Le profil de karine Aubry
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  • Maître Demandé le 21 avril 2024 dans Accords

    Merci Chambaron.

    Toutefois, qu’en est-il de mes accords ? « le tas de vêtements que je lui ai vu porter » mais « le tas de vêtements que je l’ai vue porter ». Sont-ils justes ?

    Quant à votre remarque, il semble que plusieurs verbes aient eu une construction avec COI autrefois qu’ils ont perdue dans le langage contemporain usuel. Aucun exemple ne me vient « à froid », mais je ne manquerai pas de vous en faire part lorsque j’en recroiserai.
    Amicalement, Karine

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  • Maître Demandé le 21 avril 2024 dans Accords

    Bonjour,

    Merci de vos retours.

    Merci de me confirmer que je les comprends bien, dans la mesure où vos deux réponses ne s’accordent pas tout à fait.

    Sauf erreur de ma part, Tara, tout comme moi, vous acceptez qu’un conditionnel suive un présent (et non un imparfait) à cause de ce « bien » qui induit une incertitude (il remplace votre « au cas où…). Alors que si je suis l’avis de Ouatitm, il n’y aurait pas de conditionnel, celui-ci devant suivre obligatoirement un imparfait. Mais, Ouatitm, vous ne reprenez pas la phrase comme elle est formulée, vous faites l’impasse sur le « bien ».

    On écrira donc bien: Si Abilène veut être receveur, j’essaierais bien de voir de quoi tu es capable. »

    Bonne soirée.

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  • Maître Demandé le 18 avril 2024 dans Question de langue

    Cher Chambaron,

    Vous écrivez : « Pourquoi donc aller mettre un trait d’union entre des adverbes ? Cela ne se fait jamais « .
    Quid de par-delà ?

    Me voici longtemps  après votre réponse car je viens également de rencontrer un « par-là même » dans mes lectures qui a attiré mon attention. Je serais également d’avis de ne mettre aucun trait d’union.

    A vous lire,
    Amicalement,
    Karine

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  • Maître Demandé le 3 mars 2024 dans Accords

    Bonjour,
    Merci de vos retours.
    Finalement, vous êtes d’accord, c’est mal écrit… Il faudrait changer la formule ! Mais je voulais bien envisager que le « l » remplace une proposition inexistante, seulement suggérée…
    Amicalement,
    Karine

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  • Maître Demandé le 16 février 2024 dans Accords

    Merci de vos contributions. Vous avez clarifié ce qui ne l’était pas.

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  • Maître Demandé le 16 février 2024 dans Accords

    Merci pour vos commentaires, et merci aussi pour la version originale de Laura Kasischke !

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  • Maître Demandé le 11 février 2024 dans Accords

    Merci pour toute ces réponses.
    Je supporte l’idée qu’il est possible de mettre de l’indicatif après cet éclairage des plus convaincant.
    Amicalement,
    Karine

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  • Maître Demandé le 11 février 2024 dans Accords

    Bonjour,

    Toutes vos explications me conviennent. Mais vous êtes également d’accord avec moi pour convenir que « coq-à-l’âne » et « tête-à-tête » ne sont pas des groupes verbaux ?
    Amicalement,
    Karine

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  • Maître Demandé le 21 novembre 2023 dans Général

    La valeur n’attendant point le nombre des années… je rebondis sur ce fil, car j’ai trouvé chez Sartre, dans L’Âge de raison, cette phrase : « Je ne peux pas supporter l’idée qu’il me croit morte ».
    Visiblement,  Sartre n’est pas gêné par « l’idée que », mais surtout, c’est l’indicatif du verbe croire qui m’a surprise. j’aurais spontanément utilisé le subjonctif. J’aimerais bien avoir une règle qui m’indique que les deux modes sont possibles indifféremment, ou que tel mode est utilisé pour tel cas, et tel autre pour tel autre cas. Merci d’avance, Karine

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  • Maître Demandé le 5 avril 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Me revoici avec sensiblement la même question… et je reviens sur la réponse de ChristianF concernant « la majorité » suivi d’un pluriel ou d’un singulier.

    Je reprends ci-dessous une proposition trouvée sur internet, qui ne reprend pas tout à fait les mêmes principes. On y tranche notamment beaucoup plus catégoriquement pour la formulation « la majorité de », ne faisant de distinctions que dans le cas de « une majorité de ».  Auriez-vous la gentillesse de m’éclairer ?
    Une majorité des Français mange ou Une majorité des Français mangent…

    Lorsqu’il est question d’employer l’expression « une majorité de », celle-ci se retrouve généralement suivie du singulier. Il est courant d’entendre par exemple « Une majorité d’élèves n’est pas venue ce matin en classe ».

    Or, si l’on veut être correct, il faut accorder le verbe avec le collectif partitif. Ici « les élèves ». La phrase correcte est donc « Une majorité des Français aiment aller à la piscine ».

    En revanche, lorsque le collectif est général (ou que le pronom est déterminé : le, la, les) le verbe doit s’écrire au singulier. Ainsi, il sera correct de dire « la majorité des français aime aller à la piscine », plutôt que « la majorité des Français aiment… ». Ce, bien que le pluriel reste envisageable, mais peu élégant.

    Merci beaucoup de votre retour,
    Karine

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