Il semble que vous ayez raison,
Voici ce que dit le CNTRL :
Au féminin,  on dit consœur quand il s’agit d’une ou plusieurs femmes considérées par rapport à une ou plusieurs femmes de la même association. Mais on dit mon ou ma confrère quand il s’agit d’un membre (femme) appartenant à une confrérie comprenant des hommes et des femmes (cf. Grev. 1964, § 264).

Deux singuliers forment toujours un pluriel que ce soit pour l’accord du verbe ou du participe.
Le mal et le bien sont des valeurs …
Dans cette phrase, le pluriel ne vous choque pas ?
Le mal et le bien qui ont été dits.
Le mal et le bien que l’on a dits (que l’on a faits).

Je pense -après recherches et réflexion- qu’il s’agit d’une ONCE et que la coquille porte sur le « l » supplémentaire.
Mais il faut vérifier le texte en allemand en effet.
Peut-être que Liselotte peut nous donner des précisions sur le contexte.

Je suis heureuse d’avoir pu et je suis heureuse qu’il ait pu : voilà les deux formes correctes.

Il ne s’agit pas de surnoms mais de périphrases incluant des noms communs, donc je ne mettrais pas de majuscules. Rien ne le justifie.

Continuer à s’emploie pour une action commencée qui se poursuit : je continue à travailler (je n’ai pas arrêté).
Continuer de peut être réservé à des actions habituelles qui s’interrompent : cet homme continue de boire.
Ce sont des nuances…
Le projet Voltaire note que continuer de est plus soutenu.

En ce cas, il n’est pas obligatoire de répéter « pour ».  C’est à vous de voir si c’est assez clair.
Dans votre exemple, il est évident que les enfants sont une catégorie de piétons.
Voici une autre possibilité de rédaction :
… » pour les piétons, enfants notamment, qui traversent la rue. »

La répétition de « de » et de « à » est en principe obligatoire lorsqu’il y a une coordination (avec « et » donc). C’est une règle de syntaxe.

Voici le texte fautif ; en effet, « au vert  » signifie au sens figuré ou par métonymie : « à la campagne », donc le « x » est en trop, il s’agit d’une coquille qui devient une faute d’accord.
La majuscule à « week-end » ne s’impose pas (ce n’est pas parce que c’est un anglicisme que cela devient un nom propre ou une marque…), enfin j’aurais ponctué d’une majuscule entre « deux » et « non.

Escapades citadines, Week-ends aux vert, petites et grandes découvertes… Tout peut se faire seul. Mais « tout » serait quand même mieux à deux non ?

Le participe passé du verbe faire est fait et le passé composé est donc tu as fait.