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  • Débutant Demandé le 6 décembre 2018 dans Général

    Je serais moins catégorique :  selon le contexte ou la situation  (qui ne sont pas précisés, ce qui laisse une certaine latitude d’emploi), on peut écrire Information & [et] réservation ou Informations & [et] réservations. Même dans le même contexte ou la même situation, le pluriel ou le singulier peuvent être acceptables.

    Un exemple parmi bien d’autres :
    « Pour toute information et réservation, s’adresser au 3e guichet à droite. »

     

     

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  • Débutant Demandé le 6 décembre 2018 dans Question de langue

    Il est utile de signaler que l’on pourrait écrire aussi faits de riens, comme on dit, par ex., ces riens qui rendent un appartement agréable.

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  • Débutant Demandé le 6 décembre 2018 dans Conjugaison

    Bonsoir Mohit.

    Je ne suis pas certain que tes demandes (à mon avis, il y en a trois) aient été bien comprises.  Je te réponds tel que, pour ma part, je les ai comprises :

    1° « Est-ce que la conjugaison suivant de remonter correct ?

    j’étais remonté(e)
    tu etais remonté(e)
    il/elle était remonté(e)
    nous etions remonté(e)s
    vous etiez remonté(e)s
    il/elles étaient remonté(e) »

    a. Tu as oublié l’accent aigu sur étais, étions, étiez.
    b.  Tu as oublié deux s à la dernière ligne. 

    2° « Je dois utiliser le subjonctif. »

    a. Si tu dois utiliser le subj. présent, ,voir la réponse de trestraou.
    b. Dans ta question, remonter est conjugué au plus-que-parfait (PQP), et non à l’imparfait de l’indicatif, comme c’est écrit ci-dessus. S’il te faut conjuguer ce verbe au même temps du subj., ça donne : 

    que je fusse remonté(e)

    que tu fusses remonté(e)

    qu’il/qu’elle  fût remonté(e)

     que nous fussions remonté(e)s

     que vous fussiez remonté(e)s

    qu’ils/qu’elles fussent remonté(e)s.

    3° Est-que nous devons utiliser <<(e)>> ici avec chaque pronom comme passé composé ? »

    a. Il n’y a pas de passé composé dans ta question. C’est du PQP. 

    b. A mon avis : oui, pour être complet. 

     

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  • Débutant Demandé le 5 décembre 2018 dans Conjugaison

    Bonsoir Yahyalamghari.

    Les quatre premières « astuces » de « Langue française » peuvent t’aider :

    « Comment savoir quand utiliser le futur ou le conditionnel ?

    Astuce 1 : le futur simple est employé dans trois situations distinctes :

    • comme son nom l’indique, on l’emploie pour une action qui se passe dans l’avenir.

    Exemple : Demain je ferai le ménage.

    • on peut aussi l’utiliser pour une supposition sous la forme de : si + présent => futur

    Exemple : S’il vient demain, tu resteras dans ta chambre. S’il ne fait pas beau le mois prochain, nous partirons en vacances

    • il peut enfin remplacer dans certains cas l’impératif

    Exemple : vous nettoierez la cuisine après votre fête.

     

    Astuce 2 : le conditionnel est employé dans quatre cas :

    • on l’emploie pour une exprimer une condition, avec la formule : si + imparfait => conditionnel

    Exemple :  S’il faisait beau, nous pourrions aller nous balader.

    • pour exprimer un souhait

    Exemple : J’aimerais savoir ce que tu penses. Luc préfèrerait aller à la plage.

    • pour s’exprimer de manière polie

    Exemple : Pourrais-tu baisser d’un ton ? Pourraient-ils aller jouer un peu plus loin ?

    • pour transmettre une information incertaine

    Exemple : L’avion se serait écrasé à midi.

     

    Astuce 3 : on n’emploie jamais le futur ni le conditionnel après SI, c’est l’erreur du Petit Gibus et de nombreux enfants… et adultes ! Un bon moyen mnémotechnique est de dire : « les si n’aiment pas les ré »

    Exemple : « Si j’aurais su, j’aurais pas venu » s’écrit Si j’avais su, je ne serais pas venu.

     

    Astuce 4 : il existe bien heureusement une petite astuce qui permet de savoir simplement si on emploie le futur ou le conditionnel. Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par « nous » pour entre « ons » (futur) ou « ions ». Si en remplaçant par nous « ions » sonne bien alors utilisez le conditionnel.

    Exemple : Je mangerais du chocolat si j’aimais ça (nous mangerions du chocolat si nous aimions ça)

    Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire « nous mangerions du chocolat demain soir »). »

    https://www.lalanguefrancaise.com/general/5-astuces-pour-ne-plus-confondre-le-conditionnel-et-le-futur/#comments

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  • Débutant Demandé le 5 décembre 2018 dans Accords

    Bonsoir reine.

    Dans les temps surcomposés (temps où le verbe est conjugué avec un double auxiliaire : elle a été partie), seul le dernier participe passé peut varier (usage dominant). ==> Tes notes après que je les ai eu lues, je t’ai récompensé. Lues s’accorde en genre et en nombre avec notes, fém. pluriel).

     

    Cette réponse a été acceptée par reine25. le 5 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 5 décembre 2018 dans Accords

    Bonjour SAB.

    En tant qu’adverbe, bio est invariable :  Manger bio. 
    Comme substantif , on écrit  : le marché du bio.
    Quand bio est adjectif, il varie en nombre : Un potager bio, des potagers bios ; des produits bios. 

    Télé  (nom féminin) varie en nombre : une télé, des télés.

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  • Débutant Demandé le 5 décembre 2018 dans Accords

    Bonjour Djad.

    Tout dépend du sens. Si voulez parler d’une partie des milieux  défavorisés, et pas de tous, vous emploierez  de  ==> provenant de milieux défavorisés.
    Si voulez viser tous les milieux, et pas seulement une partue d’entre eux, vous utiliserez des==> provenant des milieux défavorisés. 

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  • Débutant Demandé le 4 décembre 2018 dans Question de langue

    Virginie, compte tenu de tes précisions, je te propose :

    Lorsque nous pensons en nous fiant à notre réalité*, nous pensons que nos pensées et nos perceptions  sont le reflet fidèle de la Réalité. Ainsi, nous croyons  en ce que nous voyons et touchons, ainsi qu’en ce que nos pensées nous conduisent  à analyser et à identifier le réel**.

    * A la réalité telle que nos sens nous permettent de la percevoir et que notre esprit nous permet de la penser.
    ** Alors que  la mécanique quantique (= la théorie de l’infiniment petit)  nous apprend que la Réalité est bien différente.
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  • Débutant Demandé le 4 décembre 2018 dans Question de langue

    Zully,

    « C’est mon leitmotiv !, et de préciser, la danse fait toujours partie de ma vie, mais elle s’étend à d’autres domaines. »

    L’excellent TermiumPlus  admet la présence ou l’absence de virgule : 

    « 6.6.8 Le point d’exclamation et les autres signes

    […]
    Le point d’exclamation, suivi ou non des guillemets, tient lieu de virgule à la fin d’une proposition intercalée, ou avant une incise :

      • J’ai encore, hélas! mal à la tête.
      • « Comme si je n’avais pas assez d’ennuis» s’est-il écrié.

    Certains préfèrent coupler la virgule et le point d’exclamation :

      • Ce fut, hélas!, le mari qui prit les devants (A. Lwoff).
      • « C’est un véritable imbroglio! », dit Philip Wilkes, le défenseur des usagers (Le Nouvel Observateur).

    Il convient de considérer les deux procédés comme acceptables ; l’important est d’assurer l’uniformité à l’intérieur du texte. »

    Le Bon usage  actuel (§ n° 124)  et le Traité de la ponctuation française  de jacques Drillon (1990, Gallimard),  entre autres, vont dans le même sens.

    Même si certains typographes ne mettent pas de virgule dans ce cas, je considère que ces trois attestations  de référence suffisent pour s’autoriser à mettre ou pas une virgule dans ta phrase.

     

    Cette réponse a été acceptée par Zully. le 6 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Débutant Demandé le 4 décembre 2018 dans Question de langue

    « J’aimerais comprendre pourquoi dans la phrase ci-dessous il faut utiliser « ce qui a provoqué que »  et pourquoi il n’est pas possible d’utiliser « c’est pourquoi ».
    – Il a manqué son train ; ce qui a provoqué qu’il est arrivé en retard »

    Mais il ne faut pas utiliser « ce qui a provoqué qu’il est…  »  Ce serait incorrect.
    Il est possible d’employer  « c’est pourquoi » ou « c’est la raison pour laquelle ».

    Attention !  c’est pourquoi est correct , contrairement à ce qui est dit.  Par ex., l’Académie française, qui est plutôt sourcilleuse,  écrit dans son Dictionnaire (9e éd., art. « pourquoi »), sans la moindre réserve :

     « Introduit la conséquence, la conclusion de ce qui vient d’être dit. C’est pourquoi, voilà pourquoiJ’ai une chose urgente à lui demander, c’est pourquoi j’irai le voir dès ce matin. »
    (C’est moi qui ai  graissé.)

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