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Ah, la belle invention que celle de l’accord du participe passé après l’auxiliaire avoir !
Totalement inutile, mais si propice aux conversations byzantines…
Courage à tous pour tous ces cas surréalistes dans lesquels l’invariabilité de principe permettrait de se concentrer sur autre chose.- 13636 vues
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Comme souvent, dictionnaires et manuels créent plus de confusion qu’ils ne clarifient les questions. Le trait d’union indique la lexicalisation d’un ensemble, le fait d’en faire un un nom figé. Les locutions (adverbiales, adjectivales) sont mobiles et ne devraient pas comporter de trait d’union. Écririez-vous « à tout-crin », « à toute-vitesse » ou « à tout-poil » ? Non, car les noms associés ne se disent pas.*
Les cas se comptent par dizaines : mettre pied à terre mais acheter un pied-à-terre, courir contre la montre mais courir un contre-la-montre, un tête-à-tête agité mais manger en tête à tête, etc.
Si les autorités linguistiques étaient plus rationnelles, on se poserait moins de questions inutiles et agaçantes toute la journée.*Ici, le mot associé est le va-tout (jouer son va-tout), l’expression de jeu ayant aussi donné l‘atout.
Cette réponse a été acceptée par rduke. le 30 avril 2021 Vous avez gagné 15 points.
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Sur le fond de la question, il n’y a pas de doute si l’on veut respecter un minimum de cohérence quand on écrit. Pourquoi ne pas faire figurer l’accent ? Il n’y a pas de raison…
Cela dit, il se trouve toujours des gens pour créer de bonnes raisons de ne pas le faire : claviers, logiciels, aspect visuel, etc. Si la langue française était un peu plus cohérente, il n’y aurait pas ce type de débat…- 1126 vues
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La réponse maison du Projet Voltaire. C’est sans équivoque…
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Question intéressante. Vous avez le choix du genre selon le sens (accord par syllepse), mais la phrase précédente donne priorité à la relique (je la touchais même). Revenir au masculin oblige le lecteur à une contorsion pour savoir de quoi on parle.
Dans cet esprit, le saut de ligne qui précède est malencontreux, comme l’est la mention du stylo au début et la reprise brutale du « elle » à la fin, qui renvoie désormais à une personne.
Il faut aussi faire concorder les temps : Comment croire qu’elle tiendrait parole quand tant d’autres s’étaient dérobées ?
Ce n’est pas limpide…- 4370 vues
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Question similaire posée il y a quelques jours.
Voir les exemples et la discussion ICI.- 1081 vues
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Bon, cela ne se comprenait pas seul.
De plus en plus, les guillemets pour ouvrir des dialogues se perdent dans l’édition. Anciennement limités, les dialogues prolifèrent dans les romans et il faudrait en mettre partout, ce qui finit par gêner. On les remplace par des tirets cadratins pour le premier interlocuteur, ce qui n’est pas orthodoxe en vison XXe siècle mais a fini par s’imposer.
Conclusion : supprimez les guillemets de dialogues et utilisez-les pour les citations (en romain, pas de double balisage avec l’italique). C’est le plus pragmatique…- 1471 vues
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Le premier tiret cadratin a-t-il une signification précise ?
Ensuite, vos premiers guillemets semblent ouvrir une citation. C’est correct, mais on ne sait ce que vous citez. Il faudrait référencer (parenthèses, note de bas de page). Si ce n’est pas le cas, il vaut mieux supprimer ce niveau car il parasite l’ensemble.
En second niveau, la citation cite elle-même Nostradamus (si les … représentent une coupure du rédacteur, employer […]). Là vous pouvez employer ou des guillemets anglais avec du romain ou l’italique seule car la citation est brève. Si vous n’employez pas massivement l’italique ailleurs dans l’ouvrage (termes étrangers, titres d’oeuvres, etc.), cette solution est plus agréable car elle donne du contraste ponctuel.
Donc :
– Parmi les exemples les plus troublants : 〃Un chancelier […] aux champs Elisiens faire ronde〃, qui paraît faire référence au défilé de Hitler sur les Champs-Élysées en 1940.
ou
– Parmi les exemples les plus troublants : Un chancelier […] aux champs Elisiens faire ronde, qui paraît faire référence au défilé de Hitler sur les Champs-Élysées en 1940.- 1471 vues
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« Purger », comme pour une peine de prison…
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@AnnieGM. Je me permets de vous poser la question suivante, comme je me la pose devant les centaines de questions de ce type sur ce site : pouvez-vous expliquer (détailler) pourquoi vous avez un doute, apparemment insistant, alors que vous connaissez la règle et semblez l’appliquer sans problème ?
[ C’est pour une étude que je mène sur l’accord du P.P. après avoir ]
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