Le profil de petiteabeille
Érudit
113
points

Questions
13

Réponses
23

  • Érudit Demandé le 7 avril 2024 dans Général

    Merci encore une fois, Tara, pour ces éclaircissements! Je m’étais posé la question car Antidote avait placé des virgules avant des « mais » placés juste après le cadratin et cela m’a permis de constater que c’est une conjonction dont j’abuse un peu trop. Je m’en vais, de ce pas, modifier mon texte…

    • 90 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 2 avril 2024 dans Question de langue

    Merci à tous pour vos réponses éclairées. Étant donné le contexte, dialogues affectés  manquant de naturel dans le milieu bourgeois du 19°, je vais opter pour la version avec le pronom personnel. La plateforme est extra et vous êtes vraiment des stars!!!

    • 121 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 30 mars 2024 dans Question de langue

    Bonjour, ce n’est pas élégant et je n’ai jamais vu cette tournure.

    La majeure partie du temps comme dit Joëlle est ce qui est le plus souvent utilisé. Je préfère la plupart du temps, c’est plus fluide à mon sens.

    • 123 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 30 mars 2024 dans Question de langue

    Au contraire, cette phrase est pleine de nostalgie. Rien que de la lire fait voyager dans des réminiscences, un frère parti trop tôt, une amie d’enfance perdue de vue, je pense à l’amie prodigieuse, à Joffo, Pagnol et des tas d’autres récits dans lesquels les auteurs égrènent leurs souvenirs où il y a toujours une part de mélancolie. Ce qui peut déranger, c’est le verbe à l’imparfait mais c’est plausible comme tournure et correct, à moi aussi, il me semble.

    Ce peut être quelqu’un qui raconte des souvenirs dans des souvenirs.

    Un peu comme Forest Gump qui raconte à la vieille dame les souvenirs liés à son enfance avec Jenny qu’il perd de vue et à la fin de son récit, il dit qu’elle est revenue dans sa vie et que quand elle est tombée malade, il la soignait et il les revoyait tous deux du temps de l’insouciance, assis côte à côte en attendant le car de l’école. Style:
    « Quand elle était si faible et que je l’aidais à se mettre devant la fenêtre pour regarder le parc empli des fleurs qu’elle aimait tant, je nous revoyais tous deux, assis l’un à côté de l’autre, elle me racontant des histoires de fleurs et moi ne voyant qu’elle… »
    Mais il est tard et je m’égare. Bonne nuit !

    • 103 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 28 mars 2024 dans Question de langue

    Merci Tara, je n’avais pas pensé à cette éventualité !

    • 99 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 28 mars 2024 dans Question de langue

    Bien bien bien, merci Chambaron. Ça confirme donc tout ce que j’ai pu lire à ce sujet depuis l’édition de ce post…

    • 90 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 26 mars 2024 dans Conjugaison

    Merci Tara. Est-ce parce que j’ai déjà du bouchon, je préfère la forme initiale!

    • 101 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 26 mars 2024 dans Question de langue

    Bonjour Ouatinm et merci pour le lien. Bonne journée

    • 104 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 23 mars 2024 dans Conjugaison

    Je pense avoir trouvé où est la dissonance mais si c’était possible d’avoir confirmation.

    La forme correcte est-elle : Se serait-elle déjà placée sans qu’il n’en ait rien su ?

    • 107 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Érudit Demandé le 20 mars 2024 dans Accords

    Bonjour, le participe passé “eu” doit s’accorder en genre et en nombre avec le COD “conséquences”, qui est placé avant l’auxiliaire “aurait”. L’accord correct est donc “qu’aurait eues” puisque “conséquences” est féminin pluriel

     

    • 119 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes