marque suédoise Spotify semble avoir été la première en 2006 à adopter ce type de désinence. Son succès a entrainé d’autres créations sur ce modèle. On peut comparer aux noms en « oo », comme Wanadoo, Deliveroo et tant d’autres qui ont été forgés dans le sillage du succès planétaire de Yahoo.
Ce sont des créations linguistiques marketing qui ont comme base commune une facilité de prononciation dans de nombreux pays et la consonance anglophone due à leur origine.
Vu les besoins croissants en matière de noms de marques, nul doute qu’on aura d’autres vagues…- 2287 vues
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Effectivement, seule la phrase 2 est correcte.
En effet, dans les trois autres on a une construction fautive, malheureusement courante, dénommée anacoluthe. Le sujet du verbe ne correspond pas à celui attendu et demandé par la première partie de la phrase. On devrait successivement avoir :
1. Dans l’espoir que vous prendrez ma demande en compte… >>> sujet attendu « je » ;
3. En attendant votre réponse… >>> sujet attendu « je » ;
4. En recevant cette lettre… >>> sujet attendu « vous ».
Il faut donc à chaque fois reformuler la phrase.- 2833 vues
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Au singulier le mot intérêt désigne plutôt le taux. Au pluriel, c’est le résultat, les sommes dues au titre de l’intérêt. On parle aussi d’agios.
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À défaut de mention explicite dans un dictionnaire, on peut se référer à la pratique courante des composés du mot « couleur » : des photos couleur, haut en couleur, des crayons de couleur, des téléviseurs couleur, etc.
Sauf sens très particulier qui m’échapperait, le singulier me semble donc préférable : des profils couleur.- 2052 vues
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Comme expliqué dans les précédentes réponses, l’accord peut se faire selon le sens avec le sujet ou son complément. Mais si, comme dans votre exemple, vous utilisez un verbe attributif (être, sembler, paraître, etc.), vous devez conserver la cohérence entre sujet, verbe et attribut.
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1. Comme pour de nombreuses locutions latines, on a le choix entre deux graphies :
— termes non francisés, en italique, sans accent, ni trait d’union, ni pluriel >>> a priori (adv.) , un (des) a priori ;
— termes francisés, en romain, accentués et soudés >>> à priori (adv.), un apriori et des aprioris.
Les rectifications orthographiques de 1990 ont entériné la francisation de nombreuses expressions.2. On trouve les deux graphies, mais le pluriel à « rat » est plus répandu. Voir le taux de fréquence ICI. L’Académie a par ailleurs reconnu cette graphie.
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L’Académie française a anticipé votre question et vient de publier un billet sur ce sujet. Lisez-le ICI.
Dans tous les cas, vous devez contracter en « s’il ».
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Cette expression provient de l’abréviation de « pas grande chose », devenue « pas grand’chose » puis enfin « pas grand-chose » graphie conseillée de nos jours. Le processus est le même pour grand-mère, grand-route, grand-messe, etc.
Ci-dessous l’extrait du Dictionnaire de l’Académie : vous noterez la dernière ligne selon laquelle le trait d’union disparait en cas d’absence de la négation.
————————————Grand-chose [Toujours dans un énoncé négatif, à négation composée, et immédiatement précédé de pas, plus ou jamais] De très peu d’importance, presque rien, pas beaucoup. Ce n’est pas, cela ne vaut pas grand-chose. Ne pas faire, espérer, répondre grand-chose. Ne pas y comprendre grand-chose, cela ne signifie pas grand-chose. Pas grand-chose de bon. Mesa. Vous savez que je ne connais pas grand’chose aux madames (CLAUDEL, Partage de midi, 1949, I, p. 1070) :
5. Il m’a d’abord dit qu’on me dépeignait comme étant d’un caractère taciturne et renfermé et il a voulu savoir ce que j’en pensais. J’ai répondu : « C’est que je n’ai jamais grand-chose à dire. Alors je me tais ».
CAMUS, L’Étranger, 1942, p. 1171.[Avec absence de l’élément ne] Je suis parti de pas grand chose.
(QUENEAU, Pierrot mon ami, 1942, p. 46).- 53210 vues
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Ces tournures sont tout à fait correctes grammaticalement et sémantiquement (évitez le terme de problématique). Tout au plus sont-elles si galvaudées qu’elles en ont pris un air suspect…
ICI un florilège de citations modernes.
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