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Après quelques recherches, je m’aperçois que les deux orthographes sont employées. À vous de choisir en quelque sorte, et peu importe que vous les utilisiez individuellement ou sur tous les doigts à la fois, il n’y a aucun rapport avec ça :
Une marionnette / Des marionnettes à doigt
Une marionnette / Des marionnettes à doigts- 1001 vues
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Pas du tout d’accord avec les réponses données : « À ce que je vois / À ce que je sache / À ce que je sais / À ce qu’on raconte / À ce qu’il paraît , etc. » sont des tournures tout à fait inappropriées !!!
Un article très bien fait sur le sujet ICI« Que je sache » s’emploie en fin de phrase, après avoir énoncé une vérité que tout le monde connaît :
La terre est ronde, que je sache !
Sinon, on emploiera la tournure « À ma connaissance ».
« À ce que je vois » est une tournure très familière, inappropriée également, on dira plutôt :
Je vois qu’on s’amuse bien ici ! / Si j’en crois ce que je vois / Visiblement / À n’en pas douter, …- 9191 vues
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Rien ne vous empêche d’ajouter une virgule avant « ou », et même avant « et » pour aérer votre phrase, pour lui donner des respirations. Au contraire, dans votre phrase cela s’impose même, puisqu’il y a 3 étapes différentes : les enfants colorient, déposent les fleurs sur le présentoir, y ajoutent d’autres fleurs.
Ma suggestion :
Les enfants peuvent également colorier les différentes fleurs, et les déposer devant le présentoir, ou ajouter des fleurs glanées au cours d’une promenade.- 1179 vues
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1 / « votre message dégage une telle bienveillance que cela me fait chaud au cœur »
Votre phrase est à peu près correcte, oui. « me fait chaud au cœur » appartient au langage familier.
Dans un langage plus soigné, on dira :
Il émane de votre message une telle bienveillance que cela me réchauffe le cœur/ me va droit au cœur / me touche infiniment ,…2 / « Quand je serai sur le chemin du retour , j’achèterai ce qu’il faut pour faire à manger ».
Idem que précédemment : phrase correcte, mais « ce qu’il faut pour faire à manger » appartient au langage familier.
On dira plutôt :
Au retour (sur le chemin du retour), j’achèterai ce qu’il faut pour le déjeuner / dîner.
En revenant, je passerai faire quelques courses pour le dîner / pour préparer le dîner.Cette réponse a été acceptée par Lyn. le 28 mars 2023 Vous avez gagné 15 points.
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La proposition de Bruno me semble excellente.
Si vous préférez conserver votre construction, alors vous devez éviter « qu’alors que », qui me paraît tout à fait inapproprié, et préférer :
Nous avons remarqué que, alors que ce protocole est devenu obligatoire, les utilisateurs continuent à / de […]- 2025 vues
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Votre nouvelle question :
Autant que vous le pourrez, dirigez vos pas vers ce petit village, ce n’est pas correct ? Il faudrait écrire : Pour autant que vous le pourrez, dirigez vos pas… ?
Emplois de « autant que » et « pour autant que » selon l’Académie :
Autant que, suivi de l’indicatif ou du subjonctif, exprime une proportion : dans la mesure où.
J’irai chez vous autant que les circonstances le permettront.Nous renouvellerons cette demande autant de fois que ce sera nécessaire. Elle résistait autant qu’il lui était possible. Autant que faire se peut, exprime une possibilité sur laquelle on émet des réserves. Autant que je sache ou pour autant que je sache. Autant que je m’en souvienne ou, litt., pour autant qu’il m’en souvienne. Autant que je puisse ou pour autant que je puisse en juger. Pour autant, pourtant, malgré cela. Il ne s’est pas corrigé pour autant.Je pardonne, mais ne croyez pas pour autant que j’oublie.
Donc leur emploi n’est pas approprié dans le cas qui vous préoccupe.
Votre phrase revient à dire :
Marchez en direction de ce petit village tant que vous le pourrez, tant que la route n’est pas coupée (puis finissez le parcours à travers champs)- 1276 vues
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Une petite précision : « de toutes ces années » s’emploiera comme COI, par exemple « de toutes ces années je n’ai retenu que le meilleur ».
Dans votre phrase, le « de » est inapproprié.
D’autre part, voici ce que dit l’Académie, à propos de l’emploi de « Jamais » dans le sens qui vous préoccupe (sans la négation) :
Signifie : En un temps quelconque, à un moment, en un jour quelconque.
Si vous venez jamais me voir, je vous montrerai ma collection. J’ignore s’il a jamais affirmé cela. C’est ce qu’on pourra jamais dire de plus fort. Y parviendra-t-il jamais ? A-t-on jamais vu pareille insolence ?Aussi, pour votre phrase 2, « jamais » me semble mal placé, si vous l’entendez dans ce sens-là, et peut-être vouliez-vous dire :
Toutes ces années, l’idée ne m’avait jamais effleurée / effleuré qu’ils aient jamais renoncé à regagner leur pays.
Tournure un peu lourde malgré tout.- 1276 vues
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Je porte une attention particulière à certaines personnes.
Je porte une attention particulière sur quelque chose.
Tout dépend de ce que vous voulez dire, mais en tout cas, votre seconde proposition n’est pas appropriée. On ne « porte » pas une attention « sur » quelqu’un ou quelque chose.
Personnellement, je n’utiliserais pas le verbe « porter », dans les cas qui vous préoccupent.
Voici les emplois préconisés (voir ICI ):
Prêter une attention particulière à quelque chose ou quelqu’un : être à l’écoute, s’intéresser particulièrement à.
Accorder une attention particulière à quelque-chose ou à quelqu’un.
Attirer l’attention de quelqu’un sur quelque chose.
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« Un air de famille » fait déjà référence à une vague ressemblance. Si vous ajoutez « comme », la ressemblance est encore plus vague.
Aussi, « Ma grand-mère vous trouve comme un air de famille » peut se dire, si vous vous adressez à au moins deux personnes qui ne se ressemblent pas vraiment physiquement, et qui sont présents quand vous parlez.
On sous-entend que l’un et l’autre se ressemblent par certains côtés, par exemple certaines facettes de leur personnalité.Si vous vous adressez à une seule personne, alors la phrase est incomplète. On dira (sans le « comme ») :
Ma grand-mère vous trouve un air de famille avec cette actrice.
Ma grand-mère trouve que cette actrice et vous avez un air de famille.- 1713 vues
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Grammaticalement parlant, votre première proposition n’est pas acceptable :
Tout comme l’adjectif, le participe passé employé seul s’accorde en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte. Lorsqu’il est placé au début de la phrase, on dit qu’il est en apposition :
Prononcés d’une voix douce, ces derniers mots apaisèrent le patriarche, qui mourut sereinement.De plus, l’élision de l’auxiliaire prête à confusion, pour ce qui est de l’accord, car on ne sait pas qui a prononcé ces mots, (le patriarche ou quelqu’un d’autre ? ) :
[ Après avoir ] prononcé ces quelques mots, il rendit l’âme.
[ Une fois qu’ont été ] prononcés ces quelques mots…Pour ce qui est de votre seconde proposition, elle est correcte, si c’est le patriarche qui a prononcé ces mots :
Ces derniers mots prononcés, il rendit l’âme.
Malgré tout, la tournure est assez lourde…- 1527 vues
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