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Il n’y a pas de contrainte grammaticale.
Souvent on met même nombre le complément et son collectif.
— >Ce type de projet/projets- 4685 vues
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Débonnaire ? Un mot assez peu utilisé.
TLF : Qui se caractérise par une grande bonté, une tendance à se montrer favorable et secourable à autruiDictionnaire de l’Académie : Bon jusqu’à la faiblesse- 1314 vues
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Il est possible aussi d’employer « dont ».
Chacun était muni d’un masque duquel partaient des tuyaux.
Chacun était muni d’un masque d’où partaient des tuyaux.
Chacun était muni d’un masque dont partaient des tuyaux.Dont – d’où – duquel — MultiGram
Notez ce qui est dit à propos de « duquel » : dans la phrase ci-dessus il est senti comme peu naturel.
Quelles nuances pour ces trois relatifs ?
– d’où insiste sur le lieu
– dont est plus neutre
– duquel : je l’emploierais par exemple si j’avais l’intention de montrer la complexité de l’appareillage (il y a une lourdeur qui s’accorderait bien avec cette idée).
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Le nom est employé sans déterminant quand il est considéré comme virtuel.
Quelques exemples
– Dans certaines locutions : avoir faim – blanc comme neige
– Certains compléments du nom (de caractérisation) : une chien de garde – un bâton de berger
– Un attribut : mon père est médecin – il travaille comme gardien
– etc?
On peut donc fort bien écrire : cette barrière assure protection.
Si on actualise, alors : cette barrière assure la protection des enfants.- 886 vues
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On s’est bien aimés. « On » a une valeur plurielle s’il s’agit (comme c’est sûrement le cas) d’une réciprocité : on s’est bien aimés l’un l’autre.
Si le « on » a un sens singulier, s’il s’agit d’un pronominal réflexif, alors : on s’est bien aimé (soi-même), ce qui est peu probable.- 5616 vues
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Voici une réponse qui me semble complète :
Table DE bois » ou « table EN bois » ? Sabre de bois !
| 06 juin 2018 | par Jean-Christophe Pellat
DE ou EN ? Telle est la question !
Le choix entre les prépositions « de » et « en » pour introduire un nom de matière s’explique par l’évolution de la langue. On emploie « de » selon la tradition classique, puis « en », « emploi plus récent, d’abord contesté, mais pleinement passé dans l’usage et accepté par l’Académie depuis 1992 » (« Bon usage », § 355 a 1°). « Une cheminée de marbre remplaça l’ancienne » (H. de Balzac). « Un magnifique buste en marbre du cardinal de Richelieu » (Stendhal). A. Daudet emploie les deux prépositions avec le même nom : « Il était une fois un homme qui avait une cervelle d’or ; oui, madame, une cervelle toute en or […], une cervelle en or » (Lettres de mon moulin).
Même si ces deux prépositions ont des sens très variés, « en » permet d’éviter l’ambiguïté de la préposition « de », due à sa grande polyvalence. Dans « un bol de terre », le second nom peut désigner la matière (= « un bol de porcelaine »), mais aussi le contenu (= « un bol de café »). Pas de doutes avec « un bol en plastique », c’est bien la matière plastique.
En revanche, on préfère « de » dans les emplois figurés : « une santé de fer, un visage de marbre ». « Sabre de bois ! » est la formule préférée du comte de Champignac, ami de Spirou, qui fleure bon l’ancien temps. Les amateurs de Star Wars préfèrent le « sabre laser » : c’est plus simple sans préposition.
Cette réponse a été acceptée par law. le 30 mai 2021 Vous avez gagné 15 points.
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Je ne pensais pas qu’un tel mélange d’émotions soit possible.
il existe plusieurs possibilités :
– Je ne pensais pas qu’un tel mélange d’émotions fût possible.
– Je ne pensais pas qu’un tel mélange d’émotions soit possible.
Le subjonctif ajoute un degré de doute, moins marqué dans les phrases à l’indicatif :
– Je ne pensais pas qu’un tel mélange d’émotions était possible.
– Je ne pensais pas qu’un tel mélange d’émotions est possible.Le choix entre présent et l’imparfait (du subjonctif ou de l’indicatif) : le fait est ou non traité comme une vérité générale.
Pas très simple mais c’est une question de nuances.
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Eh bien il peut être les deux :
Il peut être adverbe : on peut mettre un autre adverbe à sa place : Je me tiens droit/convenablement/mal. —> elle se tient droit.
Mais on peut aussi le remplacer par un autre adjectif : en ce cas il est adjectif attribut (se tenir est alors un verbe attributif qui signifie : Être, rester d’une certaine manière). —> Elle se tient tranquille/ prête/ droite.- 7191 vues
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Vous avez raison William.
Si on enlève la notion d’hypothèse, on tombe sur un présent de vérité générale.
Déjà bien engagé dans le puits, le jour bientôt tombé, il avait entendu la charpente craquer dans un grand bruit, comme le fait un navire en pleine tempête, s’était-il dit.C’est donc bien le présent qui convient, qu’il s’agisse du présent de l’indicatif ou du présent du conditionnel.
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je devrais dire plutôt, dans ma vie, car elles occupaient déjà une place importante dans celle d’Ellie. / je dirais qu’elles occupaient… La valeur est corrective (même sans l’adverbe « plutôt » et même avec un autre verbe))
Je devrais me reposer un peu. / je me reposerais, ce serait bien Valeur : exprime un projet à réaliser
Je ferais mieux de m’en aller : même valeur
Dans ces deux cas, ce n’est pas une hypothèse ou une condition mais plutôt une proposition, une éventualité qu’on envisage de concrétiser- 1418 vues
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