Randonnées dans les gorges du Verdon, excursions sur le lac de Sainte-Croix, , balades dans les pas de Giono,; exploration de routes historiques et de sites archéologiques et découverte des villages de la région…
Je suis d’accord avec Joëlle.

Une petite remarque cependant : exploration et découverte sont ici des nominalisations, c’est à dire des noms formés à partir de verbes, mais surtout, qui ont le rôle d’un verbe : noyau de proposition (pour simplifier).
Randonnées, excursions et balades n’ont pas ce rôle.
Pour rendre plus claire la différence entre les premiers termes et les seconds, on pourrait écrire par exemple une phrase verbale. :
Vous ferez des randonnées, des excursions,  des balades ; vous explorerez des routes et découvrirez des villages.
Les premiers sont COD les seconds laissent la place aux verbes correspondants.

– C’est parce que excursion et découverte sont des nominalisations (des verbes explorer et découvrir) qu’on les met au singulier. Le pluriel ne serait pas réellement incorrect mais inutile.
– On voit la nécessité de regrouper les deux types de termes, comme le suggère Joëlle.

“Sur l’instant, les deux formulations m’apparaissent correctes, mais je ne l’affirmerai pas.
ou
“Sur l’instant, les deux formulations m’apparaissent correctes, mais je ne l’affirmerais pas.

– d’abord « sur l’instant » est un peu insolite. On emploierait plutôt « à l’instant ». Ou : au moment où je vous parle.
– Mais de toutes façons cette indication de temps n’a rien à voir avec l’emploi du futur ou du conditionnel dans cette phrase. Elle joue sur la première proposition : les deux formulations me paraissent correctes et non sur la deuxième.
—
Conditionnel ou futur.
– si je choisis le futur, ce futur a surtout une valeur aspectuelle celle de l’indicatif mode du réel. Employer le futur au lieu du présent est un acte de diplomatie. Moins brutal que : je ne l’affirme pas, il peut servir à atténuer le ton, le rendre moins péremptoire et pourtant observer une certains fermeté. On n’est pas loin d’infirmer le contenu de la première proposition.
– le conditionnel est plus prudent. Il y a réellement doute. Ou plus grande diplomatie.

Le choix entre les deux modes dépend et de la conviction de l’énonciateur et de la situation de communication et c’est bien pour cela qu’hors contexte il st impossible de choisir.

Il y a une notion de réciprocité dans le verbe « échanger. Comme d’autres verbes portant cette notion, par exemple communiquer, bavarder, parler, partager, se battre le verbe appelle la préposition « avec » qui exprime une relation entre deux éléments (ici deux animés).
Je communique/bavarde/parle/ partage/échange/ me bats … avec mes amis

La préposition « à » apparaît lorsque tombe cette notion de réciprocité et que l’action ne va plus que dans un seul sens : je parle à mon associé – J’indique à tout le monde la direction à suivre –  je donne une fleur à la vieille dame
Ce n’est pas possible avec « échanger », ni avec communiquer,  partager ou bavarder qui impliquent toujours une réciprocité, et donc un « avec ».

A part l’emploi de l’adverbe dans le cas d’un neutre, l’adjectif est toujours au pluriel; c’est le sens qui l’exige
En effet « des plus » signifie « parmi les plus ». la préposition de (de les) indique l’origine, l’extraction d’un élément parmi plusieurs autres éléments comme dans : j’ai prélevé cette poudre des échantillons – ce gilet vient des vêtements du placard de droite.
Voici deux articles qui lèvent le doute :

L’adjectif introduit par les locutions adverbiales des plus, des moins et des mieux s’accorde toujours au pluriel et en genre avec le nom auquel il se rapporte.
L’usage du pluriel s’explique par le fait que ces locutions signifient  » parmi les plus « ,  » parmi les moins  » et  » parmi les mieux « .
Exemples :
– Ce dîner était des plus succulents.
– Il nous a dressé un portrait des moins flatteurs.
– Elle occupe un poste des mieux payés.
Nouvel obs
—

Comme je vous en ai informée lors de notre dernière conversation téléphonique.

Auxiliaire avoir – accord avec le COD placé avant.

les événements qui se sont déroulés
Le participe passé est accompagné de l’auxiliaire « être ». L’accord se fait avec le sujet : ici « qui », reprenant le nom « événements » dont il prend le genre et le nombre.
—-
Le nom « événements » a une fonction dans une autre proposition non retranscrite ici. Par exemple (dans la proposition en gras) :
Les événements qui se sont déroulés m’ont beaucoup affecté.
En ce cas, « événements » est sujet du verbe « affecter ».

 En l’absence de consensus inattaquable, certains d’entre nous, humains, choisiront telle voie de pensée, là où d’autres iront naturellement à l’inverse.

C’est ainsi que je l’écrirais.
Puisqu’il y a certains et d’autres, on ne peut pas savoir où se situe le sujet. Dans le groupe qui choisit « telle voie de pensée » et le groupe qui va à l’inverse.
C’est en sommes la conclusion à laquelle vous êtes arrivés.
Certains d’entre nous et d’autres sont donc des sous-ensembles, des sous-groupes du groupe « nous » et sont donc des sujets autonomes :
Certains choisiront, d’autres iront.
—
Je ne parviens d’ailleurs pas à accepter vraiment : plusieurs d’entre nous sommes partis. Je ne le dirais pas, ou alors pour faire un raccourci. Pour exprimer nettement l’idée je dirais : nous sommes partis à plusieurs ou nous étions plusieurs à partir. Parce que plusieurs d’entre nous implique qu’il y a « les autres d’entre nous » et que là aussi, « nous » ne peut être dans les deux groupes.
Je ne sais pas si je me fais bien comprendre. En tous cas ma logique se rebiffe.

Le choix des prépositions n’est pas chose facile pour une personne dont le français n’est pas la langue maternelle. Je vais essayer de vous aide.
En réalité ce choix ne dépend pas ici du verbe faire comme vos exemples pourraient le laisser penser.

– rester à + infinitif : emploi particulier du verbe « rester »
Suivi de la préposition à et d’un verbe à l’infinitif, Rester s’emploie pour exprimer la nécessité d’envisager ou d’accomplir encore quelque chose. Une petite somme reste à payer. Tout reste à faire en ce domaine. Impers. Il ne vous reste plus qu’à tout recommencer. Il reste encore à prouver que… Le temps qu’il nous reste à vivre ou, class., de vivre. Dans des formules de courtoisie. Il me reste à vous remercier, il ne me reste plus qu’à prendre (L’Académie).

– ne faire que + infinitif : je ne fais que dormir : je dors seulement. Ne faire que est une locution verbale* qui change l’aspect du verbe à l’infinitif qui suit. Pour essayer de vous faire comprendre : il a un peu le rôle qu’a un adverbe : il ne fait que dormir = il dort constamment/toujours/continuellement. On dit que c’est un semi-auxiliaire
Autres locutions verbales qui sont semi-auxiliaires :
il est en train de dormir = il dort maintenant
il cesse de dormir = il ne dort plus

*en tant que telle elle est figée

– Il n’y a d’autres options que de partir : on peut avoir ici absence de préposition : Il n’y a d’autres options que partir
Le « de » n’est que facultatif.

J’ai bien conscience de ne pas vous avoir donné une réponse qui s’appliquerait à tous les cas. Il se trouve que c’est impossible.

Soit vous utilisez l’infinitif mais alors l’adjectif possessif et le pronom personnel sont à la  3e personne parce que neutre l’infinitif n’ayant pas de sujet.
Vérifier ses capacités de remboursements avant de s’engager.

Soit vous utilisez l’adjectif possessif et le pronom personnel 2e personne du pluriel et alors c’est l’impératif 2e personne du pluriel qui convient.
Vérifiez vos capacités de remboursements avant de vous engager.