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Bonjour MM, j’ai consacré quoi ? chacune de mes expériences professionnelles. Le complément d’objet direct de consacré étant placé après le verbe, il ne faut pas accorder le participe passé : j’y ai consacré chacune de mes expériences professionnelles.
À l’inverse, si le COD avait été placé avant le verbe, on aurait alors fait l’accord. Par exemple, les expériences professionnelles que j’y ai consacrées.
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Bonjour Cécilia, ces deux tournures sont parfaitement correctes et peuvent être utilisées indifféremment.
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Bonjour Franca, la règle générale est simple :
– si [présent de l’indicatif] alors [futur] : s’il fait beau, nous irons à la plage.
ou
– si [imparfait à valeur de conditionnel (hypothétique)] alors [conditionnel] : s’il faisait beau, nous irions à la plage.
Dans la phrase que vous citez, nous sommes dans le premier cas, il faut donc écrire : Si vous faites ce choix […], vous vous retrouverez alors sans vos proches.
A l’inverse, si la phrase avait commencé par Si vous faisiez ce choix, il aurait fallu poursuivre avec le conditionnel : […] vous vous retrouveriez alors…
Cette réponse a été acceptée par Franca. le 30 janvier 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Tony,
Vous avez raison, les deux phrases que vous citez comportent des erreurs grammaticales et vous les avez bien corrigées :
– les éléments seront envisagés tout particulièrement (tout est ici adverbe qualifiant particulièrement et non pronom),
– les juges se sont reconnu le pouvoir (ils ont reconnu quoi ? le pouvoir — COD placé après le verbe — à qui ? à eux-mêmes).
(attention, dans la première phrase de votre question, il s’agit d’un mémoire juridique et non d’une mémoire)
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 1 février 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour xyzblabla, pour répondre clairement et précisément à votre question, la discussion sur ennuyant/ennuyeux ne porte que sur l’adjectif, le participe présent, lui, est parfaitement français, parfaitement correct et peut être utilisé sans restriction (comme dans vos exemples, le professeur ennuyant ses élèves ou l’élève s’ennuyant en classe).
Cette réponse a été acceptée par xyzblabla. le 19 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour LeDonk, si vous mettez cette phrase au présent, la réponse devrait venir d’elle-même : Martine serre sa sœur aussi fort qu’elle le peut (et non qu’elle le puisse), le verbe est donc à l’indicatif et non au subjonctif. Il en est de même au passé : Martine serra sa sœur aussi fort qu’elle le put (et non le pût, il s’agit bien ici du passé simple).
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Bonjour, amour (nom masculin) ne devient pas féminin lorsqu’on le met au pluriel. Il existe au féminin pluriel dans des expressions littéraires plus ou moins figées (de belles amours, les amours enfantines, etc.), ce qui est différent. Dans le contexte que vous citez, amours est simplement le pluriel du nom dans son acception la plus courante, et reste alors au masculin : chacun des amours représentés ici… Vous trouverez ici une réflexion de l’Académie française sur ce thème.
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Bonjour Tony, cette question a été posée récemment. La règle en la matière n’est pas figée, mais il est courant d’accorder comme un substantif les premières, les troisièmes, etc. Logiquement, les maternelles et les primaires devraient suivre le même régime. Enfin, pour les études supérieures, on ne fait pas l’ellipse, on écrira donc les première année ou les « première année » au singulier (de préférence avec les guillemets).
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 13 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Tony,
A. Oui, dans ces deux phrases « plus haut » et « plus bas » sont bien adverbe (de lieu)
B. Je ne sais pas si le sens permet à « prévu(e) » de se rapporter aussi bien au droit fondamental qu’à l’autorité judiciaire, mais grammaticalement les deux sont possibles. Cela dit, s’il se rapporte au droit (ou plus exactement à celui dont il est l’antécédent), je pense qu’il serait préférable de mettre une virgule avant également pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté.
C. Dans les deux phrases, le singulier et le pluriel sont possibles pour tous les noms concernés. Je laisserais douche et promenade au singulier car dans ce contexte on parle de « la douche » et de « la promenade » comme des moments, des rituels de la vie carcérale, et je mettrais visites au pluriel (car on ne parle pas de « la visite » mais bien « des visites »). Dans la seconde, on peut parler du loyer en général ou des loyers pris individuellement (je mettrais personnellement le pluriel, au sens de il a des loyers en retard).
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 12 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Tony,
A. La seconde phrase ne me semble pas correcte, comme n’est pas un pronom relatif, on ne peut pas supprimer le pronom en car alors vue ne se rapporte plus à rien dans la proposition subordonnée.
B. À l’écrit, il y a deux façons de transformer l’affirmation ces images vous ont choquée : l’introduire par est-ce que (est-ce que ces images vous ont choquée ?) ou inverser le verbe et le sujet (ces images vous ont-elles choquée ?). À l’oral, on peut marquer l’interrogation sans modifier la phrase, juste avec l’intonation. La seconde phrase est considérée comme incorrecte à l’écrit, mais tolérée et très courante à l’oral.
C. Ces deux phrases sont incorrectes. On échappe à quelque chose (et non de quelque chose) donc pour la première phrase il faudrait écrire : il n’y ont pas échappé. À la forme pronominale, on s’échappe bien de quelque chose, donc en est bon, mais il faut utiliser l’auxiliaire être : ils ne s’en sont pas échappés.
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 12 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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