Le verbe « aller » est intransitif. Il ne peut avoir de COD mais il a souvent des compléments essentiels.
– de lieu : Il est allé à Grenoble
– de but : il est allé se plaindre
Et peut-être d’autres circonstanciels

« Pareil » et « différent » sont des adjectifs. Il faut donc les traiter de même façon. Ici accord avec « on » au sens pluriel (= nous)
On est pareils mais différents / nous sommes pareils mais différents.

Le problème est plutôt lié au sens du verbe cancaner : Bavarder, répandre des propos malveillants. (TLF).
Comme ses synonymes (approximatifs) il n’implique pas de paroles précises : bavarder, jaser, commérer, papoter, etc., mais au contraire vagues.
Utiliser peut-être le verbe (fort courant en effet) « s’exclamer » ?  ou « se récrier » ?

On a plus simple :

A et B conviennent que B partira demain matin afin d’emprunter à sa grand-mère un grimoire qui pourrait éclaircir l’énigme.

La présence d’un pronom comme sujet du verbe n’a pas d’incidence sur l’ordre des compléments.

On peut aussi inverser la relation :
L’idée de B laisse A sceptique.

C’était loin d’être le cas ce soir-là! : le pronom « ce » est trop loin de ce qu’il reprend.
Il faut retravailler la phrase :
Sans se concerter et jusque là à l’insu de leur jeune invité, ce qui était loin d’être le cas ce soir-là, les deux hommes procédaient à de vastes opérations de rangement et de nettoyage auxquelles ils n’auraient jamais songé en temps ordinaire. Une fois dans la vieille bâtisse aux murs épais, aux plafonds bas, le garçon sut tout de suite que quelque chose d’extraordinaire se préparait

Une fois dans la vieille bâtisse aux murs épais, aux plafonds bas »  se rapporte dans votre phrase au sujet « le garçon ».
Si ce sont les deux hommes qui sont concernés il faut écrire :
Une fois qu’ils furent  dans la vieille bâtisse aux murs épais, aux plafonds bas,  le garçon sut ..

Cette veste ne va pas à Marc = elle ne lui est pas adaptée.
Cette veste ne va pas avec ce pantalon = elle ne lui est pas accordée.

Les deux prépositions n’ont pas le même sens.

C’est vrai ce mensonge ?
Comme il est établi qu’il y a mensonge (« ce mensonge ») il n’y a aucune possibilité de répondre, au fond.
Un mensonge est le contraire  de la vérité : la question est donc une boutade.
Réponses (absurdes) :
– oui, j’ai menti et j’ai dit vrai
– non ce mensonge n’est pas la vérité
La vraie réponse devrait porter sur le fait d’avoir ou non dit un mensonge et non sur le fait qu’il soit vrai ou faux.
—> Je n’ai pas dit de mensonge/j’ai dit un mensonge.

Une proposition principale tient au moins une autre proposition sous sa dépendance. C’est son rôle. Et qui dit rôle, dit, plus ou moins… fonction.
Sinon, (si la proposition n’en tient aucune sous sa dépendance) elle est dite indépendante. et là, elle n’a aucune fonction.