– Vous n’êtes pas heureux.
– si, je suis heureux.

On peut quand même trouver d’autres formulations :
– vous vous trompez. Je suis heureux.
– au contraire : je suis heureux.

teur — > trice : instituteur/institutrice – correcteur/correctrice – tuteur/ tutrice
eur —> euse : ajusteur/ajusteuse – blanchisseur/blanchisseuse – coiffeur/coiffeuse

Pourquoi ne pas garder les flexions de la langues qui existent déjà ?

Oui, le conditionnel convient bien. Vous faites une proposition et l’utilisation de ce mode est une marque de politesse.

Après « bien que » l’indicatif est normalement de rigueur.
Mais… voyez cette page :
Bien que : indicatif ou subjonctif? – Recherche par titre – Chroniques de langue – TERMIUM Plus® – Bureau de la traduction

Cependant, lors d’un concours par exemple, gardez le subjonctif.
L’emploi de l’indicatif peut pourtant en effet se justifier dans votre phrase.

Un certain nombre de linguistes, et non des moindres, Brunot, les Le Bidois, Grevisse dans ses Problèmes de langage, ont pleinement admis ces exceptions. C’est pourquoi aujourd’hui le Grand Robert souligne que l’indicatif est parfois employé après bien que pour marquer la réalité ou l’éventualité. Le mot important ici est « parfois ». Personne ne recommande l’indicatif dans tous les cas.

Sur le plan de la syntaxe, il n’y a rien à redire à votre phrase :  « Travailler avec vous est un vrai plaisir pour moi. »

Sur le plan des relations humaines, il est impossible de vous répondre. Vous seul savez quelles sont vos relations avec votre supérieur.
La phrase est correcte, elle est d’un niveau de langue neutre.

Traiter quelqu’un de signifie qualifier quelqu’un de
Il m’a traité de minable = il m’a qualifié de minable

°Il m’a traité d’insultes est un non sens
—> il m’a insulté
—> les insultes qu’il m’a adressées
—> les insultes qu’il a proféré à mon encontre

Si je devais faire la liste des insultes qu’il m’a adressées/dont j’ai été l’objet de sa part…

Oui, dans cette phrase « au revoir » est COD du verbe introducteur de paroles « dire ».

On peut utiliser le subjonctif (imparfait puisque la phrase est au passé)
Il n’était d’ailleurs pas rare qu’une fois la vente terminée, les clients me posassent plein de questions.
Mais cette forme est mal aimée… elle passe aujourd’hui très mal. On la remplace par le subjonctif présent, comme vous l’avez fait :
Il n’était d’ailleurs pas rare qu’une fois la vente terminée, les clients me posent plein de questions.

L’indicatif ne serait pas correct.On utilise  le subjonctif dans des phrases impersonnelles avec un adjectif  :

Il est étrange qu’il reçoive des amis –  Il est important que vous preniez vos responsabilités  – il est heureux qu’elle soit là

Pensez-vous nécessaires, la signature des conditions de vente, le bon de commande, l’ouverture d’un compte partenaire ?

Si vous ajoutez le verbe « être » sous-entendu :  Pensez-vous que soient nécessaires, la signature des conditions de vente, le bon de commande, l’ouverture d’un compte partenaire ?
Il y a plusieurs sujets, le verbe est au pluriel et l’attribut aussi.

Sinon il faut utiliser la forme impersonnelle : Pensez-vous qu’il soit nécessaire de demander la signature, les conditions de vente, le bon de commande et l’ouverture d’un compte partenaire ?

Étant donné que vous vous adressez à plusieurs personnes :  Merci d’être venus à notre rencontre.
Peu importe que vous sachiez ou non quelles sont les personnes concernées, elles sont plusieurs.
Au singulier, vous vous adressez à une seule personne que vous vouvoyez, ce que vous pouvez faire dans un courriel qui serait adressé individuellement. Si le courriel est collectif, c’est le pluriel qui s’impose.