On peut dire « par quel bout commencer » ou « par quel bout le prendre » mais pas « par quel bout finir. La raison en est simple : c’est l’image suscitée par le « bout » qui en décide.
On dira donc  simplement  par exemple : « je ne sais pas comment finir », « je ne sais/ quelle fin donner à mon récit/comment conclure ».

« Une vie de couple » est la vie des couples en général, ce qui fait sa particularité en face par exemple à « une vie de célibataire ».
Une vie en couple n’a pas cet aspect généralisant.

Les deux sont corrects. Il faut seulement savoir que l’infinitif ici montre l’action en train de se produire alors que le participe passé indique un résultat. Une nuance donc; à vous de choisir.

Voyez la réponse de Prince à une question semblable.
On peut dire que « boire » et  « manger » appartiennent à la même idée : l’ingestion ou la satiété. On choisira alors : »ne le calme ».

Mais vous pouvez choisir le pluriel, ce ne serait pas incorrect.

verbe et adjectif au pluriel ? | Question Orthographe Voltaire

Elles ne se sont jamais autant ressemblé que dans le malheur.
Le verbe « ressembler » n’a pas de cod. Du reste il est intransitif : on ressemble à quelqu’un.
La phrase signifie : elle n’ont jamais ressemblé autant l’une à l’autre…

Le problème est, Abering, que tous les grammairiens ne sont pas d’accord.
Certains affirment que seuls les infinitifs cod ayant leur sujet (agent) propre appartiennent à une subordonnée infinitive.
D’autres pensent que tous les infinitifs en position de cod forment subordonnée infinitive.
Il n’est pas possible d’ignorer que ces deux positions existent. On peut simplement prendre parti.

Pour ma part, parce que dans les deux cas le sens accepte qu’on puisse remplacer l’infinitif par une subordonnée conjonctive, je ne vois pas pourquoi on ferait une distinction entre proposition infinitive subordonnée cod et infinitif simple cod (en réalité la distinction est faite par référence à la langue latine, ce qui ne me parait pas un argument valable).
Les exemples :
Elle voit les gens marcher dans la rue = elle voit que les gens marchent dans la rue
Elle s’imagine marcher dans la rue = elle imagine qu’elle marche dans la rue

Où est  la différence de structure ? on a simplement changé l’agent de l’infinitif.
Il est logique de considérer que les deux infinitifs  forment une subordonnée infinitive.

Cette notion est utile pour avoir une appréhension globale du fonctionnement syntaxique.
Voir ce qu’en dit  Éduscol :

[…] l’étude conjointe des trois expansions semble être un choix pertinent afin de lever l’ambiguïté concernant la terminologie : l’adjectif épithète, le groupe prépositionnel complément du nom et la proposition subordonnée relative sont bien des « compléments du nom » même si la grammaire scolaire n’utilise cette désignation que pour le groupe prépositionnel. L’expérience montre qu’il est pertinent d’établir un parallèle entre les trois expansions afin que les élèves en perçoivent le semblable fonctionnement. Enfin, l’étude des expansions du nom permet aussi d’introduire chez les élèves des « gestes » d’identification grammaticale : le déplacement, la suppression ou encore la substitution, autant de procédés qui permettent, outre une identification correcte des expansions, une meilleure maitrise de la langue.

Que différentes natures puissent avoir la même fonction, c’est monnaie courante. (Un verbe à l’infinitif, un nom, un proposition, peuvent être cod par exemple).

Donc, pour ajouter mon grain de sel et un peu simplifier les choses je dirais que oui, expansion du nom est une fonction : fonction signifie « rôle » : le rôle de l’expansion du nom est toujours de compléter le nom (qu’elle soit adjectif -et on peut le dire alors épithète-, un nom et on le dit complément du nom, ou relative).

Il faut reconnaître que la terminologie a de quoi dérouter.
On utilise un certain angle de vue lorsqu’on parle d’expansion du nom. On quitte la grammaire du mot pour une vue d’ensemble.
Un nom peut avoir plusieurs sortes d’expansions, c’est à dire de termes qui lui sont dépendants, qui n’existent que pour lui.

En vélo, j’apporte beaucoup de soins à la propreté des bords de route.

Le sens est obscur : voulez-vous dire que vous accordez beaucoup d’importance à la propreté des bords de route ?

Dorénavant, j’apporterai beaucoup plus de prévenances aux caniveaux : prévenance : Disposition de celui qui va au-devant des besoins, des désirs d’autrui. (TLF) : le mot ne convient pas pour un objet.

>> Dorénavant, je ferai beaucoup plus attention aux caniveaux ( mais est-ce le sens que vous voulez ?)

Ce serait mieux si vous formuliez une question…

Des ifs, de probables centenaires, …
Des ifs probablement centenaires,…