Ils franchirent pour la première fois, ensemble et d’aussi loin qu’il s’en souvienne, les frontières de ce territoire

Votre phrase est au passé.
On accepte le subjonctif présent à la place du subjonctif imparfait qui tombe en désuétude(surtout pour les personnes autres que la 3e du singulier).
Mais effectivement, la stricte concordance des temps serait :
Ils franchirent pour la première fois, ensemble et d’aussi loin qu’il s’en souvînt, les frontières de ce territoire.

L’emploi du subjonctif présent dans votre phrase est considéré comme correct.

Simplement parce que cet imparfait n’a pas de valeur temporelle. Il indique l’hypothèse.
Si tu me donnais mon sandwich … on pourrait continuer par : je serais content.
On n’a en fait (en gras) qu el a^proposition subordonnée. La proposition principale est sous entendue.
Au passé on aurait : Et si tu m’avais donné mon sandwich j’aurais été content..

C’est la locution un peu de qu’il faut considérer; et non « de » seulement :

Un peu de est prédéterminant du substantif, il évoque une quantité faible, mais déjà appréciable
Prédéterminant : Déterminant se plaçant avant l’article et ne pouvant être précédé de l’article (par exemple tous les enfants et non : °les tous enfants – un peu de la tarte et non °la un peu de tarte).
Et :
« de » est une préposition et non un article partitif : comparez :
Je veux un peu de tarte et je veux un peu de la/cette/une tarte – un peu de ces tartes

Il se passe seulement qu’ici le nom n’a pas d’article (effet généralisant). Il n’a d’ailleurs généralement pas d’article devant un nom abstrait :
Un peu de tranquillité. Mais : un peu de la tranquillité qui m’est due.

Il semble avoir récupéré ses jouets mais les confiscations restent possibles.

Possibles est attribut du sujet confiscations
—–

Un attribut est introduit auprès du nom auquel il se rapporte par un verbe. Ce peut être le verbe être, mais  :
– il existe d’autres verbes qu’on dit essentiellement attributifs : rester, devenir, sembler, paraître… avoir l’air… demeurer
Les vols sont/restent/semblent/… possibles

– certains verbes sont parfois attributifs
Elles se déclarent prêtes – Ils se trouvent beaux

Il y a : c’est surtout le contexte qui décide par quoi le remplacer; mes suggestions peuvent donc ne pas être pertinentes et beaucoup de possibilités m’échappent . Donnez-nous un exemple précis de liste à introduire.
On peut écrire par exemple :
– on peut citer
– il faut retenir :
– voici une liste de
– considérons les éléments suivants

–

Il a soumis le roi et mis la ville à feu et à sang.
Mettre ne peut être au passé simple :

– parce que sa forme verbale est coordonnée à la forme verbale précédente soumis, qui est un participe passé. Une conjonction de coordination relie des éléments de même nature et de même fonction. On a donc ici élision de l’auxiliaire avoir auprès du PP mis. « Et » relie les deux participes passés : soumis et mis.

– Une deuxième raison : dans un énoncé, on doit choisir entre le passé composé et le passé simple une fois pour toute. Ils ont (pour aller un peu vite) le même rôle. Ici le passé composé est choisi « il a soumis ».
Si le passé simple avait été choisi, on aurait eu :
Il soumit le roi et mit la ville…

Oui votre raisonnement se tient. Il faut faire appel à la virgule :
L’humidité, mêlée à la fraîcheur nocturne, les obligent à battre en retraite.
L’humidité mêlée à la fraîcheur nocturne les oblige à battre en retraite.

A priori il s’agit du ‘ »on » impersonnel,  puisqu’on a aussi un infinitif « être averti » » qui est une forme non personnelle.
Il ne faut donc pas d’S au participe passé.
Si on a une urgence, il faut bien être averti (n’oubliez pas le sujet du verbe falloir « il ».

La forme personnelle > la proposition serait conjonctive (soulignée) :
Si on a une urgence, il faut bien qu’on soit/ que nous soyons avertis.

Les deux formulation sont correctes. Elles s’analysent différemment :
Voilà ce qu’il s’est passé, une pie est entrée… : le verbe est impersonnel : il s’est passé ceci.
voilà ceci. Il s’est passé ceci.
Voilà ce  qui s’est passé, une pie est entrée… : le verbe est personnel : ceci s’est passé
Voilà ceci. Ceci s’est passé.

Kevin pense à ses parents, il fonce les secourir, il n’a pas vu qu’il sont déjà sortis.

Cette phrase est au système du présent. Le retour en arrière doit se faire avec le passé composé.

Si non transpose la phrase au passé on utilise le plus que parfait pour le retour en arrière :
Kevin pensait à ses parents, il fonça les secourir, il n’avait pas vu qu’ils  étaient déjà sortis.