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De mon côté, je dirais que votre lettre est une accumulation d’opinions flatteuses, mais jamais étayées.
En gros, ce n’est pas une lettre de motivation personnelle. N’importe qui peut l’écrire ; c’est quasiment valable pour tout le monde.
Alors, qu’est-ce que vous avez de vraiment fort ? Dites-le en le prouvant.Commentaires :
Votre entreprise, par sa réputation et son dynamisme [comment le savez-vous ?],
me semble le lieu idéal [n’est-ce pas exagéré ?]
pour mettre à profit les connaissances acquises tout au long de mon cursus. [1) On ne vous recrute pas pour que vous mettiez à profit quoi que de soit, mais parce que vous pouvez apporter quelque chose, des compétences et de la motivation. 2) Qui dit cursus dit étudiant ; voulez-vous dire parcours ?]Vos compétences [celles de qui ? de vos futurs collègues ? celle de votre futur boss ?]
et votre professionnalisme [ça veut dire quoi, le professionnalisme d’une entreprise ?]m’apporteront beaucoup et me permettront d’enrichir mes savoir-faire et de m’exprimer pleinement. [3) Vous êtes encore centré sur vous, pas sur l’entreprise
Je mettrai donc à votre service mes connaissances acquises dans les domaines techniques et commerciaux [c’est vague : vous avez vendu de l’informatique, des ascenseurs ?
mon goût du travail, ma motivation et ma disponibilité. [comment on le sait ? en quoi c’est différent de tous les autres candidats ?
Sérieux, ponctuel et ambitieux [à mon avis, ambitieux rime mal avec sérieux et ponctuel]
je suis motivé pour donner le meilleur de moi-même au sein de votre équipe.Comme disent les Anglais : des faits.
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J’ai trouvé par hasard un site spécialisé dans les contraires.
Très drôle : à angoisse, je retrouve les contraires listés plus haut, mais aussi « phobie, crainte, frousse…Cela dit, j’aurais aimé trouver un mot grec, comme ataraxie : état d’indifférence émotionnelle totale du sujet qui n’éprouve pas d’émotion émanant de lui-même et qui lui serait propre.
Mais je ne vois pas ce que cherche notre questionnant, quand il dit : « J’aimerais atteindre le registre psychiatrique. »
Qu’est-ce que une âme privée d’angoisse ? Un légume (registre neurologique) ? Un bienheureux (registre religieux) ? Un imbécile heureux (registre de question philosophique niveau Bac) ?Alors ? Ataraxie ?
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En tant que créateur d’activités et de supports didactiques, je valide votre « Création d’activités et de supports didactiques ».
Quoi qu’en pense Tony, votre lecteur se poserait des questions si vous n’aviez créé qu’une activité pédagogique.
Cette réponse a été acceptée par Lucile. le 28 juin 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Comme dit Joëlle, les trois cas sont possibles
Moi, (personnellement) quand j’hésite, je remplace je par nous.
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Je suis en total accord avec PhL, bien que j’ai dû relire son argumentation deux fois, troublé par le « détermine ».
(La question était : « Quel est le déterminant devant plus, adverbe ? ».
Mes pauvres neurones ont cramé devant « Quel est le déterminant devant plus, qui détermine un verbe ? ».
Il m’en faut peu.)- 3104 vues
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1. Selon le Projet Voltaire, avec « le peu de « , l’accord avec le verbe se fait d’après le sens, c’est-à-dire selon que « le peu » signifie :
a) « c’est suffisant » ==> accord avec le complément de « le peu de » :
Le peu d’affaires que je possède sont en réalité bien suffisantes. (= le peu de signifiant » une petite quantité de « , le verbe s’accorde avec le complément)b) « il n’y en pas assez » ==> invariable
– Le peu d’encouragements que j’ai reçus ne m’a pas incité à continuer.
(= le peu de signifiant » le manque de, l’insuffisance de « , le verbe s’accorde avec l’adverbe de quantité nominalisé – au singulier)
[On notera que si Voltaire n’accorde pas le verbe inciter, il accorde le participe passé reçu. Pas très logique ! Je vais aller voir d’autres sources]
2. Selon le Bon Usage, l’accord se fait souvent avec l’adverbe nominalisé [Voilà qui nous aide !]3. La BDL rejoint Voltaire, avec un exemple plus cohérent
« Le verbe qui accompagne le peu de au sens de « l’insuffisance de » reste au singulier. Exemple : Le peu de signatures d’appui que les responsables ont recueilli les a incités à tout .======> Donc, pour vous : « Le peu de considération porté par les représentants… »
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Je préfèrerais aussi un deux-point ( (ou un point) plutôt qu’une virgule :
Je compte sur un retour rapide de votre part : une quinzaine de jours m’agréerait.- 7748 vues
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1. Quelle est la question ?
2. Le souligné est à réserver aux liens hypertextes. Pour mettre en valeur, utilisez l’italique ou le gras.
3. Votre « 1 » et votre « 2 » devraient être alignés.
4. Je ne mettrais pas un (une) espace aussi grand avant l’item 1.
5. Vous avez bien fait :
– de commencer vos items par une minuscule, puisque les numéros ne sont pas suivis d’un point mais d’un tiret [en fait un trait d’union, mais vous êtes sans doute sur PC] ;
– de terminer le premier par un « ; ».- 1893 vues
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Joëlle, votre démonstration est juste, mais propre à égarer les quelques neurones que j’ai :
– « Comme […] ce « en » représente « des mots », c’est-à-dire le COD, vous n’accordez pas le participe. »
Peut-être serait-il pertinent de rappeler que « en » est invariable.
[Note : invariable pour des raisons obscures que j’ignore. – Les explications du Bon usage me laissent totalement sur ma faim, et m’inviteraient presque à le rendre variable –mais j’attends que se dresse un comité de soutien à la variabilité du « en ». ]– « Alors que si le pronom « en » représente un COI, on accorde le PP si le COD est avant. » Oui, on accorde parce qu’il y a réellement un COD, le pronom « que », caché en embuscade.
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Bonjour,
Une chose me chiffonne dans les lettres de motivation actuelles, c’est qu’on se doive d’y exprimer une passion.
Or, une passion, c’est « un goût très prononcé, voire irrésistible, pour une activité. »Certes, je reconnais que j’ai une passion pour la langue.
Mais si, de votre côté, vous êtes passionné par la philosophie, est-ce prudent de postuler pour autre chose qu’un poste de chercheur au CNRS ?
Je serais curieux de savoir ce qui peut tenter un recruteur dans votre intérêt pour Kant ou Zarathoustra.
[Ceci est une invitation à l’échange, et non une critique.]- 2107 vues
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