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Bonjour,
Sujet : cet intérêt
Verbe : a conduit
COD (qui ?) : m’ =moi
COI (à quoi ?) : à voyagerRappel : employé avec l’auxiliaire avoir, le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe.
C’est le cas ici et m’ (moi) étant une femme, on écrira :
cet intérêt m’ a conduite à voyager.À noter : qui plus est, le pronom « m' » est bien le sujet de l’infinitif « voyager », le doute n’est pas permis, le féminin s’impose.
Cette réponse a été acceptée par souchon. le 1 septembre 2016 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Ces deux expressions n’ont pas le même sens et s’utilisent donc pour exprimer des idées différentes.
• À l’envi est un adverbe signifiant « à qui mieux mieux ». Ils multiplient les provocations à l’envi.
• À l’envie est un simple complément de verbe utilisant le nom « envie », signifiant « désir », « souhait ». Je résiste à l’envie de dévorer ce bon gâteau.
Outre le blog du Projet Voltaire dont le lien vous a été donné plus haut, vous pouvez aussi consulter cet article.- 10020 vues
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Bonjour,
Vous avez raison de relever cette ignoble expression qui se répand comme une traînée de poudre depuis quelques années.
Elle n’est absolument pas reconnue, pour preuve ce billet. On se demande ce qui fait son succès, car le français ne manque pas d’expressions comme finalement, pour finir, en dernier lieu, en dernière analyse, en fin de compte, au bout du compte…
Pour moi, c’est le type même du tic de langage à la mode, prétentieux et inutile.
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Bonjour,
L’accord que vous avez trouvé illustre bien le propos de Bruno Dewaele, dans le lien que vous indiquez :
« Certains grammairiens se montrent aujourd’hui compréhensifs et reconnaissent du bout des lèvres que l’on a le choix entre accord et invariabilité pour “étant donné” et “mis à part”. Cette dernière n’en reste pas moins préférable, pour peu que soient réunies les conditions définies ci-dessus. »Comme je préfère me référer à des règles plutôt que suivre mon instinct qui est souvent fantaisiste, j’adopte la position raisonnée du Projet Voltaire, tout en sachant que cette loi n’est pas gravée dans le marbre.
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Bonjour Estudiantin,
« Tu m’as dit à huit heures que tu viendrais me chercher à onze heures. » Oui, c’est juste, c’est le conditionnel présent, appelé dans cet emploi : « futur du passé ».
« Demain quand tu arriveras à onze heures …je serai arrivé depuis trois heures. » Oui, le futur antérieur marque un passé par rapport à une action future.
Mais je ne suis pas certaine de bien comprendre la dernière partie de ta question : « Formé avec un futur mais comme un temps composé = temps du passé. »
Le futur antérieur est « composé » de l’auxiliaire au futur simple et d’un participe passé. Il marque l’antériorité d’une action par rapport à une autre qui se déroulera dans le futur : « Je serai rentré quand tu arriveras. »- 40535 vues
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Bonjour,
Vous avez raison, vous pouvez signifier qu’il y a une analyse sanguine et une autre urinaire, par le jeu du nom au pluriel et des adjectifs au singulier.
Quelques exemples sur ce site.« Mes analyses sanguine et urinaire » est correct.
Cette réponse a été acceptée par Cappella. le 19 août 2016 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Vos deux dernières hypothèses ne sont pas possibles car « leur » et « retour » doivent avoir le même nombre.
Vous pouvez écrire :
« Puis-je avoir des informations sur la date de leur retour de congés ? »- 51188 vues
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Bonjour,
• Vous avez raison, avec les locutions employant le mot « cas », et ayant un sens hypothétique, le conditionnel est fortement recommandé.
Au cas où le verbe serait transitif… (= Si le verbe est transitif).
• Cependant, quand l’indicatif est employé, la locution prend une couleur plus temporelle:
Dans le cas où le verbe est transitif …(= Quand le verbe est transitif, à chaque fois que le verbe est transitif).Dans l’expression « pour le cas où », la valeur hypothétique me semble encore moins présente et l’indicatif ne me choque pas.
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Bonjour Fabiennek,
Le pronom « on » est assez particulier.
On accorde toujours le verbe qu’il commande à la troisième personne du singulier.
En revanche, il faut accorder l’adjectif ou le participe passé employé avec « on » quand ce dernier représente des personnes identifiées (dans ce cas, on peut le remplacer par « nous »). « Les copines et moi , on est sorties au ciné samedi dernier. » (Langage parlé.)
Mais on ne fait pas cet accord quand il ne désigne personne en particulier, si la tournure est impersonnelle : « On n’est jamais mieux servi que par soi-même. »Ici, on = nous, donc l’accord au pluriel est correct, comme le dit Estudiantin (que je salue au passage). Cela dit, ce titre ne me semble pas très bien tourné !
Lisez cet article fort intéressant du blog du Projet Voltaire à propos de « on ».
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Bonjour,
• Par est une préposition : La direction nous informe une fois par mois.
• Part peut-être un nom féminin de la famille de « partie ». J’en prendrai une part. Et se retrouve dans de nombreuses expressions, dont « faire part » (= informer).
Ce peut aussi être un verbe : il part très vite.
Voici un petit exercice à ce sujet.• Quant au verbe faire : il est ici conjugué au présent de l’indicatif, à la deuxième personne du pluriel (sujet : vous), qui s’écrit toujours : « vous faites ».
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