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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 13 mai 2019 dans Question de langue

    Bonjour Virginie, les deux formulations sont également correctes. S’il n’y a pas d’adjectif, on ne met pas l’article indéfini (c’est avec plaisir et non avec un plaisir), avec la plupart des adjectifs on doit au contraire le mettre (c’est avec un immense plaisir, c’est avec un plaisir tout particulier, c’est avec un plaisir non dissimulé, etc.) mais dans le cas particulier de grand plaisir les deux s’emploient indifféremment (c’est avec grand plaisir, c’est avec un grand plaisir).

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  • Grand maître Demandé le 9 mai 2019 dans Accords

    Bonjour Zébulon, je comprends votre hésitation car telle que la phrase est formulée, on pourrait effectivement avoir un doute (et votre explication de ce doute est très pertinente). Mais si vous changez juste la tournure, en remplaçant d’aider les uns et les autres à se sentir accepté(s) (infinitif) par […] de faire en sorte que les uns et les autres se sentent acceptés (indicatif),  il devient alors tout à fait clair qu’il faut accorder le verbe et le participe passé avec les uns et les autres, donc au pluriel. En revenant à la phrase initiale, il faut donc bien écrire ont pour but d’aider les uns et les autres à se sentir acceptés.

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  • Grand maître Demandé le 9 mai 2019 dans Accords

    Bonjour Line, si vous accordiez pensées au féminin pluriel, cela voudrait dire que les filles serait COD (par l’intermédiaire du pronom relatif que). Mais ce n’est pas possible car on ne pense pas quelqu’un. Le COD de penser est en fait le verbe être (infinitif) sous-entendu (les filles que j’ai pensé [être] intéressées), il ne faut donc pas accorder pensé : les filles que j’ai pensé intéressées. Notez cependant que s’il s’était agi d’un verbe transitif, par exemple juger (on peut bien juger quelqu’un), l’accord aurait été différent . On aurait alors écrit les filles que j’ai jugées intéressées, la réponse que j’ai jugée utile, etc.

    Pour votre deuxième question, bien que ne connaissant pas le contexte, on peut supposer que ce qui est reconnu est plus probablement la longévité de la personne ou de la chose en question (les 109 ans) que son existence elle-même. Il paraît donc logique d’écrire : sur 109 ans d’existence reconnus.

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  • Grand maître Demandé le 9 mai 2019 dans Conjugaison

    Bonjour Nawe, cette question délicate revient régulièrement sur ce site (voir par exemple cette discussion). En principe, il faudrait écrire ce ne sont pas les pubs car on accorde normalement c’est avec le nom qui le suit (sujet réel). Cependant, il est admis de laisser c’est au singulier, comme dans l’exemple le plus célèbre « l’enfer, c’est les autres » (Jean-Paul Sartre). Sur ce modèle, vous pouvez donc écrire simplement le vrai problème, ce n’est pas les pubs.

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  • Grand maître Demandé le 8 mai 2019 dans Accords

    Bonjour Line, sur le plan strictement grammatical, il faudrait écrire auxquelles (car ce pronom se rapporte à deux antécédents — l’heure et la personne). Cependant, telle qu’elle est écrite, votre phrase est un zeugma car le pronom auxquelles est la « fusion » des deux pronoms à laquelle qui n’ont pas la même fonction :  dans l’heure à laquelle je dois me présenter , il est complément de temps (je dois me présenter quand ? à une certaine heure), dans la personne à laquelle je dois me présenter il est complément d’objet indirect (je dois me présenter à qui ? à une certaine personne). Cette figure de style peut être utilisée pour donner un effet humoristique, sinon il est préférable de modifier la formulation, par exemple afin de savoir à quelle heure et à qui je dois me présenter.

    Cette réponse a été acceptée par Linee. le 8 mai 2019 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 7 mai 2019 dans Accords

    Bonjour Hichamb, il est difficile de répondre à votre question sans un minimum de contexte. J’avais d’abord lu notions de correspondance (comme dans : je recherche pour m’assister une personne ayant des notions de correspondance) puis j’ai vu que notion  était au singulier, et du coup j’ai du mal à identifier ce que pourrait être une notion de correspondance(s). Quoi qu’il en soit, si correspondance désigne l’échange de lettres entre deux personnes ou plus généralement les relations par écrit (personnelles, commerciales ou administratives), il faut bien laisser correspondance au singulier car on parle de la correspondance en général.

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  • Grand maître Demandé le 3 mai 2019 dans Accords

    Bonjour Curseblade, on parle plutôt de l’immersion professionnelle en général que des immersions professionnelles (prises individuellement) donc j’écrirais les situations d’immersion professionnelle (au singulier). De même, on parle de l’apprentissage comme d’une phase de la formation et non des apprentissages, donc je laisserais également le singulier : les différents types d’apprentissage.

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  • Grand maître Demandé le 3 mai 2019 dans Question de langue

    Bonjour Soleil, pour répondre à la deuxième partie de votre question, si le pronom est complément d’objet direct (répond à la question qui ? ou quoi ?), on utilise les. S’il est complément d’objet indirect (répond à la question à qui ? ou à quoi ?) on utilise leur.

    Ici, il envoie un message à qui ? à eux donc il leur envoie un message.

    Par contre, il les observe car il observe qui ? eux.

    On peut éventuellement avoir les deux, comme dans l’exemple de Cathy : il envoie quoi ? les messages (donc il les envoie), à qui ? à ces personnes (donc il leur envoie), finalement il les leur envoie.

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  • Grand maître Demandé le 3 mai 2019 dans Question de langue

    Bonjour Phil94, j’avais rédigé une première réponse mais je la reprends car je n’avais pas bien lu la phrase (notamment la négation) : les membres de son personnel non participants aux formations. Sans le non, il ne faut effectivement pas mettre de ‘s’ à participant qui ne peut être que participe présent et non adjectif en raison de son complément aux formations. Mais la tournure avec le non me semble discutable, voire fautive : on ne peut pas construire une négation en faisant précéder le participe présent par non (cela n’est possible qu’avec un adjectif). Je dirais donc que cette phrase telle qu’elle est écrite n’est pas correcte, je pense qu’il vaudrait mieux écrire les membres du personnel ne participant pas aux formations.

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  • Grand maître Demandé le 3 mai 2019 dans Général

    Bonjour Hichamb, Jean-Sébastien est un prénom français qui s’écrit normalement avec un trait d’union. Un des plus célèbres est bien sûr Jean-Sébastien Bach qui est la traduction de l’allemand Johann Sebastian Bach qui, lui, s’écrit sans trait d’union, ce qui explique sans doute que l’on trouve la version française aussi bien avec que sans trait d’union (Jean-Sébastien ou Jean Sébastien).

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