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  • Grand maître Demandé le 25 novembre 2016 dans Conjugaison

    Bonjour Gilles45.

    Estudiantin a raison, c’est la bonne terminaison du verbe mettre à l’indicatif présent : je mets.

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  • Grand maître Demandé le 24 novembre 2016 dans Conjugaison

    Bonsoir Jos.

    Vous devez rechercher le COD.

    Elle repense aux événements qui ont mené QUI (à ce drame) : l’ qui représente elle.
    Le COD est placé avant le participe, donc accord : « Elle repense aux événements qui l’ont menée à  ce drame« .

    Sauf si bien sûr, elle parle de quelqu’un d’autre non évoqué dans cette phrase!
    Son ami  vient de perdre son travail. Elle repense aux événements qui l’ont mené à ce drame.
    l’
    est mis pour son ami, donc masculin singulier.

     

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  • Grand maître Demandé le 24 novembre 2016 dans Accords

    Bonsoir Hermine.

    Parcourir est un verbe transitif.
    Au passé composé, l’accord se fait avec le COD placé avant l’auxiliaire : Combien de kilomètres avez-vous parcourus.

    Il ne faut pas confondre avec courir ou d’autres verbes qui expriment la mesure, la quantité, la durée (coûter, mesurer, peser, valoir…) qui n’admettent pas de COD mais un complément circonstanciel qui indique la durée, le poids, la distance…, et dont le participe passé reste invariable (quand ils sont utilisés au sens propre).

    Les dix kilomètres qu’il a couru.

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  • Grand maître Demandé le 24 novembre 2016 dans Général

    Bonjour peet_agore.

    On regarde un film, mais le substantif correspondant n’apparaît pas évident.
    Le visionnage signifie examiner un film d’un point de vue technique.
    Le visionnement, rare, trouvé dans le CNRTL, mais ni dans le Petit Robert ni dans Le Larousse, pourrait s’appliquer.

    Le mieux est peut-être de dire : « film vu (ou regardé) le… »

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  • Grand maître Demandé le 24 novembre 2016 dans Accords

    Bonjour Georges.

    La règle veut que l’accord du participe passé avec avoir se fasse avec le COD si celui-ci est placé avant le participe passé.

    Ici marquer est un verbe intransitif (donc qui n’admet pas de COD) qui signifie  laisser une trace.

    Sans COD, il n’y a pas d’accord : les objets qui ont marqué.

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  • Grand maître Demandé le 22 novembre 2016 dans Général

    Bonsoir Athies.

    Les plus-que-rien
    C’est nous les sans-dents, mais c’est vous les sans-cœurs,
    Est-ce nous les sans-papiers ou vous les sans-frontières ?
    C’est nous les sans-ressources, et vous, les sans-limites,
    C’est nous les sans-bruits, donc vous les sans-gênes.
    C’est nous les sans-âges, or c’est vous les sans-rides.
    Non pas nous les sans-Dieu, ni vous les sans-diables,
    mais c’est nous les sans-voix, car c’est vous les sans-réponses.

    Les noms ou adjectifs composés formés avec la préposition sans s’écrivent avec un trait d’union. Il faut donc en mettre un pour tous les mots composés que vous avez utilisés.

    Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, la marque du pluriel des noms composés avec trait d’union est toujours présente sur le second élément uniquement si le mot est au pluriel, lorsque le composé est formé à l’origine soit d’une forme verbale et d’un nom, soit d’une préposition et d’un nom, comme avec sans .
    La règle ne concerne pas les quelques composés dont le second élément commence par une majuscule ou contient un article (exemples : prie-Dieu, trompe-l’œil).
    Si l’on veut appliquer cette règle, ce qui n’est pas obligatoire, on mettra un s à tous les mots composés, sauf à sans-Dieu.
    Si vous ne voulez pas rédiger avec l’orthographe rectifiée, je vous renvoie à ceci : http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=5183

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  • Grand maître Demandé le 22 novembre 2016 dans Général

    Je ne comprends le sens de la phrase, mais vous demandez si « d’où nous étions descendus pour son secours » est une subordonnée relative.
    Effectivement, parce qu’elle complète un nom (patrie) de la principale (retournons à notre patrie) .

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  • Grand maître Demandé le 22 novembre 2016 dans Accords

    Bonsoir leonarose.

    La maîtresse de votre fille a tort.
    Depuis les rectifications de l’orthographe de 1990, il est possible de mettre un  trait d’union pour relier les numéraux d’un nombre complexe inférieur ou supérieur à cent.
    Mais là n’est pas votre question.
    Il s’agit de savoir si vingt peut ou non prendre la marque du pluriel.

    Vingt » prend la marque du pluriel, « s », quand il est multiplié, mais il la perd dès qu’il est suivi d’un autre adjectif numéral

    Mais million (comme millier, milliard) sont des noms et non des adjectifs numéraux. Le s doit être maintenu.

    quatre-vingts-milllions-deux-cents 

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  • Grand maître Demandé le 22 novembre 2016 dans Conjugaison

    La seule proposition subordonnée est :  quoiqu’il ait fait largesse en mourant des biens (qu’il ne pouvait plus retenir). Le mode employé est le subjonctif.

    Les verbes de la principale (est, a) sont à l’indicatif présent.

    Selon la règle de la concordance des temps, le subjonctif (imposé par quoique) est au passé car la subordonnée est antérieure à la principale.

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  • Grand maître Demandé le 22 novembre 2016 dans Conjugaison

    Bonsoir salomaz.

    Il s’agit de la règle de concordance de temps.

    Si vous aviez soulagé leurs maux, si vous aviez eu pitié de leur désespoir, si vous aviez seulement écouté leurs plaintes… = propositions subordonnées de condition introduites par si.
    Elles se mettent à l’indicatif. Ici le plus-que-parfait de l’indicatif car il s’agit d’un fait irréel qui se rapporte au passé et les verbes des principales sont au conditionnel.

    …vos miséricordes prieraient Dieu pour vous; leurs cotés revêtus, dit le saint prophète leurs entrailles rafraîchis, leur faim rassasiée vous auraient béni; et les bénédictions qu’ils vous auraient données lorsque vous les auriez consolés dans leur amertume, feraient maintenant distiller sur vous une rosée rafraîchissante, leurs saints anges veilleront autour de votre lit comme des amis officieux, et ces médecins spirituels consulteraient entre eux nuit et jour pour vous trouver des remèdes’ = propositions principales, au conditionnel.
    On a parfois le conditionnel présent (prieraient, feraient, consulteraient) qui marque un fait irréel du présent (feraient est suivi de maintenant) et parfois le conditionnel passé pour des faits irréels du passé.

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