Petit bémol :
La « fille idéale » est celle qui est idéale pour ses parents.
Pour désigner le sujet féminin, on parle de « fille » quand elle a l’âge du primaire : « école de filles » (idem pour les « garçons » !).
À partir du collège, ce sont des « jeunes filles« , puis des « femmes« . (et les « jeunes hommes » deviennent des « hommes« ).
Personnellement, je trouve que ça commence à devenir vraiment ridicule de continuer à employer à tout bout de champ « filles » et « garçons » pour parler d’adultes. Et ici, il est évident que vous ne parlez pas de petites filles… du moins je l’espère !
Mes suggestions, choisir l’un ou l’autre, mais pas les deux dans la même phrase :
« Quel est votre genre de femme ? » (au singulier, car il s’agit du genre de LA femme idéale))
« Quel est votre idéal féminin ?« 

Votre phrase est correcte, et votre analyse est bonne :
« Quelques produits ont disparu »
J’ajouterais une virgule après « (3 ou 4) »,, et une autre après « couloir », pour une meilleure compréhension de la phrase.

« Les un an » est absolument inapproprié !
Pourquoi « les » puisqu’il n’y en a qu’un ? Faudrait-il alors mettre un « s » à an ?
« Puis est arrivé le premier anniversaire de notre bébé »

Dans les cas que vous présentez, il est préférable d’écrire phonétiquement, afin que le lecteur comprenne tout de suite, et ne soit pas perturbé par les lettres qui ne s’entendent pas. Et surtout qu’il ne soit pas tenté de les lire phonétiquement.
Monsieur Soucolline, Monsieur Doifleuri. 

Dans la langue française on en rencontre certains exemples, comme « Chafouine » qui est composé de « Chat » et de « Fouine ».

« Je voudrais que cette formidable richesse qu’est nos différences s’additionnent à nouveau »

En effet, vous avez raison il aurait fallu écrire  « que sont nos différences« .
Mais il y a un autre problème : pourquoi « s’additionnent »  ?  Il faudrait écrire « s’additionne« , puisque le sujet est « cette formidable richesse« .
Mais « s’additionne » à quoi exactement ?
La phrase est plus que bancale et ne signifie pas grand chose, au fond.

Nouvelle suggestion, pour entrer dans les 140 caractères :
Un père qui recherche sa fille s’égare en cédant au mal, mais s’il en devient prisonnier de ses actes, le jeu n’en vaut pas la chandelle.

Lorsque vous avez un doute, changez de temps, cela vous donnera la réponse :

Il vous sera / était proposé un jeu pour le nouvel an !
OU BIEN
Il vous aura / avait proposé un jeu pour le nouvel an !

Vous vous apercevez que la première proposition correspond bien à ce que vous voulez dire, et le « il » est bien un pronom impersonnel.
La seconde proposition fait allusion à quelqu’un qui propose le jeu, et le « il » devient un pronom personnel.

Personnellement je vote pour la 4, en ajoutant le « en » :
« Un père à la recherche de sa fille s’égare en cédant au mal, mais s’il en devient prisonnier de ses actes, le jeu n’en vaut pas la chandelle. »

Voici des définitions du CNRTL
Virulent : En parlant d’une personne, de son attitude, de ses propos : Plein d’agressivité, de vivacité, de vigueur.
Récrimination (souvent au pluriel) : Reproche amer, protestation virulente.

Aussi votre proposition me paraît parfaitement correcte. Vous pouvez aussi écrire :
« Dois-je me résigner à toujours subir les récriminations de nos clients ? »

Petite correction de votre texte :
On était dans une réunion familiale. Tout en discutant,  je me suis levée, et j’ai dit  « Je fais la prière et je reviens« 
Un cousin m’a dit qu’il fallait que je dise «  Je ferai la prière et je reviendrai« .
Une autre cousine a dit « Non on dit « Je fais la prière et je reviendrai ».
Parmi ces expressions laquelle est la plus juste ?

La seule tournure qui soit correcte, si votre action est immédiate « Je fais la prière et je reviens« .
La deuxième tournure peut être correcte s’il s’agit d’une action dans le futur « Demain,  je ferai la prière et je reviendrai« .