Bonjour jumper,
J’écrirais plutôt :
La date du début doit être antérieure ou la même que la date de fin.
‘Égale » me paraît inexact. Une date n’est pas égale à une autre mais la même ou elle est différente d’une autre (auquel cas elle est antérieure ou postérieure).

Cher est ici adverbe. Il n’accompagne pas un nom comme dans cet exemple : cette eau est chère. Il vient modifier le verbe « coûter ».

Joëlle a écrit : La parenthèse, inutile, alourdit le texte.

Jeelena a écrit : En effet avec la parenthèse ça fait lourd et inutile dans le texte …

Pire que cela. La parenthèse est là comme une béquille qui pallie le manque de rédaction. On ne peut l’accepter dans un texte correct.
Il faut donc trouver une solution et ne pas hésiter à dire exactement ce qu’on veut dire, même s’il faut pour cela un certain nombre de mots :
Nul, et surtout, nulle, ne peut me résister. Pourrait sans doute faire l’affaire.

Je pensais la même chose mais je vois que le TLF donne « il fait beau » comme locution verbale, où « beau » aurait valeur adverbiale :
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C.− [Avec valeur adverbiale]

Lorsqu’il est placé devant le nom « feu » est une survivance de « il fut ». C’est pour cela qu’il n’y a pas accord.

Elle est venue pour moi seule. Seule est il un adverbe?( peut être remplacée par seulement)
Il faut se demander si « seule »  se rapporte vraiment à « moi ». On voit bien que non. Impossible de le remplacer en gardant le même sens par l’adjectif « solitaire ».
En revanche, vous avez raison : on peut lui substituer « seulement’.  Il est étonnant que, adverbe , seul s’accorde avec moi.
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Voici ce qu’on trouve dans le  TLF :
C. − [Dans des constructions attributives ou avec la fonction d’épithète mais avec une valeur adverbiale]*

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*C’est moi qui mets en gras et qui souligne.

Je dors seule .Adverbe? : non adjectif  attribut. L’adjectif est introduit auprès du nom par un verbe.
Je ne suis plus seule. Adjectif attribut ? Oui. Là le verbe attributif est plus courant : être.

Je me demande s’il y a du chocolat à l’intérieur = je me demande si il y a. On a une élision du « i » devant la voyelle « y », et c’est tout.
Je veux qu’il y ait du chocolat = je veux que il y ait du chocolat. Ici, on a élision du « e » de « que ».

Il faut choisir :
Je serai de retour au sein de l’association lorsque/dès que le jugement sera rendu.
Je serai absent au sein de l’association au moment où* le jugement sera rendu

La deuxième phrase est parfaitement correcte.
*j’ai modifié après la remarque de Nicola .

Nicola a écrit : – Une équipe de sauveteurs est intervenue, qui ont circonscrit les flammes.
Le mot « qui » est bien un pronom, comme « elle » ou « ils », et tu penses qu’on peut choisir ce qu’il représente ?
C’est cela que j’aimerais clarifier.
Bien sûr, avec un point, on peut changer d’approche entre les deux phrases, mais la question porte je pense sur la validité de la transition.

En ce cas le choix est à faire entre : Une équipe de sauveteurs qui ont circonscrit les flammes. est intervenue, et Une équipe de sauveteurs est intervenue, qui a circonscrit les flammes.
Et « qui » peut en effet avoir pour référent N1 ou N2.
De la même façon, le pronom personnel peut reprendre N1 ou N2 :
– Une équipe de sauveteurs est intervenue ; elle a circonscrit les flammes.
– Une équipe de sauveteurs est intervenue ; ils ont circonscrit les flammes.
Et c’est précisément ce choix qui rend N2 caractérisant ou référentiel.

Comme Joëlle et Mis-en-trope, je trouve que la formulation est vraiment inélégante. Elle comporte deux appositions et on ne sait plus à quel mot.
deux jeunes photographes amateurs automobiles  Pourquoi faire sauter la préposition entre les deux dernier noms ?
Nous sommes deux jeunes photographes, amateurs d’automobiles me semble bien mieux convenir.