Sur 1 : les certains dont vous parlez ont a priori raison tous les deux.
Mais le CNRTL est néanmoins  affirmatif  « Cet empl. de proche [comme adverbe] est actuellement remplacé par celui de l’adj. avec lequel il se confond .
Donc proches avec « s ».

Sur 2 : tout est un adverbe dans les deux phrases, donc normalement invariable.
Mais pour des raisons d’euphonie, on ajoute un « e » (ou un « es ») devant des noms féminins commençant par une consonne ou un « h » aspiré.

Note :  je ne comprends pas ce que signifie « C’est toute une autre histoire ».

De manière surprenante, le wiktionnaire m’apprend que :
« tous les deux » est une locution pronominale (comme tous deux) ;
« les deux » est aussi une locution pronominale, constituée de l’article « les » et de l’adjectif numéral « deux.
En revanche, tous est un adjectif, comme dans tous les hommes.

Je remercie bergm4n de sa question, qui m’ouvre des réponses nouvelles.

La préposition « sur » signifie au-dessus de .
Donc , « dans des projets ».

Notez que l’usage de « sur » à mauvais escient devient très fréquent.
On dit ainsi de manière fausse : « Je vais sur Paris » au lieu de « Je vais à Paris »

Se fier au Wiktionnaire :

Avoir un résultat, réussir.
Cette affaire a abouti.

https://fr.wiktionary.org/wiki/aboutir

Sur le plan grammatical, c’est équivalent, mais je trouve une légère différence de style et de sens entre les propositions relatives et participiales.

La relative caractérise les 15 jours (ceux qui suivent la victoire).  C’est un état.
On pourrait utiliser un adjectif et écrire « consécutifs à la victoire ».
Ou, « à partir de sa victoire »

Alors qu’un participe présent rend compte d’une action se faisant.
Aussi ai-je ici une préférence  pour « qui suivent ».

Cela étant, avec un verbe comme précéder, l’expression « dans les 15 jours précédant sa victoire » ne me causerait à l’inverse aucun souci.

Par ailleurs, les équivalences de sens n’ont pas le même style. Mais c’est une autre histoire.
Ayant chanté tout l’été, la cigale se trouva fort dépourvue…
La cigale, parce qu’elle avait chanté tout l’été,  se trouva fort dépourvue…
La cigale, qui avait chanté tout l’été,  se trouva fort dépourvue…

Comme disait maître Joda :
« Avec les occasionnels, ne t’ennuie pas,
le COD tu chercheras. »

Et j’ajoute, pour ne plus me poser de questions, que le participe passé plu ne s’accorde jamais.
Ex. : Elle m’a plu, elles se sont plu ; et le top : elles ne se sont plus plu.

Pour revenir à votre question de départ, j’appuie jbambaggi sur les possibilités de totalement, de complètement, mais aussi d’absolument, d’entièrement…

Par ailleurs, j’ai du mal à comprendre le tableau.
Oppose-t-il les mots de la ligne 1 à ceux de la ligne 2, c’est-à-dire des adverbes minorants (ou négatifs) à des adverbes majorants ou positifs ? Mais alors l’expression sans adverbe (je m’identifie) devrait être hors concours. Ou alors mettre en regard son négatif : je ne m’identifie pas.

Oppose-t-il des adverbes deux à deux : pas du tout/absolument, parfois/ souvent… ? On voit bien alors que le decrescendo que déplore Clic est justifié pour la ligne 2. Mais on est gêné  de nouveau par je m’identifie, qui n’a pas d’opposé.

Nous en sommes tous là…