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Les deux modes sont corrects. Il y a nuance bien sûr. Une nuance qu’il est difficile de percevoir hors contexte. Mais qui existe cependant.
Remarque : dans cette phrase « jamais » a une valeur positive. il signifie « un jour ou l’autre ».1- C’est le défi le plus complexe auquel l’humanité ait jamais été confrontée
2- C’est le défi le plus complexe auquel l’humanité a jamais été confrontéeL’indicatif présente le fait comme une information : l’humanité a été confronté à des défis complexes. (Celui-ci est le plus complexe d’entre eux. )
Le subjonctif présente le fait comme abstrait, le produit d’une réflexion.- 459 vues
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L’adjectif « bonnes » précédant le substantif « gens » fait corps avec lui ((TLF)
C’est ce qui explique le trait d’union.- 564 vues
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Remplacez simplement « ces » (qui est un déictique : terme qui ne prend sens que par rapport à la situation de l’énonciation) par « les » : Lisette entama la conversation en chuchotant. Elle paraissait plus en forme que les derniers jours
Elle n’avait pas tort, néanmoins le regard que Ninon posa sur moi ne me plaisait/plut pas du tout. J’avais le sentiment de voir une gamine, à qui la maman donnait raison.
Les deux temps sont possibles. Cependant, il ne s’agit pas de brièveté mais de l’aspect qu’on appelle sécant ou non sécant.
Explication :
Imparfait : on est « dans » le processus dit par le verbe (aspect sécant).
Passé simple : le processus est vu dans sa globalité (aspect non sécant).Quand on veut donner une succession de faits, dans un récit, on emploie le passé simple. Si vous l’employez dans votre texte, c’est que vous faites avancer le récit, il y aura d’autres passés simples par la suite.
Remarque : ce qui n’empêche pas l’emploi de l’imparfait intercalé entre les événements donnés au PS. Ici, « elle n’avait pas tort » – « j’avais le sentiment » sont des arrêts dans le récit qui donnent des informations sur ce que pense le narrateur.- 609 vues
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Je ne vois pas de différence de sens notable. Sous-entendre « être » ne change rien au sens. Ce qui ne signifie pas que les deux formulations soient strictement équivalentes. Sur le plan du rythme de la phrase, il y a une différence. Il arrive (souvent) que le rythme d’une phrase importe.
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L’ambiance est étrangement pesante, certainement due à la présence en bout de table du grand patron.
On ne peut mettre sur un même plan un adjectif (pesante) e t une proposition : le participe passé (due) qui est en fait un élément d’une proposition avec ellipse du verbe. Je m’explique :
certainement due à la présence du grand patron = elle est certainement due à la présence du grand patron : elle est est sous-entendu.
Il faut écrire par exemple : L’ambiance étrangement pesante est certainement due à la présence en bout de table du grand patron.
L’ambiance est étrangement pesante ; elle est certainement due à la présence en bout de table du grand patron.
L’ambiance est étrangement pesante, ce qui est certainement dû à la présence en bout de table du grand patron.Il y a un rapport de cause à effet entre le caractère pesant de l’ambiance te la présence du grand patron, c’est pourquoi on ne peut mettre sur le même plan « pesante » et « due » .
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ça nous a changé de nos habitudes = cela a changé nos habitudes à nous = cela a bouleversé nos habitudes
Dans cette tournure, le verbe « changer » n’a pas le sens de « faire ou devenir autre ».
« Nous » n’est en effet pas COD mais COI . c’est pourquoi l’accord ne se fait pas avec lui.- 658 vues
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Avoir droit et avoir le droit sont deux locutions verbales de sens différent :
Avoir droit (à qqc) signifie « pouvoir légitimement exiger » >> Il attendait un chèque auquel il n’avait pas droit = il n’avait pas droit à ce chèque
Avoir le droit de (+ infinitif) : « avoir légitimement ou légalement la liberté, la possibilité de » >> Il n’avait pas le droit d’encaisser ce chèque
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Il s’est protégé de tout soupçon en déléguant le sale boulot
je voulais m’assurer en personne que vous allez bien
je voulais m’assurer en personne que vous alliez bien
La différence ente les deux modes existe, même s’il s’agit d’une nuance
L’indicatif présente le fait comme une information ici à vérifier. A priori le fait est réel : vous allez bien et il convient de e vérifier.
Le subjonctif présente le fait comme un sujet de réflexion. Il n’y a pas ici d’a priori.J’ai imprimé les photos que j’ai prises, dont certaines en gros plan.
C’est le singulier qui convient pour gros plan. Il est généralisant.Cette réponse a été acceptée par CaptainTomate. le 18 janvier 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Je suis d’accord avec Joëlle .
Elle permet l’affirmation de la singularité de l’individu.
D’ailleurs, dans une phrase, tout élément a une nature et une fonction, ou, autrement dit,appartient à une classe grammaticale et a un rôle.
de la singularité est groupe nominal (groupe dont le nom est le centre) et complément du nom affirmation. Complément du nom, c’est à dire qu’il complète le nom. Sans lui, le sens est affecté > elle permet l’affirmation — de l’individu. On voit très bien que de la singularité définit le nom affirmation, dit de quelle affirmation il s’agit ; sur quoi porte cette affirmation.Et je ne vous lancerai pas d’injonctions comme « ne cherchez pas trop » – « appelez cela ». Bien au contraire, cherchons et analysons de près, ensemble. Il y a beaucoup de logique dans la langue.
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Si c’est un titre je vous propose : Paroles intimes sur chagrins d’amour.
La première phrase est correcte.
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