Pour marquer qu’il y a interruption, ce sont les points de suspension qu’il faut utiliser.
Voyez cette page :

LA PONCTUATION – Les points de suspension

Si on peut utiliser les onomatopées dans un roman, il est quand même conseillé de le faire avec parcimonie. En effet, elles n’appartiennent pas au genre qui préfère les développements et les nuances.  Elle a pleinement sa place dans la BD qui la traite souvent comme un dessin (la description n’appartient pas au genre BD, qui a le dessin pour « faire voir » et entendre).

Si on le fait, voici quelle typographie utiliser :

‒ Tu ne perds rien pour att… « CRAC ! » Le plancher s’effondra soudainement.

Remarque : un romancier écrira plutôt :
– Tu ne perds rien pour att…
Il fut brutalement interrompu par un craquement soudain immédiatement suivi par l’effondrement du plancher…
Ou :
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que le plancher s’effondra dans un terrible fracas.
On peut varier les formulations à l’infini et à chaque fois on met le lecteur dans une situation à la fois précise et nuancée. C’est cela écrire.

La BDl aussi :
Quand tous et quels précèdent gens, ceux-ci sont habituellement masculins, à moins qu’un adjectif épithète féminin s’intercale entre l’un d’eux et gens.
Exemples :
–  Tous ces gens pensent venir à la fête
–  Toutes ces bonnes gens ont demandé à se faire servir rapidement.
–  Quelles petites gens misérables!

Dans le cas que vous citez, il n’y a aucun adjectif entre « quel » et « gens ».
==> Quels gens bavards !

Le présent est parfois employé avec une valeur de futur. C’est souvent le cas à l’oral.
Pour ce qui concerne le complément « à l’avenir », il a son rôle en ce cas évidemment puisqu’il souligne la valeur de présent du temps futur.
Mais je ne suis pas frappée non plus par : les incidents seront évités à l’avenir. Il n’y a pas pléonasme puisqu’on peut lui substituer : demain, l’année prochaine, etc.

Selon les circonstances, surtout si vous êtes à l’écrit et prenez un engagement, il vaut mieux employer le futur.

Les deux formulations sont correctes.

TLF – entrée « souvenir »
Avoir (le) souvenir de. Se souvenir de.

On a aussi : Garder souvenir de

Votre question n’est pas inintéressante.
On fait généralement l’élision devant le nombre un, surtout quand il est suivi de décimales. Par contre, on ne fait pas l’élision si un désigne un chiffre ou un numéro, ou encore si on veut insister sur l’idée de quantité ou de mesure.
Exemples :
–  Il habite au un de la rue des Érables.
–  Marie-Ange a la somme d’un dollar cinquante dans sa tirelire.
–  Cette distributrice de café n’accepte que les pièces de un dollar.
BDL
—-
Nous sommes dans le cas où l’élision ne se fait pas. Aux environs de une heure du matin.
Ici, « une » est un numéro, c’est à dire « un nombre attribué à une chose et qui sert à indiquer sa place dans une série, à la classer, à la reconnaître « . La série est constituée des différentes heures d’un jour.

Si certains font l’élision, je suppose qu’il s’agit d’une confusion avec le chiffre.

Bien sûr, puisque « vôtre » est un pronom. Ce pronom se met au pluriel puisqu’il a pour référent plusieurs noms.

Après les pronoms indéfinis, l’adjectif est introduit par la préposition « de ».
Il a quelqu’un de malade – j’en vois un de surpris – Tu m’as apporté quelque chose de joli.  N’y a-t-il personne de courageux ici ?
Mais attention : « personne » est un substantif dans votre exemple. « une personne » : le déterminant l’atteste.

Avec les participes passés  :
Il y a quelqu’un  de mal garé – quelque chose de cassé :  les participes passés fonctionnent comme des adjectifs.

Mais : il y a quelqu’un garé devant ta porte – Il y a quelqu’un attaché dans cette cellule sont en fait des  élisions de l’auxiliaire, (qui est) « garé » et « attaché » n’étant pas alors perçus comme des adjectifs. En effet, le complément de lieu les désignent comme appartenant au temps composé d’un verbe (ici le passé composé).

Soit vous écrivez : « tous les reportages », pour une idée d’ensemble, de totalité, soit : « tout reportage », pour une idée de distributivité (comme c’est le cas avec « chaque »).
Tous les reportages doivent être soigneusement préparés.
Tout reportage sera supervisé.

A vous de choisir.

Ouatitm a raison. Les transgressions aux règles établies peuvent être des effets de style, à condition qu’elles soient voulues et expressives. Donc oui, l’absence de sujet, la ponctuation forte au lieu d’une virgule peut se justifier.