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Bonsoir,
Dans la première phrase, j’utiliserais plus volontiers le subjonctif imparfait : « si étrange que cela pût paraître, Simon avait… »- 1195 vues
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Dans Madame Bovary, Flaubert écrit « La bonne femme l’accompagna jusqu’au bout de la cour, tout en parlant du mal qu’elle avait à se relever la nuit. » On peut faire confiance au maître, son utilisation ne relève pas d’un registre de langue familier.
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Si « juif » désigne une personne de religion judaïque, on ne met pas de majuscule. Dans tous les autres cas, Juifs d’Israël, Juifs ashkénazes, etc., la majuscule prévaut. C’est donc ici sans majuscule, la première proposition convenant.
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Bonjour Virginie,
Oui, certainement, la belligérance caractérisant une situation. J’aurais cependant opté pour une autre formulation comme « La nourriture apaisa les belligérants ».- 1456 vues
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Bonjour,
Les deux orthographes sont possibles puisque « encadrées » et « agencées » peuvent tout aussi bien être épithètes de « photos », mais également de « dessins et photos ». Dans ce dernier cas, il faut orthographier au masculin pluriel, sauf si l’on applique la règle de proximité, envisageable ici.- 2340 vues
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Bonjour,
« Piétonisation » n’est pas admis. Il faut effectivement deux « n ».- 8753 vues
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Bonjour,
Je ne pense pas, car le « mal » semble ici représenter une réalité, un danger possiblement identifié. Mais si le Mal est employé « allégoriquement », alors oui, la majuscule s’impose.- 2174 vues
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S’agissant d’une construction concessive, l’utilisation du subjonctif s’impose effectivement. Mais afin de faire concorder les temps, le subjonctif imparfait doit être utilisé, la principale étant au passé composé ; « fût-il » est donc la formulation adéquate.
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« Le pays qu’ils se sont créé » car « créé » s’accorde avec l’antécédent « que » (pour pays), complément d’objet placé avant.
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On peut aussi imaginer la formulation suivante avec la proposition subordonnée conjonctive de condition placée après : « Je ne serais probablement plus en vie si je n’avais pas… »
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