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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 30 novembre 2015 dans Général

    Pour l’emploi, on peut dire par exemple :

     » Ce projet a été peu finalisé (on n’en a pas défini les buts, les visées), donc son élaboration a été laborieuse ».

    « Finaliser cette action : lui assigner des objectifs, l’orienter »

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  • Grand maître Demandé le 30 novembre 2015 dans Accords

    Quand deux mots sont employés pour qualifier une couleur et que le composé obtenu fait fonction de nom (c’est-à-dire qu’il peut être précédé d’un déterminant), trois cas sont envisageables :

    – les deux termes formant le composé sont chacun des noms de couleur. Ils restent invariables tous les deux et sont liés par un trait d’union.

    > des bleu-vert ravissants

    – le composé est formé d’un nom de couleur suivi d’un nom qui n’est pas de couleur : seul le nom de couleur prend un « s » au pluriel.-

    des bleus ciel ravissants== Des roses fuchsia

    – le composé est formé d’un nom de couleur suivi d’un adjectif : ils prennent tous les deux un « s » au pluriel.
    > ces bleus foncés ravissants

    Bien sûr, l’adjectif de couleur : des robes rose fuchsia, car il s’agit d’un composé (des pulls vert pomme) ou d’une nuance (des foulards vert clair).

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  • Grand maître Demandé le 29 novembre 2015 dans Question de langue

    Selon le cntrl : 

    – Intéresser quelque chose. à, dans quelque chose  signifie faire participer, associer
    – Emploi pronom. « Plus l’effort de tension des cordes vocales est considérable dans la voix de poitrine, plus grande est la surface du corps qui s’y intéresse chez le chanteur inexpérimenté » (Bergson, Essai donn. imm.,1889, p. 46).
    – Associer quelqu’un (à une affaire, une entreprise), lui donner une part (dans une affaire), le faire participer (aux bénéfices). Ce garçon (…) sortait d’une maison de parfumerie où l’on avait refusé de l’intéresser dans les bénéfices (Balzac, C. Birotteau,1837, p. 56).


    – «Fuyez les procès, la conscience s’y intéresse.» Pour moi c’est correct, le pronom « y » représente le lieu physique ou symbolique où l’on va, où l’on est.
    Dans la phrase, il représente le nom « conscience ».
    Cela voudrait dire que pour gagner un procès, on peut être conduits à accomplir des choses que notre conscience nous reprocherait. Si la conscience y est associée, on n’en ressort pas « la conscience tranquille ».

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  • Grand maître Demandé le 29 novembre 2015 dans Question de langue

    Il faut utiliser le pronom réfléchi soi et non le pronom COI « lui ».
    Personne n’osait se plaindre et personne n’osait sortir (de chez soi.) ils n’osaient pas sortir de chez eux.
    la précision  » de chez soi » est à mes yeux redondante.

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  • Grand maître Demandé le 27 novembre 2015 dans Conjugaison

    Vérifier n’est pas un verbe exprimant le doute, le désir, l’hypothèse, etc. donc indicatif.
    Je vais vérifier si ce travail est bien fait
    ou mieux 
    je vais vérifier la qualité de ce travail. 
    Ou m’assurer que ce travail a été fait, que je n’ai pas (que nous n’en avons pas).
    Il faut ou il faudra + subjonctif = que je la convainque (verbe exprimant la nécessité).
    Le futur ne change rien car le subjonctif a une valeur modale et non aspectuelle (en clair, il n’indique pas le temps mais une nuance, une idée)

    Le subjonctif sert :

    – à exprimer l’ordre ou le souhait dans une proposition indépendante. Ex : Qu’il vienne immédiatement ! (ordre) – Que tout le monde soit heureux ! (souhait)

    – à exprimer le désir, la volonté, l’exigence (vouloir, exiger) ou un sentiment (souhaiter, avoir envie…) dans une subordonnée (qui dépend donc d’une principale).
    Ex : Je veux/Je souhaite/J’exige/J’ai envie que tout le monde soit heureux.

    – On le trouve après de nombreuses expressions : afin que, bien que, quoique, pour que, avant que, jusqu’à ce que, pourvu que… mais pas avec « après que  » (J’ai téléphoné après que vous m’avez répondu : indicatif obligatoire)
    Ex : Bien qu’il ne soit pas d’accord, il n’a pas discuté la décision.

    – On le trouve également après les verbes d’obligation : il faut, il est nécessaire que.
    Ex : Il faut – faudra que tu apprennes ta leçon.

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  • Grand maître Demandé le 26 novembre 2015 dans Général

    Quelles sont les caractéristiques sociales et économiques de la Génération Z et quel avenir lui est-il réservé ?

    ==>Le pronom « il » reprend le nom commun « avenir » pour formuler la question (mon père est-il arrivé ? plus élégant que « est-ce que mon père est arrivé ?)

    Réservé est un participe passé employé avec l’auxiliaire être, il s’accorde donc avec le sujet « avenir » et non avec « génération Z » qui est le COD
    Pour s’y retrouver, remettre la phrase « en ordre » : l’avenir (sujet) est (aux.) réservé (PP) à la génération Z (à elle COI).
    ==> donc « réservé »

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  • Grand maître Demandé le 26 novembre 2015 dans Conjugaison

    As-tu vu la courtoisie que j’ai manifestée envers toi ou à ton égard ?
    As-tu remarqué comme j’ai été courtois ?

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  • Grand maître Demandé le 25 novembre 2015 dans Question de langue

    Votre phrase est pertinente, juste et adaptée, mais elle est un peu… »ancienne mode ».
    Force + subst. au plur., vieilli, adj. indéf. Synonyme
    Avec beaucoup de détails.

    Vous pourriez, dans un style plus moderne, rédiger :
    Une formation n’a de valeur pour les participants que si elle a été au préalable expliquée avec précision
    ou
    clairement expliquée, ou justifiée.

    Cette réponse a été acceptée par JEAN. le 21 décembre 2025 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 25 novembre 2015 dans Général

    Personnellement, je déconseille l’usage du passé simple dans la rédaction professionnelle. Il est vrai que dans une note ou un rapport, les formules suivantes sont étonnantes ou difficiles à manier :

    « Nous prîmes les mesures nécessaires ».
    « Nous convînmes d’une date, mais Vous refusâtes le rendez-vous ». 

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  • Grand maître Demandé le 24 novembre 2015 dans Conjugaison

    Les relatives dépendant d’un superlatif (le plus…, le moins…) sont le plus souvent au subjonctif.
    C’est le plus grand spécialiste que je connaisse.
    Il nous a fait goûter le meilleur vin qu’il ait dans sa cave.
    De même, le subjonctif est fréquent quand la principale contient les termes tels que : le seul, l’unique, le premier, le dernier.
    C’est le seul ami que je lui connaisse.

    Donc, les seules personnes qu’il ait (que j’aie rencontrées).

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