Comme c’est le résultat qui est attendu (l’ordonnance rédigée) il faut un temps composé. Le subjonctif passé puisque la principale est au présent.
Lorsque la sortie du patient est saisie dans le logiciel avant que le médecin ait rédigé l’ordonnance

Vous écrivez :  « L’expression « pour le moins » est-elle exclusivement masculine ? »
Je me permets cette remarque :
Il vaudrait mieux écrire  :  l’expression « pour le moins » est-elle exclusivement de forme masculine ou plus simplement :  au masculin.
C’est ainsi que le mot est employé pour le genre grammatical .Sinon, il est plus ou moins synonyme de viril .
C’est la même chose pour le mot « féminin ».

Bien sûr puisqu’ils se rapportent à « modèles » (de réutilisation patrimoniale).
Et le verbe aussi doit s’accorder :
Les centres culturels de rencontre constituent selon moi l’un des modèles de réutilisation patrimoniale les plus aboutis et ambitieux qui  soient.
= un modèle parmi les modèles […] les plus aboutis et ambitieux qui soient

Ou alors :
Les centres culturels de rencontre constituent selon moi le modèle de réutilisation patrimoniale le plus abouti et ambitieux qui soit.

Quand je rendrai mon dernier souffle, peu importe ce que j’aurais fait, ce sera suffisant.

On change de personne pour voir ? :
Quand il rendra son dernier souffle, peu importe ce qu’il aurait fait, ce sera suffisant.

Et on voit que non, le conditionnel passé ne convient pas.
il faut donc le futur antérieur :
Quand je rendrai mon dernier souffle, peu importe ce que j’aurai fait, ce sera suffisant.
Explication :
Le temps composé indique l’antériorité. Le fait de référence est au futur de l’indicatif (rendrai  – ce ce sera). Le temps qui lui correspond est le futur antérieur de l’indicatif. . Le futur est philosophiquement et concrètement incertain mais on le considère comme appartenant au réel (c’est une nécessité).

Voici un cas où le conditionnel passé conviendrait. On évoque une éventualité  :
Si je rendais mon dernier souffle maintenant, peu importe ce que j’aurais fait, ce serait suffisant.
Si il rendait son dernier souffle maintenant, peu importe ce qu’il aurait fait, ce serait suffisant.

« Matin » est adverbe uniquement lorsqu’on peut le remplacer par « tôt le matin ».
Se lever matin = se lever tôt  le matin
Voilà donc pourquoi vous me voyez si matin (si tôt ce matin), très cher. — A. Dumas

Un certain dimanche d’été, nombre de fidèles partent matin (tôt le matin) de Chantefort […]— C. Seignolle

De toutes façons, il n’est employé que très rarement vu son sens.
Il y a très peu de noms qui peuvent devenir adverbes.  Je ne sais pas si ce n’est pas le seul nom (à vérifier).
On a bien  à côté, à présent, de fait, de bric et de broc … mais ce sont des locutions adverbiales où les noms sont toujours précédés d’une préposition

Ce n’est pas du tout une erreur. On a le choix entre l’indicatif et le subjonctif.
Avec l’indicatif, on focalise sur le fait.
Avec le subjonctif, sur l’appréciation du fait.
C’est la seule amie que j’ai : est une affirmation pure et simple.
C’est la seule amie que j’aie : peut frayer la place à l’expression de regrets.

Dans ce cas le point cardinal prend une majuscule parce qu’il fait partie du nom d’une région. Je pense que sinon on dirait « le sud du Sahara », précisément.

Je ne mettrais pas de trait d’union entre les deux noms.

Les deux mots sont dans le TLF :
Délégué,e) : ADMIN. (Celui, celle) qui est nommé(e) à une fonction par le gouvernement ou une autorité administrative; plus particulièrement, (celui, celle) qui remplace un titulaire dans certaines fonctions, en vertu d’une délégation.
Administrateur, trice : Personne qui administre […] membre d’un conseil d’administration […] fonctionnaire placé à la tête d’une unité administrative:

Certainement. Même s’il s’agit de nuances.
– Je ne te pensais pas méchant : l’impression que j’avais de toi était que tu n’étais pas méchant. penser quelqu’un comme ceci ou comme cela, se le représenter, se l’imaginer.
– Je ne pensais pas que tu étais un méchant : le déterminant fait de l’adjectif « méchant » un nom. Tant que « méchant » est adjectif, la qualité accolée au pronom peut être transitoire. Une fois devenu nom il désigne l’identité, l’essence de la personne.
« Un méchant » est très fort. Il désigne dans les ouvrages de fiction celui qui incarne le mal. Un méchant est quelqu’un qui cherche à faire le mal
– Je ne pensais pas que tu étais méchant : est neutre en face des autres formulations.

Cette différence s’explique par l’étymologie de ces deux mots. Voici ce qu’en dit le TLF :
Parmi : composé de la préposition par et de mi-  (par le milieu)