Bienvenue est un nom : on souhaite la bienvenue
Bienvenu/bienvenue est un participe passé
– utilisé comme adjectif : vous êtes tous bienvenus
– comme nom : vous êtes les bienvenues mesdames.

Donc, soit vous utilisez le nom, soit le participe passé qui, comme l’adjectif, il s’accorde en genre et en nombre avec le nom qu’il accompagne.

Quand ton cœur s’ouvre en bienvenu » est incorrect et de plus pas clair. Et pas élégant.
Et impropre : la phrase semble dire que le cœur est bienvenu alors qu’il est simplement accueillant?
La poésie demande beaucoup de travail et de rigueur (contrairement à ce que certains s’imaginent). Un défi à relever : dire correctement et exactement ce que vous voulez dire.
Je ne vois pas comment utiliser esthétiquement ce terme.
Changez-en. Pour « bienveillant »  ou « accueillant » (mais changez la construction évidemment)  ou pour une image… Bref : réécrivez.

« Je serai peut-être disponible entre le 09 et le 20 août, mais je préfère qu’on voit ça pendant les vacances. »

On a là une expression relâchée parfaitement acceptable entre amis, copains, familiers, mais à éviter dans des circonstances plus formelles.

« Je serai (il faut le futur) peut-être disponible entre le 09 et le 20 août, mais je préfère vous rencontrer/ placer cette séance de travail pendant les vacances. »

Est-ce que ces causes cachent (derrière elles) d’autres causes racines?

– Le pronom qui reprend « causes » doit être, comme ce mot, féminin pluriel.
– Cause racine n’est pas un nom composé : c’est un nom (cause) avec un complément apposé (racine) : on ne    met pas de trait d’union
– « derrière elles » est inutile (fait redondance avec « cacher »)
– On peut formuler la question avec une autre forme interrogative plus soutenue :
Ces causes cachent-elles d’autres « causes-racines » ?

Mais pas du tout !
Qui vous attendait ?
qui : pronom interrogatif sujet
vous : pronom personnel COD

Le problème c’est que la question qui ou quoi pour détecter un COD n’est qu’un truc qui ne marche pas toujours. Dans cette phrase vous êtes troublée par l’existence d’un premier « qui ».
Il faut donc, plutôt que d’essayer des trucs mécaniques, comprendre ce qu’est un COD.

Un COD est un complément du verbe construit directement (sans préposition). Le schéma de la phrase à laquelle il) appartient est  Sujet/agent + verbe + complément/objet (le pronom COD se place avant le verbe) et cette phrase active peut être transformée en phrase passive : sujet/objet + verbe voie passive + préposition (par ou de) + complément/agent
exemple : le vent secoue les branches > les branches sont secouées par le vent.
Votre phrase peut en effet subir une transformation passive :
qui vous attendait ?                                                                 >   vous étiez attendu par qui ?
sujet/agent + pronom objet/complément + verbe >   sujet/objet + verbe + par + complément/agent

Le sens ne change pas – on adopte un « point de vue » différent.

Sur le plan du sens  : l’agent est celui qui agit (qui produit l’action) – l’objet est celui sur lequel l’action est produite.
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Le COI fonctionne très différemment :
– il est introduit par une préposition
– quand il s’agit d’un pronom on a une forme spécifique
exemple : je le porte : le = COD – je lui parle : lui = COI
– il ne permet pas une transformation passive.

Cocojade : il est important en effet de lever le pied, voire « d’oublier » un peu les révisions. Un travail se fait -tout seul.
Je vous propose cet article :

L’enchaînement voire même que l’on trouve dans les exemples suivants est considéré comme pléonastique.

Exemples fautifs :

– Cette voiture est peu sûre, voire même dangereuse.
– Charlotte était emballée, voire même surexcitée à l’idée de s’envoler pour Paris.
– Il est souvent difficile, voire même impossible de répondre aux attentes de tous.

En effet, l’adverbe voire signifie « et même ». Dans l’expression voire même, il y a donc redondance puisque chacun des deux adverbes marque un renchérissement.

On écrirait plus correctement :

– Cette voiture est peu sûre, et même dangereuse.
– Charlotte était emballée, voire surexcitée à l’idée de s’envoler pour Paris.
– Il est souvent difficile, voire impossible de répondre aux attentes de tous.

De plus en plus de grammairiens reconnus se montrent tolérants envers l’expression pléonastique voire même, qui est très répandue dans la francophonie, tant à l’oral qu’à l’écrit. Cette tolérance s’appuie sur le sens premier du mot voire qui signifiait autrefois « vraiment, sans aucun doute ». Plusieurs grammairiens allèguent ainsi que le tour voire même ne serait pas pléonastique, mais plutôt archaïsant au sens de « et vraiment même » et qu’il constituerait ainsi un renforcement.

Il faut cependant savoir que l’expression voire même est encore critiquée dans bon nombre d’ouvrages; il convient donc de l’éviter, en particulier dans un texte soutenu.

Je vous ai répondu sur votre autre message.

Ce que je peux vous dire concernant les noms composés :

Certains noms composés sont invariables pour des raisons différentes :
– à cause de la liaison, qui ne serait pas heureuse à l’oreille avec un « s » : des pot-au-feu, des tête-à-tête, des pied-à-terre – …,
– à cause de leur sens : des gratte – ciel  –   des rez-de-chaussée  –  des gagne-petit
– à cause de leur origine latine ou étrangère : des post-scriptum   –  des drive-in

– lorsqu’ils sont issus de groupes verbaux :  porte-monnaie   –  amuse-gueule –  presse-papier – cure-dents
>> le nom composé est composé d’un verbe + un nom et le groupe verbal correspondant à chacun des exemples ci-dessus : un objet qui porte la monnaie – des biscuits faits pour amuser les papilles – un objet pour presser le papier – un objet pour se curer les dents

– Appelle-moi après que l’antivirus sera désinstallé.
– Appelle-moi après que l’antivirus est désinstallé.

Les deux temps sont possibles parce que :
le présent est souvent employé avec une valeur de futur plus ou moins immédiat.
Attends-moi, j’arrive, peut-on dire alors qu’un délai plus ou moins long est  nécessaire.

Ce n’est pas une règle. c’est très simple on peut considérer que l’ai est insolent ou bien qu’elle est insolente.
Cependant « avoir l’air » étant une locution verbale qui signifie « sembler » on peut faire l’accord avec le sujet.

En fait la locution se défige facilement : elle avait un air insolent – elle avait pris cet air insolent que nous lui connaissons – etc.

Ils se sont faits (auxiliaire être : accord avec le sujet) les porte-voix (attribut du sujet.