Invoquer qui convient :L’objet désigne Dieu, une puissance divine ou surnaturelle, un saint.Appeler à l’aide par des prières. TLF

Conjurer : écarter les influences néfastes par des procédés surnaturels. TLF

Évoquer : Entrer en communication, par la parole ou des gestes rituels, avec des morts, des esprits ou des êtres surnaturels TLF – Les Romains avaient coutume d’évoquer les mânes de leurs ancêtres. Évoquer les esprits. Fig. et litt. Interpeller dans un discours, un poème. Évoquer l’ombre d’un héros.

Ici : Il évoqua/invoquas a dague.

Pour généraliser : quand un verbe pronominal a un COD, il suit la règle du COD accompagné de l’auxiliaire avoir, c’est à dire : COD posé avant > accord du PP avec lui – COD posé après : pas d’accord.

C’est pourquoi, quand ils parlent la bouche partiellement emplie de ce jus rouge vif qui déborde sur leurs lèvres, on les croirait être des demeurés. Des vampires attardés.

Écrire plutôt :
C’est pourquoi, quand ils parlent avec plein la bouche de ce jus rouge vif qui déborde sur leurs lèvres, on croirait voir des demeurés. Des vampires attardés.
« Plein la bouche » est plus approximatif que « la bouche pleine » et évite la lourde précision de « partiellement ».

Ne certainement pas traduire « fica » par « chatte » qui est franchement vulgaire et trop sexuel.
« Tu es une belle plante » correspondrait mieux à l’idée.

Règle généralisable à tous les adjectifs antéposés. On ne dit pas : °j’ai vu de petits chats et souris – °je vais  acheter de beaux robes ou pantalons mais : de petits chats et de petites souris – de belles robes et de beaux pantalon
Car ici « tous » est adjectif.
Il convient de répéter l’adjectif pour chaque nom, quand l’adjectif est antéposé.
Ce qui est aussi vrai pour les déterminants de façon générale :
Les hirondelles et les  pinsons sont des oiseaux  – elle a pris sa serviette et son bonnet de bain – etc.

Mais quand l’adjectif est post-posé on peut en utiliser qu’un pour plusieurs noms
J‘ai eu un après-midi et une journée intéressants.
Il a rencontré un homme une femme et des enfants heureux

Les yeux clos, adopter la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, sans résister ni paniquer, permettre à l’instructeur surgi sans crier gare de nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, nous relâchant uniquement quand nous sommes près de mourir suffoqués.

Les yeux clos, nous adopterons la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, l’instructeur ayant surgi à l’improviste, nous ne lui opposerons aucune résistance et le laisserons sans paniquer,  nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, ne nous relâchant qu’au moment où  nous serons près de mourir suffoqués.

Il y a deux questions :
D’abord la différence entre les deux formulations :
1 Apprenez qu’il n’est pas un seul jour…
2 Apprenez qu’il n’y a pas un seul jour

Il y a bien entendu nuance entre ces deux débuts de phrases, comme à chaque fois que se présente un choix entre deux façons de dire.
Il est  (être)+ nom et il y a (avoir) +nom sont des formules impersonnelles qui signifient toutes les deux « il existe ».
La différence est de niveau de langue, il est + nom  étant bien plus soutenu que il y a + nom.
—
Le mode à choisir pour ces formules dans cette phrase :
Apprenez qu’il n’est pas / qu’il n’y a pas un seul jour sans que j’aie appris quelque chose.
Le mode de la formule impersonnelle : c’est obligatoirement un indicatif (mode du réel) car il s’agit d’un fait avéré.

—-
Remarque :
Dans une phrase où on aurait besoin du subjonctif pour les formules impersonnelles dont il est question ci-dessus il est + nom et il y a + nom,  ce qui n’est pas le cas ici on aurait :  exemples :
bien qu’il ne soit pas un seul jour….
et
bien qu’il n’y ait pas un seul jour

Le pronom peut reprendre le mot outils. Par exemple :
1 Je dispose les outils sur la table et je choisis avec soin ceux dont j’ai besoin, puis je les mets dans mon sac.

Mais il peut désigner un ensemble d’outils retiré de l’ensemble total des outils.
2 Je dispose les outils sur la table et je me demande ce dont j’ai besoin pour la tâche que je dois accomplir.

On voit bien que les deux sont possibles en 2 surtout >> en réalité c’est l’énonciateur du message qui sait  ce qu’l veut dire.

L’association a en réalité conscience que la loi confirme que le versement de la rente est obligatoire, mais s’abstient de l’avouer.
1 L’association a en réalité conscience  : proposition principale
2 que la loi confirme : proposition subordonnée  à la principale (COD)
3 que le versement de la rente est obligatoire :  proposition subordonnée à la précédente  (COD)
4 mais s’abstient de l’avouer : proposition indépendante, coordonnée à la principale

On constate qu’une subordonnée (3 que le versement de la rente est obligatoire) est  enchâssée dans une autre subordonnée  (2 que la loi confirme ), et la répétition peu élégante de « que ». Pour obtenir une phrase plus fluide, je vous suggère de garder les même proposition mais de les agencer autrement  :

2 La loi confirme 3 que le versement de la rente est obligatoire ;  1 l’association a en réalité conscience 4 mais s’abstient de l’avouer.

Je ne suis pas sûre de comprendre votre question.
S’il s’agit de reformuler les phrases 1) et 2) c’est assez difficile de le faire car on ne sait pas vraiment de quoi vous parlez :

1) Je ne peux rien faire pour vous : il nous est impossible de vous aider – malheureusement nous ne pouvons rien de plus
2)Y a pas de soucis : il n’y a aucun problème