Bonjour Bernous.

Identifiez le COD : la similitude d’appellation a interpellé QUI ? Vous, désignant deux personnes dont le genre n’est pas connu, placé avant le verbe, donc accord avec vous.

Si les deux personnes sont de sexe féminin vous ferez l’accord au féminin pluriel « Cette similitude d’appellations ne vous a jamais interpellées ? », dans le cas contraire, au masculin pluriel « Cette similitude d’appellations ne vous a jamais interpellés ? »

En revanche, j’aurais volontiers écrit appellation au singulier, s’agissant du même nom donné à une personne ou à une entreprise.

Bonjour Cyril17.

Excepté certaines expressions figées (les us et coutumes, les allées et venues), la répétition du déterminant devant chaque nom d’une énumération est actuellement la règle : on est un frère et une soeur cachés.

Toutefois, on peut considérer que le frère et la soeur forment un tout, une famille, et, à ce titre, on pourrait accepter de n’utiliser qu’un seul déterminant : on est des frère et soeur cachés.

Bonjour Manech.

« Combien » marque l’intensité et peut accompagner, en construction indirecte,  un adjectif : Vous comprenez maintenant combien la phase préliminaire est importante …
ou un adverbe : je ne sais pas combien souvent tu me le répéteras?
ou un verbe/locution verbale : Vous comprenez maintenant combien la phase préliminaire est considérée comme importante …

Considérer se construit avec comme + un nom ou un adjectif. Comme est donc indispensable.

Vous pouvez alléger la phrase en changeant de verbe : « Vous comprenez maintenant combien la phase préliminaire est jugée/estimée importante dans ce type d’exercice. »

Certes, quand deux adjectifs de couleur sont utilisé pour désigner une seule couleur, le trait d’union s’impose et les adjectifs sont invariables.

Mais rouge-bleu n’est pas une couleur.

Vous vouliez probablement parler d’une veste qui comporte les deux couleurs. Dans ce cas vous écrirez « une veste rouge et bleu« .

Bonjour Manech.

La préposition de est nécessaire à deux reprises.

Une description de la manière.
Et le cancer a été vaincu de cette manière.

Dont n’est donc pas redondant.

Bonjour Manech.

La conjonction « aussitôt que » réclame l’indicatif.

L’ action de la subordonnée étant postérieure à celle de la  principale (quand il lui donne la permission, il n’a pas encore reçu le cadeau), et le verbe de la principale étant au passé, le verbe de la subordonnée sera au futur du passé ou au futur antérieur.

« Elle lui donna la permission d’ouvrir son cadeau aussitôt qu’il le recevrait » (futur du passé).
« Elle lui donna la permission d’ouvrir son cadeau aussitôt qu’il l’aura reçu » (futur antérieur).

Bonjour Manech.

Je viens de répondre à votre question initiale.

Dans les propositions faîtes ici, l’emploi du plus-que-parfait du subjonctif (eût été guérie) ou du passé du subjonctif (ait été guérie) dans la subordonnée ne me semble pas approprié. Ces temps du subjonctif seraient utilisés si l’action de la subordonnée avait été antérieure à celle de la principale, ce qui laisserait penser qu’il ne put faire de voyages qu’après que sa jambe eut été guérie.

Vous pouvez aussi simplifier par : je ne pus faire de voyages avant le rétablissement de ma jambe
ou : je ne pus faire de voyages qu’après le rétablissement de ma jambe.

Bonjour Manech.

La locution « jusqu’à ce que » est le plus souvent suivie du subjonctif.

Le verbe de la principale étant au passé (je ne pus), et considérant que l’action de la subordonnée est simultanée, le verbe de cette dernière devrait être, selon la règle de la concordance des temps, à l’imparfait du subjonctif : jusqu’à ce que ma jambe fût remise.

Il est vrai que l’imparfait du subjonctif, encore utilisé pour avoir et être, tend à être remplacé par le présent. Aussi son emploi ne me semblerait pas fautif.

Ce que vous décrivez étant réel, l’emploi de l’indicatif peut se concevoir : jusqu’à ce que ma jambe fut guérie.

Bonjour Syl69.

Vous trouverez ici les réponses à vos questions.

Bonjour Zully.

En écrivant « cette géométrie originelle est en nous », on cherche à dire que cette géométrie, qui existe depuis l’origine des temps, est innée et nous l’avons donc tous à la naissance. Aussi, si on l’oublie, elle ne disparaît pas.
Il est donc logique, si mon interprétation est correcte, d’utiliser le présent de l’indicatif. Il s’agit d’une réalité, d’un fait qui ne change pas malgré l’oubli.

En utilisant le passé, « cette géométrie originelle était en nous« , cela implique qu’elle a existé mais qu’elle a disparu. Or l’oubli ne fait pas disparaître quelque chose de la réalité, mais seulement de la mémoire.