Des justificatifs de paiement : je laisse au singulier sachant que le paiement est le fait de payer.
Bien sûr, ce n’est pas faux au pluriel puisque vous avez effectué des paiements.

Dans vos deux premières phrases, il s’agit du problème des verbes pronominaux (qui se construisent avec être).
Le général s’est attaché qui ? cette femme. ==> On accorde le PP du verbe pronominal de sens réfléchi avec le COD placé avant.

1. Quant à cette femme à demi-déesse, on a prétendu que le général se la serait attachée au cours d’une de ses campagnes. Le COD est « la » mis pour femme…
2. Cette médaille, le général se l’est attribuée après sa dernière victoire. Même raisonnement avec le COD « l' » mis pour médaille.

Dans la phrase qui suit, on a un verbe pronominal « s’expliquer » qui est selon moi un essentiellement pronominal dans ce sens ou un pronominal autonome, et donc j’accorderais avec le sujet
3. Bien qu’elle ne s’en soit jamais expliquée, son mari ne put s’empêcher de penser qu’elle lui mentait.

Il se pourrait que le sens soit réfléchi et que le pronom « se » soit COD, donc on accorde quand même « expliquée » car le pronom « se » COD placé avant représente une femme.

Oui c’est exact, les verbes « aller, savoir, avoir » ne prennent pas de S à l’impératif de la deuxième personne du singulier, à l’instar des verbes qui se conjugue en « e ».
– Mange ta soupe !  mais manges- en
– Ouvre la fenêtre !
– Va dans le jardin ! mais vas-y
– Sache que je serai là !
– Aie confiance !

Finir par = faire enfin quelque chose.  Rien à voir avec finir et terminer, ce sont des expressions idiomatiques.

Il a fini par arriver : la signification est « je l’attendais depuis des heures et il est enfin arrivé« .
Il a fini par me dire son secret : je l’ai tellement questionné qu’il m’a dit son secret

Je suis allé chez elle pour m’excuser, mais nous avons terminé notre discussion par une  dispute.
Je suis allé chez elle pour m’excuser, mais nous avons fini par avoir une autre dispute. ==>je n’emploierais pas cette expression ainsi.

Ils en sont arrivés à la conclusion suivante (ils sont parvenus à cette conclusion après un cheminement.
se retrouver à faire quelque chose : je n’emploierais pas cette locution relâchée ou alors à l’oral pour exprimer le résultat involontaire d’une action

J’ai pris le métro au hasard et je me suis retrouvée à Levallois-Perret. (idée de lieu)

Si je la laisse : la est COD ==>je laisse « elle »
Si je lui laisse : lui est COI ==>je laisse « à elle », il faut ajouter ce que je lui laisse (je lui laisse mon sac)

A votre amie, je dirais : « je la laisse prendre son temps ».
Si vous passez au pluriel : « je les laisse prendre le temps » et non « je leur laisse prendre le temps ».

Je trouve les ponctuations correctes. Comme vous le dites, les « deux points » précèdent une énumération, une citation (propos rapportés) ou une explication.
Pas de « deux points » en milieu de phrase pour introduire un mot en faisant une pause, l’avillon, par exemple.
Mettre le docteur Armand entre deux virgules, sous forme d’apposition, me semble correct aussi.

Normalement, on ne peut pas commencer une phrase par la conjonction de coordination « mais ».
Il faut donner votre phrase entière pour que je puisse vous répondre.

Pour compléter la réponse de Tara, nous sommes le 10 (lundi) :
Vendredi prochain :  le 14
Vendredi en huit : le 21)
Vendredi en quinze : le 28)

Je voulais vous faire connaître ou vous rappeler cette expression idiomatique de la langue française : « en… »
En huit, veut dire dans une semaine avec une coquetterie car la semaine ne compte que 7 jours. On compte sans doute la semaine, plus le jour même (7 + 1)
Même chose avec l’expression en quinze. Deux semaines plus le jour même (2 x 7 + 1).

Enfin, dernier point, pour éviter les équivoques, si vous faites un planning ou une invitation formelle, donnez la date, c’est plus sûr.

Vous présentez vos excuses mais vous recommencez sous d’autres pseudonymes. Ce que vous faites de vos jours ne nous concerne pas.
Si vous n’aviez pas envahi le site de dizaines de demandes sous des identités différentes, ce serait passé inaperçu. Là vous avez encore mal compris.

Je dirais que la première, avec la reprise pronominale « y », est meilleure car plus précise.